Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

vendredi 14 décembre 2018

Test Oeuforisant : Rocketbirds 2 : Evolution

Hardboiled Chicken est de retour, et ça va saigner !


Histoire

Le hack de pingouin est très sympa

Fruit d'un œuf dur qui n'a pas cuit, ce poulet lutte contre Putzki, un pingouin dictateur. En chemin, il va se rendre compte d'une alliance avec les hiboux.
Rocketbirds fait partie de ces jeux qui ne se prennent pas au sérieux. La plupart des blagues fait mouche. Un peu dans le ton de Cate Archer (nolf) et ses ninja qui disent "je peux pas ce soir, j'ai un assassinat....".

Technique


La vraie vérité
Le jeu est de la même patte qu'un shank ou un guacamelee, c'est bien animé, mais pas trop, coloré et cartoon. Côté bruitages, les voix sont excellentes de même que les bruitages. Par contre les musiques sont inégales et passent d'une techno assez horrible à un rock-stoner sympa.

Gameplay


C'est un shooter avant tout, on contrôle la visée avec le stock droit. Cela induit une certaine imprécision, surtout avec les armes les plus lentes. Les phases de shoot sont assez inégales de même que l'arsenal. On a tantôt des palier ultra hard, ou l'on recommence plusieurs fois, tantôt des stages entiers qui glissent tous seuls.
Les énigmes sont inégales également, le stage de jungliana m'a donné du fil à retordre, mais les autres pas du tout.

Conclusion


Assez beau et fun, Rocketbirds 2 : Evolution est un petit jeu bien sympatique. Et son univers, est assez intéressant pour s'intéresser au 3.



ma note :
ce qui n'est pas arrivé
ce qui est arrivé

vendredi 7 décembre 2018

Test de cuisine : Overcooked


Putain de minuteur

l'objectif ultime, c'est les 3 étoiles

Overcooked, c'est surtout la gestion du temps, des commande, de leur ordre. On se fait entrainer dans l'action, on coupe tranquilou son oignon pendant qu'il fallait faire une carotte, et là les amours/amitiés ne tiennent pas à grand chose...


A table


On débloque au fur et à mesure
Le nombre de recettes n'est pas immense mais la difficulté progresse de manière linéaire et va très haut pour obtenir les 3 étoiles, synonymes d'un score parfait. L'apprentissage du level design est primordiale et la communication doit se faire à chaque instant. Certains niveaux sont particulièrement retors avec des pièges et des déplacement d’éléments (casseroles, etc.)

Gameplay


Très simple, on utilise le stick pour se déplacer X pour chopper les objets, O pour dasher et carré pour effectuer une action (découper et faire la vaisselle). Les actions sont un petit flou de précision, ce qui ajoute en énervement. Après quelques heures, vous serez néanmoins le roi de la saisie de carotte.




Conclusion

L'histoire est très facultative

Nerveux (dans tous les sens du terme) et accessible, ce jeu rend vite accroc. Et en multi local, il se classe dans les tous meilleurs. Pour le prix, foncez.






Ma note :
Pizza au chili
chili +
Pizza =




mardi 4 décembre 2018

Test d'aventure : RDR 2 (solo)

... Comme dans un film
S'il y a un jeu qui était attendu cette année (mais qui s'est pointé quand même pointé 1 an après la date initiale), c'est Red Dead Redemption 2. Prequel de Red Dead Redemption premier du nom, lui même sorti 8 ans plus tôt. Red Dead Revolver, lui, n'a pas de lien direct puisqu'il explorait uniquement le même univers (les cowboys) dans un monde fermé (une histoire quoi).



Arthur...

La neige est le plus beau environnement selon moi
Le héros est un personnage tout en nuances, un gros bourrin qui sort son flingue dès qu'il peut. Cependant de temps en temps, il a pitié, il veut bien faire ... Un meurtrier qui se veut gentil en somme. C'est le héros bas-du-front que le monde entier attendait.
Ce héros déboule dans la fin du 18e siècle, et fuit un braquage raté avec sa bande. Le reste est à découvrir bien sûr. Les aventures du type nous amène à se ballader dans l'ouest et à rencontrer plusieurs types de paysages : les plaines, les petites et les grosses villes, les montagnes enneigées, etc.

Mon cheval est mon ami


Ici le cheval occupe une place très importante, c'est notre moyen de transport et il nous accompagne partout. Le lien que vous nouez avec lui augmente ses stats, on réfléchit donc à en changer.

