Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

dimanche 29 juin 2014

TEST de jeu honteux : WET

A2M ne vous dit peut être rien, mais c'est un développeur fort talentueux. En 2009, il nous sortait WET édité par Bethesda, mettant en scène une tueuse en série du nom de Rubi.
C'est ce qu'on vous promettait, vous ne le verrez jamais !

ASSION !



Nous les fans de jeux d'action, c'est bien clair, on est pas gourmands, on a pas d'exigences, ce qu'on veut faire, c'est tirer dans tous les sens sans se prendre la tête. Ici, le jeu veut nous vendre un concept du style : t'es une nana, t'es bonne, tu parles comme une gouine camionneuse qui a fusionné avec Balasko, tu as des flingues, une épée et pfiouuu, quand tu tires ça fait, fouissshhhh ralentiiiiii ! Et tout cela dans un style autoproclamé "Tarentino", pour le sous-titre ça veut dire série z (si vous savez pas ce que c'est pensez à du munster vieilli 12 ans au soleil de camargue, que vous servez sur une chaussette sale, et maintenant convertissez cette idée d'odeur en scénar et en style, oui c'est ça c'est pourri !). Ici, c'est ambiance house of the dead overkill, sans l'humour !


Histoire, ambiance sonore, maniabilité, durée de vie, etc. Je vais pas faire de rubriques, ce jeu est naze !


apreciez la finesse des graphismes
Rubi, puisque c'est son nom a deux problèmes dans la vie : elle a un sale caractère, et elle sait pas s'entourer... Sa profession ? Tueuse à gages. Elle va tomber sur un contrat qui lui demande de sauver un mec qui est le fils d'un patron de la drogue (ça fait plus 18+ si c'est de la drogue). Mais bon ça tourne mal et le commanditaire s'avère être le rival du fameux baron n°1. Il tue le fils, vous empochez du fric, mais ça vous plait pas, et sur ce simple principe, vous êtes décidée à défoncer le baron n°2. Comme aide, vous avez : un indic qui est pêcheur dans le canada, un chinois à Hong Kong qui obtient toutes ses infos dans son frigo (et qui quitte jamais son appart), et son colloc le gros porc qui vous parle pas pour jouer à la Xbox...
La fille, elle a pas de bol dans sa vie. Et pour couronner le tout, elle est vraiment mal détourée, un espèce d'aliasing-bord-blanc se fout entre elle et le décor. Tiens, parlons en du décor : tantôt rouge et bois, tantôt rouge noir et blanc quand on rentre en mode suda51. Il est pauvre, grossier mais a l'avantage d'être homogène, il ne jure pas face aux ennemis cubiques, mal animés et à l'intelligence vraiment artificielle (fonce vers rubi, tire même quand tu la vois pas, etc.).

Ce n'est pas de se retrouver sur PS2 qui vous fait tant souffrir, mais surtout la comparaison au jeu que vous vouliez retrouver : Stranglehold. C'est son clone raté !
power slide !
Là ou Stanglehold (je vais mettre S pour pas taper à chaque fois le nom) est un jeu qui foisonne de ralentis dès qu'on saute, wet aussi. S c'est John Woo, WET, c'est Tarentino. Même en multipliant les action ( ralenti de powerslide, ralenti de courage sur les murs), les phases EXTREMEMENT PENIBLES d'escalade (comme Prince of Persia avec des moignons) le rythme est cassé et ça vous force à observer la physique de poupée molle de Rubi, dès qu'elle chute à cause d'un saut "correct, mais qui passe pas cette fois". Mais là où c'est fort, c'est que ce jeu s'adresse en fait à des game designers : si il ne faut pas faire des plateformes alignées comme dans wet, il faut quand même vivre le pourquoi et comprendre l'expérience. De même, quand Rubi meurt dans une chute, les murs et sols deviennent invisibles, ce qui permet de bien comprendre la structure du niveau, de L'INTERIEUR. Voilà qui est désormais plus clair, cet outil pour former sur les métiers du jeu vidéo est on ne peut plus complet.
Doublages décalés et sans conviction (mention spéciale pour l'accent chinois), level design raté, scénario raté, musiques horribles (sorte de country-punk hyper aggressive), niveaux reposant uniquement sur des QTE (mal placés par rapport à l'action, on ne les voit jamais), les autres niveaux n'étant que des chemins menant à des arènes, courses défi vraiment horribles (débloquent des armes), punch lines d'un goût plus que douteux : "C'est qui la salope maintenant ?", "Va te faire sucer", etc.
seules les phases de rage sont agréables visuellement
Seuls des idées mal mises en oeuvre nous aident à faire passer la pillule, j'ai nommé le mode sanguinaire, sorte de furie où les graphismes stylés à la SUDA51 font passer ce jeu comme regardable, mais néanmoins hyper court (comptez 2 min par phase) et le système de double visée, quand l'héroïne saute et déclenche le ralenti, un 2ème réticule se met à tirer sur l'ennemi le plus proche. Mais dans la pratique c'est raté, le viseur même bien placé, un ennemi ne s'écroule qu'après 6 balles en pleine tête... Les combats sont donc très longs et on a l'impression de jouer au ralenti. Que penser de la logique : "en mode ralenti, le joueur à une vitesse de tir décuplé"???

