Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

vendredi 20 mars 2015

Test de la mort : Dead Rising 3

Du scotch, des combos et du sang, voila ce qui pourrait être la devise de Dead Rising. Dans ce jeu de massacre à la chaine de zombies, il s'agit de survivre, mais également d'aider son prochain. Au début annoncé comme une exclu XBO, le jeu débarque 6 mois plus tard sur PC (comme toutes les exclus XBO quoi !), une bonne occasion de tester un jeu "next-gen".



Histoire



Lucha dildo !
Encore une amoureuse gothique !
On incarne ici Nick Ramos, qui succède a Frank West, et a Chuck Greene. On ne peut s'empêcher de regretter l'absence de charisme du mécanicien. Largué au milieu de la ville, il doit s'unir (en tout bien tout honneur) à des survivants pour réussir à quitter la ville avant que le gouvernement ne la détruise.

Graphismes

Jeu : comptez le nombre de zombies...bon courage !


Le jeu est beau, assez fluide (30fps) mais des fois, ça RAAAAAME, l'optimisation est faite avec les oreilles, et c'est un problème fréquent sur beaucoup de machines. Ma config est moyenne-bien (Ati HD7950, i5-3750k), mais la gestion de certaines explosions, ou de sorties de véhicules est hallucinante. Enfin il est beau de constater à quel point on peut mettre des foules de zombies dans un si petit espace... Les details de la ville fourmillent et les zombies aussi !


Gameplay


Les clins d’œil aux autres jeux capcom sont nombreux
On a le droit ici à une refonte en profondeur du système de Dead Rising 2. Ce jeu n'exploite ni les sauvegardes (à des lieux précis), ni les salles de maintenance (pour faire ses armes combos une combinaison de 2 objets), ni le temps limité pour chaque mission (ouf!). La liberté est totale ! On a le droit à un immense bac à sable, construit avec des voies sans issue pour rallonger les trajets. Le défaut, c'est qu'on a plus ses repères, comme dans le 2 où on savait où trouver tel item et tel item pour les combiner. Mais on trouve en général largement de quoi faire (et quoi tuer) !

Un arbre de compétences est très complet
Notre palette de coups est assez similaire aux épisodes précédents, on a aussi une progression en niveaux, qui débloquent capacités, plans d'armes, et de véhicules. On regretta simplement que les zombies vous choppent toujours d'une façon illogique, que le héros ralentisse à chaque fois qu'il en percute un. Au début du jeu ça passe, mais vers la fin, on en peut plus ! Autre problème de déplacement, les rues barrées en voiture, nous obligent à toujours passer par les mêmes chemins pleins de détours... On comprend, mais c'est usant.
Les Psychos sont charismatiques !
Les armes combos (et super combos !) sont toujours aussi débiles, et les véhicules combos sont franchement marrants. Les massacres en sont toujours plus importants.
Enfin les boss et les personnages rencontrés sont toujours plus tordus et complètement à la ramasse ! On prend donc beaucoup de plaisir à les rencontrer et à les aider/tuer (sauf la nana de la cantine, c'était trop gerbos).
En gros, la progression se fait dans n'importe quel ordre, avec un compte à rebours (très large) pour réaliser les missions annexes dont : les fameux psychos, les personnes prises au piège qui se démerdent, et les missions nous permettant d'avoir des accompagnateurs ...


Certains combats de boss sont étranges !
Des gros boulets oui ! En avoir un, c'est sympa, on peut continuer à prendre n'importe quel véhicule (même les véhicules combos), s'en servir de bouclier, le nourrir comme un tamagochi, lui faire porter une arme (sauf les combos, ils aiment pas) ; mais dès qu'il s'agit d'en avoir 3 ou plus, c'est la galère (surtout après 3). Déjà qu'ils sont pas futés et qu'ils comprennent jamais où se placer, mais quand il faut monter en voiture, c'est épique ! On finit par se balader à pieds, parce que toutes les bagnoles explosent avant qu'ils ne montent dedans !
Ces boulets que l'on nomme PNJ
Enfin, suivant les missions réalisées / le respect du chrono, diverses fins nous seront offertes.

Bande son

 

 

Diriger un mec déguisé en requin sur une moto-rouleau compresseur !


Les doublages sont nombreux, mais un peu longs. Les musiques sont présentes aux bons moments, et tous les bruitages d'ambiance sont bien sentis.

 

 

 

 

 

 

Conclusion

Certaines armes vont très loin !


Ce jeu est vraiment bon pour les adeptes de la série. Les nouveaux venus seront aussi séduits par un univers vaste, des quêtes par centaines, et des zombies toujours plus nombreux. La suppression du temps de mission est une très bonne idée, mais quelques soucis dans les déplacements gâchent la fin du jeu... Reste l'ambiance délire (un peu moins que dans le centre commercial, car plus réaliste), et le scénario léger ! Alors pourquoi ne pas se lancer dans la tuerie la plus sanguinaire (en volume) et belle (en joliseté) de l'année dernière ?