Un univers ouvert 


Regardez ce paysage
Le monde est beau, c'est sûr. Pendant les 10 premières heures de jeu on s'émerveille de tant de profondeur dans le paysage, des ciels, de l'eau, des pas du cheval dans les chemins. Cependant, au bout d'un moment, on n'y prête plus beaucoup attention et la ballade devient plus pénible. Les chemins (obligatoires) longs et les rencontres un synonyme de détour.
L'univers sonore est encore plus beau. Des musiques aux bruitages, c'est du grand cinéma !

Un jeu presque parfait


J'ai personnellement été déçu du scénario, qui n'exploite pas assez les personnages secondaires. Mais dans l'ensemble la campagne est tout à fait grandiose. Les rencontres des cinglés (repris de GTA V) sont très drôles et l'univers reste toujours cohérent.
Parfait exemple du bullet time !
Les défauts sont tout de même frustrants et détonnent dans un univers si parfait. Je vais en citer quelques uns: le cheval qui ne vient pas à nos pieds comme dans RDR, le temps ou le coucher de soleil très brusque, le cheval qui des fois ne suit pas nos commandes et fonce dans cette pu** de pierre, les bugs de scripts dans l'histoire qui nous bloquent dans la progression (apparemment c'est pas le cas pour tout le monde mais j'ai utilisé la dynamite pour me suicider plus d'une fois).
La gestion des primes est assez frustrante également car il est parfois dur de s'amuser à dézinguer une ville, pour payer derrière une prime très (très) coûteuse.
Je le répète c'est un jeu presque parfait, et les défaut deviennent après des dizaines d'heures irritants.

 

Conclusion


Red Dead Redemption 2 est-il le jeu de l'année ? Oui et non, ses micro défauts et son scénario qui ne parvient pas à redécoller m'ont laissé un goût amer et ont effacé les jours (et les nuits parce que je rêvait de RDR2) de jeu splendides qui amorcent l'aventure. Mais il reste un des plus beaux jeux sur PS4, il manque plus que le online (et un pti patch ?)


 Ma note :

Dynamite


jeudi 8 novembre 2018

Test de frayeur : Resident Evil Revelations 2

Quelques jours après la sortie d'un titre très attendu du côté de chez Rockstar, on s'attaque à un jeu multi local, qui ravit monsieur madame.
A quoi tu sers ???

Si les dernières itérations de la série nous ont habitué à de grosses bastons avec des zombies et sont plutôt tournées action (Resident evil IV, V, VI... cueillir des saucisses !).  Biohazard, mieux connu sous le nom de Resident Evil chez nous occidentaux nous sert un spin off plus tourné horreur. Un peu moins quand même que R.E. VII. Voyons ça...

Ambiance

 

"active l'interrupteur, les zombies arrivent"
Si 2015, c'était hier, RE Revelations 2, reste quand même bien actuel, mis à part quelques ennemis bien moches avec textures baveuses et tête de fion. Le jeu a globalement assez bien vieilli, et est parait-il bien supérieur à Revelations 1. La bande sonore est de bonne facture avec une VO sous titrée.

Gameplay


Si j'ai acheté ce titre, c'est que contrairement à Revelations tout court, on a le droit ici de partager l'histoire à deux joueurs en local, avec un gameplay asymétrique. C'est l'occasion de se faire des frayeurs en regardant son camarade se faire mordre alors qu'on est bloqué derrière une porte.
Les bureaux permettent d'améliorer les armes
Alors bien sûr, ce n'est pas forcément très utile d'avoir ce personnage clairement secondaire. Une feature pour faire vendre. Les side-kicks sont quand même affublés d'une lampe de poche (pour éclairer, voire éblouir) et d'un pouvoir paranormal permettant de voir les ennemis à travers les murs.

C'est le premier joueur qui doit gérer ses flingues et tirer sur tout ce qui bouge pour ne pas finir en repas. On a ici deux duos "Nathalia-Barry" ou "Moira-Claire", les deux suivent une histoire pas toujours passionnante, mais qui suffit à ce que l'on veuille continuer l'aventure. Histoire en épisodes que l'on ne peut pas skip, ce qui est tout à fait agaçant lorsqu'on fait le jeu d'une traite.

Un endroit adapté aux enfants glauques
Reste les boss qui sont toujours agréables, même si l'assistant devra se contenter de courir dans tous les sens.