Au moins le calvaire ne dure pas et il vous faudra moins de 6 heures pour finir l'"aventure".
Si vous voulez vous amuser, prenez Stranglehold, qui est plus vieux de 2 ans mais qui ne s'encombre pas de phases d'escalade, et permet de viser en corrélation avec votre réticule !

Ma note :

Un Flamby et un vieux chelou

mardi 24 juin 2014

Test : Mario Kart 8

 

C’est un Mario Kart, mais en Haute Définition!!!















Ma note :  


     Le cul de Mario en Haute Définition




lundi 23 juin 2014

Test : Ranko Tsukigime's Longest day

Les graphismes sont soignés,
tout comme les stéréotypes 
Ranko est une ado comme les autres, et comme toutes les ados de manga, elle est stéréotypée, elle c'est la naturelle avec un bandeau sur les yeux, elle est amie avec l'éternelle optimiste, et la fille aux gros seins maladroite... Mais voilà, son passé est compliqué et a fait d'elle une tueuse à gages, qui tire avec une sorte de violon-fusil... Un jour normal, elle décide qu'elle va passer une journée de merde, et donc elle commence à se faire aborder par des gros nazes, et elle commence à courir...Bon ok, ici, pas trop d'inquiétudes à avoir Suda51 nous livre une sorte d'OAV de 30 minutes avec de l'animation japonaise stylisée, du pixel art et des couleurs flashy. Sorte de bâtard engendré par un Sonic avec des champis, un Rez normal (sous acide), un Guacamelee sous acide, un Catherine sous speed, un Killer is dead ivre mort, un Tokyo Jungle sous acide et d'un animé lambda sous acide ! L'animation est soignée, et l'action et la musique effrénés.
Merde ! Je vous spoil la moitié des dialogues !











Cette oeuvre se veut barrée, esthétique, et immédiate... un peu comme pas trop l'acide!

C'est simple et ça tape !
Mais le côté "jeu" dans tout ça ? C'est assez simple en fait ! En scrolling horizontal, vous contrôlez la jeune Ranko qui doit tout buter, trouver des cadeaux et éviter les mains tripoteuses qui vous poursuivent par la gauche. Vous avez comme action : sauter, glisser en descente, planer, taper et tirer (sur les fameuses mains). Sachez également qu'en tapant un ennemi celui-ci se désintègre en couleurs, mais si vous faites des combos, ces couleurs deviennent des objets, qui deviennent à leur tour des armes qui butent des ennemis. En tuant les ennemis, vous rechargez également votre barre de tir. Et c'est à peu près tout ! Mais sachez que les références sont nombreuses et que le gameplay vous réserve sa dose d'acide de surprises tout comme l'histoire.

Si j'ai bien compris ce jeu est une sorte d'exclu vendue par micromania et il contient aussi des courts métrages que j'ai pas encore vus. J'ignore ce que ça coûte, mais vu la durée de vie, j'aurais vu ça en cadeau ou en avantage hyper-gros-client-de-sa-race. Merci Oyikutensho pour cette découverte certes très rapide, mais ô combien divertissante. Un peu comme un OAV sous acide...

dimanche 22 juin 2014

Test : Yakuza Dead Souls

Yakuza est une série bien connue des amateurs de jeux japonais. Plus ou moins descendant de Shenmue pour sa liberté de déplacement, ses dialogue et ses quêtes annexes, ce spin-off nous place dans le même contexte que Yakuza 3&4, mais avec une invasion de zombies sur Kamurocho !


Yakuzartistique



Oh qu'il est gros !
Sans être vraiment moche, les animations rigides, les textures pas très nettes, les détails qui manquent montrent que ce jeu qui date déjà d'il y a 2 ans, est l'héritier de Yakuza 3 sorti lui même en 2009 au japon, ce qui fait un total de 5 ans ! Comme dans les précédents épisodes, les rues du quartier de Kamurocho à Tokyo sont fidèlement reproduites, la carte est vaste et contient de nombreux passages secrets ce qui permet de gagner du temps dans les déplacements. A noter que dans cet épisode, on a une zone de quarantaine qui grandit au fur et à mesure de l'histoire. Les personnages principaux sont bien modélisés, mais les PNJ sont bof-bof.