Ma note :



dimanche 15 mars 2015

Pre-Test : Pre-Alpha Unreal Tournament

Unreal tournament, c'est un des piliers du FPS, de l'arène pour fabriquer des charcuteries, de headshots par milliers, des multi-kills à foison. Mais en dehors de la bidoche et du strafe frénétique, ce grand rival de Quake Arena, a du mal à se renouveler. Véritable vitrine du Unreal Engine (on en est au 4 pour ceux qui suivent...), moteur très connu et utilisé dans la plupart des jeux vidéos, Unreal se doit de fournir de la qualité, et principalement pour ses graphismes, effets de lumière, et effets de particules. Et pour une vraie vitrine, Epic Games a décidé de nous fournir leur nouvelle mouture gratuitement ! Zéro ! Nada ! Pas un pet de lapin ! On peut s'en réjouir comme ... (c'est énervant les phases sans fin). Je vais mettre les images chelous que mon ordi a capturé, parce que les autres se trouvent sur le net (ne craignez rien, le jeu il est pas en arc en ciel).

premier frag, premier arc-en-ciel
Alors comme une pré-alpha est destinée avant tout aux développeurs, il faut quand même prendre des pincettes, car comme l'indique le nom, c'est pas du tout définitif.






On va passer sur l'esthétique, qui n'est pas définitive (c'est le mot du jour), trop simplifiée, cel-shadée en tuto (?!!?), avec une micro gerbe de sang quand le corps de l'adversaire éclate en mille-morceaux. J'espère que ça va plutôt s'orienter réaliste parce que Borderlands ça va bien à Borderlands...






Il y a tellement de Leprechauns que je me demande si c'est pas la St patrick !
Les nouveautés, sont plutôt axées gameplay, et sont pas forcément faciles à prendre en main. C'est assez technique. Le tuto, est quand même assez dur et je me demande si tous les joueurs vont se servir de toutes ces statégies de jump, slide, jump-boots... Ca reste faisable, mais je suis pas fan du double "z" pour dasher après un saut accroupi. Peut-être qu'après un temps d'adaptation ça passe !

Une dernière qui nous montre les prouesses de l'UE4 !
Côté arsenal, on a rien de neuf, si ce n'est une promesse d'arme personnalisée...à venir.

En conclusion, tout est assez flou, les effets de lumière sont là, les arènes aussi, on est dans budokai. Les armes et les déplacements sont par contres très fidèles au ressenti UT, et j'espère que les nouveaux déplacements auront leur intérêt in-game. Peut être un jeu taillé pour le sport électronique... Espérons aussi que gratuit ne signifie pas free-to-play, parce que j'ai qu'un salaire de technicien moi !


Ma note :

Un leprechaun avec une errection
Une Guinness bien fraiche
Un trèfle à quatre feuilles




NB : La St Patrick, c'est le 17 Mars !

samedi 7 mars 2015

Test nostalgie : Earthworm Jim HD

Ah ! La nostalgie ! Quel drôle de sentiment ! Un peu comme un ver de terre qui retourne sur ses pas, ou une space-suit qui retourne vers son chemin normal. Bref, je m'égare ! On parle ici, d'un chef d'oeuvre de David Perry, un des grands de l'ère 16bits me dit wikipédia ! Un de mes premiers jeux PC aussi ! Ah ! La nostalguie (c'est pas une faute de frappe, c'est pour éviter au reste du monde de faire une faute de prononciation) !






Histoire


Le meilleur profil du héros
Autrefois simple ver de terre pris pour cible par les corbeaux, une combianison spaciale tombe sur la tête  de Jim et lui donne des supers-pouvoirs (comme marcher par exemple). Il est maintenant à même de sauver la princesse Quel-est-son-nom (What's-Her-Name en VO, ils auraient d'ailleurs pu être plus fidèles en traduction, c'est trop demandé bordel de merde ?), du terrible Psycrow, de la vilaine (dans tous les sens du terme) Queen Slug-for-a-butt (traduisez sur gogole si vous l'osez, c'est terriblement imagé !) et de leurs acolytes.