Conclusion

Ce Resident Evil revelations 2 est une demi-bonne surprise. Enfin un Resident Evil qui se joue à deux... mais avec un gameplay asymétrique mal maitrisé, qui ajoute de suspens ce qu'il enlève de flingue au deuxième joueur. Au prix où il est vendu ce la reste un bon passe temps. Je sens que les Resident Evil ne vont pas revenir au multi local avant un moment, malheureusement.

Ma note :

Pied de biche

Lampe de poche


L'enfant glauque : Nathalia





lundi 20 août 2018

Test jailbreak : A Way Out

Ce n'est pas un secret, les jeux videos en coop local se font très rares sur la génération actuelle ("next gen"- ça n'a pas vraiment de sens, si ?). Alors quand un jeu débarque avec un unique mode de jeu "coop" (en ligne et en local), on se jette dessus. Tant pis pour le reste.


Démarrage


Certains passages nécessitent de se coordonner
Au tout départ, vous choisissez la langue, les sous-titres (ça commence bien pour un jeu d'aventure). Puis le personnage à incarner à la manière d'un fifa. De cette manière, pas besoin d'emmêler les câbles de se repasser la manette. On incarne au choix Léo, impulsif et foufou ou Vincent réfléchi et pas foufou.
Les cinématiques se lancent, avec des élégants glissements d'écran pour se concentrer sur le dialogue intéressant. Premier problème, dans aucun jeu, on ne peut vraiment jouer à deux au niveau du son. Tandis qu'on interroge des protagonistes dans la cour de prison, les dialogues s'emmêlent. Même si l'image va se focaliser sur Léo qui se fait alpaguer, mais Vincent va quand même compter ses pompes. Tout ça sort sur les mêmes enceintes, ce qui rend les choses un peu moins cohérentes. "[...]Tu vas pas t'en sortir...8...Cette fois tu vas payer...9...J'ai été payé pour t'éliminer...10, whaou, bravo, tu as battu le record...Essayes un peu pour voir".


Gameplay


Le jeu se déroule naturellement, avec des sortes de phases très découpéeset souvent pas très logiques. Une phase de shoot, de conduite, on s'échappe, on s'infiltre, on fait du kayak. C'est très varié, mais on a l'impression de ne pas jouer au même jeu. Les commandes et buts n'ayant pas vraiment trait avec la scène d'avant.
Une bonne idée que cet écran asymétrique
Le glissement d'écran permet toujours de ce centrer sur l'action sans que l'autre joueur ne se tourne les pouces, c'est bien pensé. Le jeu est également farci de nombreuses cinématiques (je ne saurais dire si c'est un avantage). Et à certains moments on a le choix de bourriner (Léo) ou s'infiltrer (Vincent).
Le jeu est très linéaire (dans chaque phase de jeu), des mini-jeux sont disséminés un peu partout et permettent de se défier (scoring), ce qui atténue le côté couloir.


Histoire

Un des quelques "mini-jeux"

Sans tout raconter - l'histoire constitue quand même l'essence du jeu- on a 3 phases : l'évasion, la cavale puis la vengence. C'est varié et riche en rebondissements. La fin nous a un peu déçus quand même.

Graphismes


Le monde est fermé mais rempli de petits détails
Même si on peut se demander ce qui s'est passé pour que Léo ait un tarin si proéminent, les graphismes sont agréables et certains décors sont très jolis. Sur ce point le jeu est une réussite.






Conclusion


Attirer le gardien pour que l'autre le neutralise
De la coop y compris en local, de l'aventure, des personnages un peu clichés mais profonds, un gameplay varié, A Way Out avait tout pour réussir. Pourtant, une fois le jeu terminé, on a une impression mitigée. Pétri de bonnes intentions, le jeu alterne à grande vitesse les scènes clichées et les cinématiques. Les scénaristes ont tout de même oublié de combler les trous entre les missions pour les rendre crédibles, et la fin écrite avec le cul n'arrange rien. En plus de ça, l'aventure se termine en une petite dizaine d'heures (le jeu est en plus facile), et n'offre pas de rejouabilité.
On pose la manette, et on se dit que le jeu vidéo n'est qu'un passe temps éphémère et pas une expérience qui reste gravée dans sa mémoire.
Ce qui "sauve" A Way Out, c'est qu'il est sans rival. Peu ou pas de jeux sont conçus pour deux joueurs et ce type d'initiative s'encourage.