Yakuza du background


L'histoire est suffisamment intéressante pour nous faire hésiter entre quêtes annexes et la quête principale ! Alors qu'on est dans un jeu de zombies ! En gros Haruka s'est encore fait capturée, mais par qui, et pourquoi ? Les personnages ont du charisme, les dialogues sont intéressants, et l'histoire est bien structurée.
On joue :
-Shun Akiyama, le requin des finances
Ils sont de retour !
-Goro Majima, le yakuza à l'ancienne, qui est très bourrin, ancien méchant.
-Ryuji Goda, l'ancien ennemi de Kazuma, auquel on a greffé une sulfateuse au bras et qui entre temps est devenu chef de Takoyaki (une sorte de beignets au poulpe originaire d'Osaka)!
-Kazuma Kiryu, le héros, philanthrope, éleveur de gamins au grand air, label qualité or.
Les personnages que l'on incarne tour à tour se croisent et se passent le relais, c'est très agréable !
Avec des quêtes annexes, compter une grosse trentaine d'heures, pour faire tout au max je pense que 40-45 heures sont nécessaires, mais un mode premium aventure (sans histoire), et premium histoire (new game+) permettent de faire exploser ce compteur.



Yakuza mal à ma manette


Oulà ! ça va ramer sévère !
Le gameplay est un peu étrange, au lieu de nous faire viser avec le stick droit, on vise avec le stick gauche, et au lieu de suivre le centrage de la caméra le mode visée commence là ou le personnage "pointe". Très déboussolant au début, on prend le pli et très vite, on ne vise même plus... Avec toutes les capacités débloquées, votre arme améliorée, perdre un ou deux headshots, on s'en fout ! On note l'apparition d'accompagnateurs tous plus relous les uns que les autres tantôt vous appelant à l'aide, tantôt vous disant que vous allez trop vite...En plus ils ont que 3 phrases au compteur, c'est pas jojo. Au bout d'un moment on y va tout seul et on fonce !
Le bestiaire est fourni et nous propose 3 type des zombies : les normaux (ils sont normaux), les mutants avec 1 pouvoir spécial (rapides, costauds, appelant du renfort, avec une super armure, etc.) et les prototypes (les boss).  Ils possèdent chacun des points faibles, et il faut donc s'adapter.
Un point négatif tout de même : les combats ont tendance à ramer à partir de 30 zombies et 1 ou 2 spéciaux.



Yakuza beaucoup de quêtes annexes



Attendez-vous à des quêtes-annexes délire !
Le gros point fort du jeu ! Au chapitre des jeux accessibles, on a du UFO catcher, des bornes d'arcade, du pachinko, du ping pong, du baseball, du snooker, des fléchettes, des machines à sous, du poker, du black-jack, du baccarat, de la roulette, des jeux chelous japonais (cee-lo, koi-koi, etc.), du majong, du shogi... C'est très complet, et bien fait ! Des quêtes annexes variées où on va chercher des survivants, des objets, on sauve des restaurants, on fait le policier, on aide des vicieux à matter des culs, on rassemble des familles (comme à l'époque de débile et méchant !), et même faire manger le capitaine du sea shepherd par des zombies (bien joué les japonais !), bref c'est assez délire, et ça vaut le coup ! Mais quand même ça vous force à faire un nombre d'aller-retours assez importants (c'est fatiguant les aller-retours !). On a également les activités de glande, que l'on fera en général en rendez-vous avec des hôtesses préalablement séduites en choisissant la bonne réponse à des dialogues. Ca peut être un des sports décrits plus haut mais également du golf, des bains japonais, des massages, du karaoké (pure love in kamurocho!!!!),des restaurants, du shopping et de la pétanque (non, je déconne). Vous ai-je parlé du fou qui cherche des aliens dans les égouts, non ? Eh bien c'est aussi dedans.




Yakuza pas l'jap (Je ne cause pas l'jap... désolé)



Au chapitre audio les doublages sont très convaincants, et tous les dialogues avec les PNJ sont doublés ! Seules quelques mimiques ne font pas naturelles. Sinon c'est très japonais, très exagéré (le côté yakuza, code d'honneur et tout ça), et on prend plaisir à suivre l'intrigue. Au niveau compréhension, ça va très bien puisque le jeu est traduit en anglais intégralement (anglais un peu bizarre des fois). Les sons d'ambiances sont bien enregistrés mais un peu hachés, c'est très bien pour l'immersion.