Game-system


Ohhh ! Il faut sauver le petit chien !
C'est un jeu de plate-formes assez basique, fort pointilleux sur les distances de sauts (comme à l'époque), Jim peut se servir également de son pistolet mitrailleur, d'un fusil à plasma, de sa tête pour fouetter, planer, ou attraper des crochets (ben dis donc ! Je parie qu'il peut faire plein de $*%@'( avec sa -"#é\^|¤ !). Les niveaux sont assez basiques maintenant qu'on les regarde du haut de ces années, mais à l'époque, les arrières-plans qui bougeaient, les effets de pseudo 3D, et les intéractions avec le décor sont quand même bien travaillés. Chaque niveau plus ou moins vide se termine par un boss. Pour barre de vie, earthworm Jim a 100 truc bleus, et à chaque fois qu'il se fait toucher, il en pert, un peu comme quand un pourcentage pert ses trucs bleus pour la première fois, il peut en récupérer dans le stage et si il en a pas 0, il est pas mort... Le soucis vient du fait d'avoir une course contre Psycrow entre chaque level...inintéressant et long.
Roooh ! Encore courser Psycrow ???
Reste quand même le dernier niveau, abusé au niveau des sauts, tellements arnaqueux, voir pervers du style : putain-de-saut-tu-vas-sAUUUUTER-QUAND-J'APPUIE-SUR-X-PUTAIN-J'AI-FAIT-CE-PUTAIN-DE-X-NON-MAIS-J'Y-CROIS-PAS-PUTAIN-DE-JEUX-C'EST-QUOI-CETTE-ARNAQUE-bon-ça-recommence-plus-qu'une-vie-concentration....putain-de-saut-tu-vas-sAUUUUTER-QUAND-J'APPUIE-SUR-X-PUTAIN-J'AI-FAIT-CE-PUTAIN-DE-X-NON-MAIS-J'Y-CROIS-PAS-PUTAIN-DE-JEUX-C'EST-QUOI-CETTE-ARNAQUEEE??JAMAIS-VU-CA-SALOPERIE-UN-SEUL-CONTINUE-C'EST-CRIMINEL puis du type : ah, en fait quand on le connait par coeur, et qu'on utilise le fouet des fois ça marche... Dernier défaut, la durée de vie, même avec les features ajoutées, il est court en facile ou moyen...Horripilant en dur...


Graphismes


Je disais pas des nimporte quois !
Autant le dire tout de suite, Gameloft propriétaire de la licence depuis peu a fait un gros travail... sur le ver. Jim est hyper bien rendu : ses animations, les ombres sur son costume, ses animations, sa dégaine, et son rendu sont super-cools, comme si on le découvrait pour la première fois, il fait de la corde à sauter avec sa tête ou se fait péter la tronche pour notre plus grand plaisir. On note également un mode multi jouable à 4 en local (pas essayé), et des niveaux bonus, très sympas axés sur l'informatique,et avec un lol-cat qui se prend pour Ray Charles ou Steevy Wonder (j'ai jamais su la différence) en guise de boss final (oh! un minou! c'est trop cute !!)! Sinon pour en revenir à la refonte graphique de cet épisode, c'est coloré, détaillé, mais quand même un peu vide, on a l'habitude de plus d'ennemis, ou de plates-formes avec du vide dessous.






Son



Les bruitages sont corrects, même si les bruits de pets à la bouche, ça le fait moins qu'à l'époque. Les musiques sont correctes bien que répétitives...


Conclusion


Earthworm Jim est de retour ! Même si les années n'ont pas été tendres avec lui, ça fait quand même du bien la nostalgie nostalgique ! Ce héros sorti de nulle part mériterait quand même un nouveau jeu, à la mesure de son charisme. Moins inventif que sa sequel, Earthworm jim 2, il pèche par son manque de diversité, même si les niveaux bordéliques fourmillent de cachettes... J'ai quand même été surpris que Gameloft, qui était pour moi, tout sauf un bon développeur de jeux, ait autant réussi le remake-portage-HD-last-gen de ce monument. Je peux conseiller ce jeu pour ceux qui y ont déjà joué, mais pour les autres ... les jeunes ... Je crains que ce qui était fou en 1994-1995 ne le soit plus trop, à l'image de l'industrie du jeu, qui aujourd'hui nous fait payer pour développer des demos, des jeux à moitié finis, et des jeux de plate-formes à base de waluigi... Triste époque, bon je retourne à Dead Rising 3 !

Ma note :







mercredi 4 mars 2015

TEST : 2048 (Smartphone)

TEST : 2048 (Smartphone)








Après être parti 6 mois avec mes amis canards, je reviens pour écrire des tests. 
Le premier de cette nouvelle génération est 2048, un petit jeu sur mobile qui rend fou.
Le principe est simple, réussir à faire une case portant le nombre 2048 avec des puissances de 2.

 



 

 

Comment on y joue?


 Pour y arriver, vous devez combiner des cases adjacentes ayant le même nombre en vous déplaçant soit vers la droite, la gauche, le haut ou le bas (par exemple, si deux cases « 2 » se combinent, vous faites « 4 »). Mais pour comprendre ce jeu, je vous conseille de l’essayer.



Gameplay

 

L’utilisation du doigt est optimale : on peut glisser vers le Nord, le Sud, l’Est ou l’Ouest.

 


Graphismes

 

 Franchement, c’est une claque en pleine figure. Chaque nombre à sa couleur, et la modélisation des cases est exceptionnelle. 




Durée de vie

 
15 minutes environ pour chaque essai, et à peu près 2 semaines pour faire 2048. 
Et un petit « new game + » en prime : on peut aller plus loin que le chiffre 2048…




Conclusion

 

2048 est un jeu gratuit sympathique, mais rageant. On peut faire une petite partie en attendant son train, ou une grosse aux toilettes.