Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

dimanche 25 janvier 2015

Test : Batman Arkham Asylum


Après un essai désastreux sur Arkham Origins, j’ai décidé de plancher sur le premier volet sur old-next-gen, et pas seulement parce qu’il était gratuit pour les membres du PSN+. En effet, j’avais testé ce volet à sa sortie sur PC, mais je n’avais pas pu le finir parce que j’en avais perdu la sauvegarde, j’étais sans doute ivre…








 Bat-Graphismes


C'est tentant, avouez !
Il faut bien avouer que le jeu est beau. Il n’a pas pris une ride et franchement ne souffre pas de la comparason avec le dernier volet (sauf pour ce qui est de la vastitude de la map, et de si on prend la version pc avec reflets dans les nuages et grapin automatique). Le côté sombre de batman de son créateur Frank Miller (et pas Bob Kane comme certains incultes le croient encore) ressort et l’asile, à la fois délabré et bardé de technologie (c’est quand même une prison), est super dark comme un chevalier. Les méchants ne sont pas en reste avec un Joker à la fois super fidèle à celui de Mr Miller et à celui du dessin animé (le vrai des années 90, celui avec le batman carré et la ceinture jaune.


Bat-Sons


On a le choix de faire de l'infiltration
On retrouve ce qu’il y a de mieux, la musique colle à l’action et les vois sont celles des doubleurs de l’époque. Bref, c’est incisif et idéalement enregistré (en 5.1, c’est plus facile de s’infiltrer). On regrette que les tirades du joker soient aussi longues qu’un mille-pattes du soudan.






Bat-Histoire/Bat-Gameplay


Des fois, on se croit dans Ken le survivant
Les contrôles sont simples, l’histoire est linéaire. Batman est maniable et tout est indiqué, que ce soit par des boutons qui apparaissent à l’écran ou par la vision spéciale qui indique les intéractions possibles avec le décor. C’est donc à la portée d’un nain-tronc ou d’un clown de centrifugeuse. La progression est hyper couloir, ce qui facilite également cette maniabilité de cochon d’inde en voyage en chine (ha ha ?!?). L’histoire est assez bateau : le joker se fait encore rattraper par batman, et donc coffrer à l’asile d’arkham (arkham asylum vous saisissez ?). Mais il a tout prévu s’évade, puis enrôle tous les prisonniers. Mais son plan est qu’il prépare un mauvais coup du style transformer le monde en Bane sous son contrôle … A vous ! Tout s'pass' trankil, à la bien, sauf que quand on a battu Bane une fois, c'est pas trop dur d'en battre d'autres. Enfin, on a tout de même la joie de retrouver plein de bat-vilains : Joker, Enigma (les objets cachés, c'est lui), Harley Quinn (elle a beaucoup de charisme dans la zone buste), Ivy, Bane, l'Epouvantail et Killer croc ! Ça en fait une journée bien remplie pour Batou !

Bat-Conclusion


Doté d'une histoire dans la moyenne, c'est plus sur l'ambiance que ce Batman Arkham Asylum se rattrape. Avec un asile-prison glauque, la libération des prisonniers et la présence d'une bonne brochette de vilains, ce jeu est plaisant à jouer. Gordon, tiens bon !

Ma note :

Le sourire d'Harley Quinn
La bat-ceinture


dimanche 18 janvier 2015

Test : Mirror's Edge




voila l'principe !
Mirror's Edge est un jeu à la première personne qui nous met dans la peau de Faith une jeune, qui erre sans but, glande un max dans une ville géante, impersonnelle, presque incolore. Mais un jour elle en a marre elle va donc se mettre en tête de faire la police, voler des preuves et foutre le dawa.


Graphismes



Le jeu est vieux, mais fluide et relativement beau. On peut apprécier la direction artistique, qui nous indique ou aller en couleur, alors que le reste est blanc. On trouve ça tout de même étrange d'avoir un fps sans (presque) d'armes.

Des fois on a quand même droit à des armes
Prête pour un saut de la foi ?

 

Bande son



RAS


Les cut-scenes sont bien animées mais ça ne se voit pas c'est une photo !