Ma note :


unique sur 10

 Bonus :

La fameuse société MARACAS
Des ouvriers en pause. Comment reviennent-ils ?
Des mini-jeux un peu limites...






vendredi 6 juillet 2018

Test Micromachines : BlazeRush

Dans les années 90, les party games où l'on pouvait jouer à 4 étaient assez rares. Déjà il fallait avoir dans tes amis LE seul mec qui avait un multitap... On pouvait alors se délecter de Bomberman, des jeux de foot, worms et surtout... micromachines...


Le Clone


Ce mode est certainement le plus intéressant
Comme Majorette ou Hotwheels, c'est bien les jouets qui ont inspiré ces courses reproduisant des scènes "reproduisibles dans la vraie vie". Les courses entre le grille pain et la table à repasser ainsi que la vue de haut ont ancré des souvenirs dans de nombreuses têtes de joueurs. La série comporte aujourd'hui 11 itérations dont certaines sont très passables, mais surtout des clones !
Comme pour Mario Kart, le jeu qui marche compte de nombreuses copies. La série s'est raréfié sur les plateformes actuelles (malgré Micromachines world qui est un jeu en kit), c'est pourquoi je cherche depuis longtemps un clone pas cher et amusant.


Graphismes


Les maps ne sont pas très belles, mais c'est pas non plus trop dégueu. L'essentiel c'est le fun !

Modes de jeu

Essaie de me dépasser...

Ici on a le droit à 3 variations : course avec des bonus, course où il ne faut pas être dernier (comme dans micromachines mais avec une moisonneuse), et du contre la montre. C'est quand même assez chiche, d'autant plus qu'on a pas de vrai mode multi, on parcourt la carrière solo de 1 à 4 joueurs. Un mode en ligne désert est également disponible.

Gameplay


De nombreux persos et leurs véhicules sont déblocables
Au lieu du traditionnel bouton "accélérer", on se dirige entièrement au stick, pour le feeling on repassera. L'avantage est que la vue de dessus n'est pas trompeuse, mais ça diminue la profondeur de jeu. Les bonus sont de deux types : les accélérations, déclenchées avec X, et les armes de jet (sulfateuse, disque, missile ...), balancées avec . On peut donc amasser des deux types et les balancer à la fin du tour, un petit côté stratégie bien appréciable.
La carrière avance vite
Les véhicules sont nombreux et offrent des petites différences de maniabilité, poids, accélération, etc.


Bande Son


Horrrrrrible musique, qui est toujours la même. Bruitages corrects.


Conclusion


Les modes de jeu sont très rares
Ce jeu n'a pas vraiment fait mouche, ni joli, ni très amusant (essayé quelques minutes avec des amis, sans succès), mais pas cher (3€ si je me souviens, il se laisse jouer en solo. Il est bien noté sur le net. C'est juste avant de le désinstaller que je l'ai lancé "une dernière fois", que j'ai joué plus d'une heure. Il mérite peut-être sa seconde chance.
Mais l'offre de jeux est aujourd'hui tellement énorme que je ne peux pas m'empêcher de penser qu'un micro-machines-like est/va bientôt sortir. La recherche continue.



Ma note :

micromachines + toaster


lundi 18 juin 2018

Test sanglant : DOOM

On y croyait plus ! Après un DOOM 3 qui a duré plus de 12 ans, le reboot de la série s'opère enfin ! Ca ne sera donc pas DOOM 4 mais DOOM en Majuscule, qui claque sa mère !


HistOOM

DOOM n'a jamais brillé par son histoire et c'est même devenu une de ses marques de fabrique. On déhambule dans des couloirs sombres jusqu'à trouver une créature agressive à expédier dans l'autre monde, puis on continue au sein du labyrinthe... C'est bien simple, le marine patriote est si simplet et si générique qu'il est connu de nos jours comme le Doomguy.
L'histoire si tant qu'il y'en ait une, se déroule dans une base abandonnée, où les habitants sont tous plus ou moins infectés et transformés en êtres hostiles. Les cinématiques sont courtes et c'est tant mieux.

GraphOOM

Les clés !!!
DOOM est de retour et il est beau ! Le marine enervé est de retour et il est encore plus brutasse que (Wolfenstein) c'est dire ! Avec arrachage de bras et écartage de crâne comme ça, parce que l'anatomie, c'est dépassé ! Reluisant au niveau des effets de lumières, des giclures de sang, de la profondeur de champ de vision, on s'y retrouve tant au niveau de la direction artistique qu'au niveau purement technique. C'est une grosse mandale velue dans ta joue trop fine !