Histoire



RAS




Gameplay et conclusion

La ville est colorée et des fois non

Ce jeu est une simulation de parkour, ce sport de voleurs, qui consiste à sauter sur les immeubles et à s'enfuir plus vite que la police. J'avais joué puis rapidement abandonné, mais repris quelques 5 ans plus tard, j'ai bien aimé. Les commandes sont vite assimilées et malgré des petits bugs de sauts énervants, le jeu est rapide et sympa. Choppé gratuitement pendant les fêtes grâce a Sieger, il vaut le coup à condition d'être patient lors de certaines phases...


dimanche 11 janvier 2015

Test : No More Heroes : Heroes' Paradise

Remake du No More Heroes original sorti sur Wii en 2007, nous autres joueurs sur PS3 pouvons également nous défouler dans l'univers de la Suda 51 grâce à ce No More Heroes : Heroes' Paradise. Il est Hdifié et uncensoré pour l'occasion.


Ambiance



Des tee shirt dans le ton
Vous êtes Travis Touchdown, tueur émérite, mais largué dans la vie. Otaku, glandeur, loser, les seuls appels téléphoniques que vous recevez sont des rappels glauques du vidéoclub comme "vous avez oublié de nous rendre "du yaourt dans ton café"". Habitant dans un motel de Santa Destroy, vous parvenez à trouver une minette du nom de Sylvia qui vous prmet de coucher avec vous si vous arrivez à décrocher la place de n°1 au classement UAA des assassins. Bien que la ville et particulièrement le scooter de Travis soient laids et vide d'intérêt, ce jeu reste plaisant sur plusieurs points. Tout d'abord, le Héros qui doit sans cesse payer pour participer à des combats, doit faire des petits jobs puis des assassinats. Ainsi, il gagne de l'argent, peut améliorer ses armes, s'entrainer dans un dojo spécial, customiser ses fringues, etc. Bien que tout ça soit un peu long, j'ai quand même tout rassemblé, au cas où ça débloquerait un truc (Suda 51), et ça n'a pas loupé... Bref ces mini-jeux sont assez stupides et répétitifs, mais franchement hilarants (remplir des voitures dans une pompe à essence, sauver des chatons, ramasser des noix de coco, etc.). Enfin, comme dans tous les jeux du studio, le jeu est moche, mais stylé. Et chaque boss est aussi tordu que notre héros, pour notre plus grand plaisir.


Déroulement


Objectif : pupute
Le jeu est très linéaire : on fait des jobs, des missions assassinat, on dépose ça à la banque, on va à la planque, on reçoit un coup de téléphone, on se rend sur le bon endroit, puis s'en suit le stage. Il est composé le plus généralement d'une suite de couloirs ou on tue du menu fretin, puis on trombe sur le boss. Là le combat est généralement plus compliqué, et il faudra bien comprendre chaque pattern pour enfin le remplacer au classement. Le jeu est très long au début, dur au milieu, puis très rapide à la fin. C'est un déroulement assez frustrant car très répétitif, mais pour ses ambiances, et surtout ses boss, ce No More Heroes : Heroes' Paradise est franchement sympa.


Gameplay



Gratte toi la tête, c'est quoi une ciblie
Travis possède peu de mouvements : à l'aide de son beam katana (sabre laser), il a des coups verticaux et horizontaux, un coup de poing, un coup de pied (histoire de sonner l'adversaire), et une fois l'adversire sonné, faire des prises de catch. Au niveau des esquives, et c'est là le problème, il faut bien viser l'adversaire (donc être proche de lui) puis faire une roulade avec le stick. C'est assez lourd, pas rapide et imprécis, notamment au niveau de la visée. Enfin les ennemis sont nombreux et suprêmement gogols, ils foncent sous les escaliers, sont bloqués par le moindre objet dans le passage, à vous d'en tirer profit.


Bande son

 



ça c'est envoyé
On trouve une bande son agréable, plutôt rock, répétitive, mais qui colle bien à l'action.









Conclusion



Travis Touchdown, ce héro irrévérencieux, nous permet de vivre un volet de sa vie, mais alors, il va la baiser ou pas ? Ce jeu est appréciable pour son ton décalé, on passera sur le côté répétitif et sur le vide quand on se promène dans la ville. Si vous le trouvez pas cher, achetez-le.


Ma note :

une figurine hentai

des churros au caca
un robot (pour dire toute la souplesse du héros)











vendredi 2 janvier 2015

Test : The Bureau : XCOM Declassified




On peut nier l’existence de dieu, penser que les dinosaures ne sont que des incas qui ont fait une partouze pendant 1500 ans c'est pourquoi ça a fait des gros os, dire que les agriculteurs du monde entiers se sont consultés pour faire des signes dans leurs champs, etc. Mais par contre on ne peut nier l'existence des aliens. Et c'est ce dont il est question dans ce jeu-reconstitution : on doit protéger le monde et couvrir une invasion, celle de 1962 pour être plus précis.

Histoire

 


La robotique dans les années 60 ...
William Carter est un agent de la CIA plutôt bon jusqu'au jour où un drame survint. Puis la boisson, l’alcoolisme, ainsi que la dépravation dans le whisky firent de lui un agent minable, cantonné au bureau. Puis vint cette invasion alien, et William fut intégré dans le XCOM, un service secret composé de scientifiques, d'enquêteurs et d'hommes d'action, chargés de lutter contre cette menace. En fait les aliens, en plus de conquérir la terre, transmettent un virus étrange aux humains et les rendent zombies. Seul vous, William Carter, pouvez remonter à la source et détruire l'entité qui contrôle les Xénons : Mozaïc...

Gameplay

 


La roue d'ordre nous permet de donner des ordres
Le bouclier bulle nous protège des attaques ennemies

Comme vous avez pu le voir, le scénario n'est pas le point fort du titre, encore que la narration et les choix proposés sont suffisamment variés pour en apprendre plus sur l'histoire et approfondir les personnages (mass effect). Mais c'est au niveau de la jouabilité que tout ce joue : en plus du simple TPS, on nous propose de contrôler deux autres agents. En plus de choisir leurs classes, leurs améliorations, leurs apparences, leurs équipements, on leur donne des ordres, ... Et qui marchent !!! C'est pas comme les idiots qui nous accompagnent d'habitude, le choix de la cible, leur priorité est déterminante pour ne pas se retrouver à donner des ordres de premier secours... Bien qu'un peu rigides, les personnages sont assez bien animés et on est heureux de voir les Xénons en rag doll. Les commandes sont au départ très lourdes, car vos alliers n'ont pas de compétences, mais très vite on combine plein d'ordres comme lévitation plus sniper ou guérison plus bulle bouclier.

 

 

 

Graphismes

 

 

Le célèbre mime du tabouret invisible !
Mise à part quelques bugs ici et là, on a affaire à un jeu assez beau. Pas toujours fluide, mais beau. Les visages sont bien modélisés, et leurs expressions assez réalistes. Au passage, c'est une belle performance pour les doubleurs qui rendent tous ces dialogue plaisants à suivre.








Conclusion



Beau, intéressant, amusant à jouer, doté d'un ambiance 60's très appréciable et suffisamment long, ce XCOM est une bonne surprise (6/10 sur gamekult donc génial). Acheté à peine 10€ neuf avec un DLC inclus. Il procure le fun des TPS bourrins et la tactique des jeux plus réfléchis. Un bon jeu, tout simplement. On se demande finalement pourquoi cette histoire et ce jeu n'ont pas fait plus grand bruit. Certainement un cover up des US. Chuut, Skynet nous espionne....

Ma note :

Tsoukalos, le spécialiste des théories du complot, et expert en Ufologie, mais à poil !

Bonne année !















jeudi 1 janvier 2015

Bilan 2014

En cette fin d'année, il faut bien se rendre à l'évidence, la PS3 se meurt et la PS4/XBO ne sont pas encore assez matures pour faire le p'tit dej et faire un cours de sommellerie... Je vais donc faire un petit classement des jeux qui m'ont marqué cette année. Comme des tests ont déjà été rédigés, je met juste un mini commentaire.

7) XCOM The Bureau : Enemy Unknown
Un TPS qui prend des risques et qui m'a plu, à voir dans un test prochain...

6) Army of TWO : el cartel del diablo
Un TPS décérébré, qui fait un excellent jeu du weekend.

5) Ni no kuni
Parce que ça faisait une éternité que je n'avais pas touché et apprécié un J-RPG.

4) Castlevania : Lord of Shadow 2
Le Beat'em all de l'année, tout simplement.

3) Ghost Recon : Future Soldier
Le jeu du week end online de l'année ! Franchement grisant au niveau de l'infiltration.


2) South Park : Stick of Truth
On l'a attendu, et ça valait la peine !

1) Rogue Legacy
Plus qu'un simple jeu de plateformes, c'est un vrai défi, et un véritable plaisir de visiter un monde en renouvellement permanent.

Le terme jeu du weekend a fait l'objet d'un dépôt de brevet, et désigne un jeu que l'on peut terminer à deux en un weekend.