GOOMPLAY
On peut jouer en split-skull

Brutal, c'est ce qui pourrait résumer ce jeu. Rapide, nerveux, avec des armes qui en mettent plein la tronche et des finishs moves qui nous font tourner la tête. Les aliens vous rushent ? Pas de problème ! Le Doomguy est là pour les accueillir !


BOOM

Ramasses ta chole !
Les cris incessants des aliens et la musique jouent sur le côté oppressant du jeu. On veut savoir d’où viennent ces plaintes bestiales pour les faire taire à coup de fusil à pompe ...








ConclusiOOM
Ajouter une légende

Oui mais voilà, force est d'admettre que DOOM est de retour. Remis au goût du jour, mais avec la même saveur, certains devraient en prendre de la graine, hein Duke !?
On va pouvoir redire doom-like à nouveau, et ça, ça n'a pas de prix.


Ma note :

le steak le plus saignant de la terre + 80's style


Test Sci-fi : Horizon Zero Dawn

Des designs de robots bien réussis
L'industrie du jeu vidéo est un peu curieuse, auparavant sans cesse dans l'innovation, elle est maintenant un média de masse et copie jusqu'à overdose.




Histoire


Des dialogues pour creuser l'histoire
Dans un monde post-apocalyptique, la civilisation s'est éteinte, les machines ont envahi le monde (mais paisiblement). Ce sont des animaux-robots qui vivent comme des animaux-normots. Les humains ont "reculé" et sont revenus à des heures plus primitives, même si certaines tribus sont plus évoluées (villes et forges). Les missions principales fouillent dans le passé tumultueux d'Alloy fille rejetée par sa tribu, et élevée par Rost, un chasseur paria. Cette fille forte et rebelle est encore rousse, et nous rappelle immanquablement Nariko, dans Heavenly Sword (PS3 et excellent). On en apprend plus également sur l'origine des machines et de l'extinction de notre ère. Les missions annexes, nous font visiter les environs, avec des quêtes fedex et des camps à libérer. Du grand classique.


Graphismes

Des textures étranges comme cette suintante Alloy

Graphiquement impeccable, il ne souffre que de quelques bugs d'affichage (textures curieuses ou longues à charger), et de collision (bloqué sous un rocher).
Même si tout est très beau, ça se paye par des temps de chargement à chaque téléportation.

Gameplay


Des infiltrations classiques
La carte est très grande et dispose d'une bonne variété. Mais voilà, on aurait aimé le grappin-parachute de Rico Rodriguez tant c'est vaste.
Heureusement les campements nombreux permettent des déplacements rapides une fois visités.
Les promenades à pied sont très longues mais le dressage d'animaux robots permet de cavaler plus rapidement.
Les déplacements demandent -au départ en tous cas- un peu de discrétion pour éviter qu'une horde de cavaleurs ne nous piétine. Les combats se font en grande partie à l'arc, les parties sensibles des machines étant très visibles. Il faudra les cibler et éventuellement rajouter un petit dégât élémentaire pour faire de gros dommages. Une fois à terre, un coup de lance critique les achèvera.
De nombreuses quêtes
Pas mal de pistes à suivre (visibles grâce au kit main libre d'Alloy), de la grimpette -ça devient laçant d'en avoir dans tous les jeux, surtout que ça n'est pas technique du tout (toujours les fiantes d'oiseaux pour indiquer le chemin comme dans TR).
C'est les camps ennemis qui offrent le plus de challenge et qui nous obligent à attaquer d'un certain angle pour réussir des assassinats super discrets (l'IA n'est pas non plus trop affutée).
Ultime déception, le boss final est encore une couille. Forme de vie ultime, et surpuissante.


Conclusion


De beaux paysages
De beaux paysages
Prenez un soupçon de Heavely sword, ajoutez une dose d'Assassin's Creed, mettez du Prince of Persia, saupoudrez de Tomb Raider (le reboot pas les énigmes), incorporez du Red Dead Redemption et malaxez avec du Mass Effect. Horizon Zero Dawn n'a pour lui que son scénario et ses paysages somptueux. La partie combat et infiltration m'a gonflé personnellement, si bien que j'ai mis le jeu en mode ballade pour faire l'histoire. Histoire qui n'est pas si poussée finalement, et narrée en hologramme pendant 1h. Bref ce Horizon est pour moi une déception. J'aimais mieux Killzone.

Ma note :


Aube/20