Yakuza of the end ?? (titre japonais)



En attendant la sortie hypothétique des épisodes déjà sortis au japon, mais dont la localisation est fortement remise en question (Yakuza 5, Yakuza 1&2 HD, Yakuza Ishin), ce jeu apporte de la fraîcheur, et nous remémore les bons moments passés à arpenter les rues de Kamurocho et à s'adonner à toute une foule d'activités bizarres. Puis on va un coup en zone infestée, on tue des zombies, on sauve un humain, on fouille des souterrains, on libère des boutiques... puis on sort de la zone, on reçoit un appel de l’hôtesse qu'on a dragué et on part en rendez-vous, puis on fait un bout de l'histoire...On se sent LIBRE !!
Si vous avez aimé les autres Yakuzas, foncez !! En plus le titre autrefois introuvable est maintenant dans les bacs de micromania à pas cher !
Pour commencer, c'est peut être pas le mieux, mais si on veut des zombies, y'a pas le choix !
Vivement les autres !!!! S'il vous plait SEGA !!


Ma note :


Un pachinko Virtua fighter                                              +                                          des takoyakis


vendredi 20 juin 2014

TEST: XENOGEARS

 
Reconnu comme étant l'un des meilleurs J-RPG, Xenogears est un jeu très peu connu en Europe, car il n'y a, malheureusement, jamais été localisé, la faute à l'association de relous "Famille de France" qui sévissait dans les années 90. Alors que vaux réellement ce fameux jeux?

HISTOIRE

Fei dans le village de Lahan.
Le jeu commence dans le paisible village de Lahan, nous incarnons Fei Fong Wong, un jeune homme amnésique, qui fut recueilli par le maire dudit village quelques années auparavant. L'intrigue du soft débute réellement lorsque débarque une armée de robots (les gears) attaquant Lahan. Fei, n'écoutant que son courage, parvient à s'emparer d'un des gears et tente de défendre son hameau, le combat ne se déroule, cependant, pas comme prévu et notre héros rentre dans une rage folle et perd le contrôle de son robot, détruisant entièrement Lahan! Fei parcourra ensuite le monde afin de trouver une raison de vivre.
Autant le dire tout de suite le scénario et le point fort du jeu! Au cours de ses pérégrinations, Fei rencontrera de nombreux personnages possédant chacun une histoire très développée, et l'intrigue, sur fond de conflits géopolitiques, s'étoffera à mesure de notre progression.
Les thèmes abordés sont nombreux et matures: la mort, la religion, l'amour, la destiné, la liberté, le sacrifice, l'identité...  et sont toujours traité de façon intelligente. On a l'impression d'être face à un mix réussi de FF6,  FF7, et Evangelion.

GRAPHISMES
une image tirée d'une des scènes en animé

Les graphismes du jeu n'ont pas spécialement vieillis. Les personnages, tous en 2D sont plutôt bien réalisés, leurs animations sont réussies, on regrette, cependant, les zooms, lors de certaines scènes, les transformant en bouillie informe de pixel.
Les gears sont tantôt en 3D, tantôt en 2D (principalement sur la map pour la 2D). Le rendu 2D est loin d'être réussi, mais en 3D les mechas sont plutôt bien modélisés, mention spéciale à ceux qui ce transforment et dont l'animation est vraiment bien foutue pour l'époque. La réalisation des décors, tous en 3D temps réel, est le seul défaut visuel du jeu, car ils ont un rendu un peu sale, les textures étant floues (à voir sur une tv cahodique, peut être plus propre...).
Enfin, le jeu comporte très peu d'images de synthèse (principalement avec les gears), les développeurs ayant fait le choix de mettre des scènes en animé à la place. Ces scènes sont plutôt bien réalisées, mais perdent en qualité vu le support utilisé (et oui le Compact Disk, les jeunes ne peuvent pas comprendre!).

GAMEPLAY
Les gears en plein combat!

Les déplacements sur la map, dans les villes et dans les donjons se font de façon classique, la seule petite différence est la possibilité de sauter pendant les phases d'exploration, ce qui entraîne des petites phases de plate-forme pas toujours réussis.
les combats se divisent en deux catégories (ceux qui ont le pistolet chargé, et ceux qui creusent... Désolé...): Les combats à pied et les combats en gears. Les combats à pied ont un déroulement assez classique, du tour par tour avec MP et HP, mais ce qui les différencie des autres J-RPG, c'est la commande attaque remplacer par un système de combo. Les combos se débloquent aux fur et à mesure de votre progression et de vos tentatives de combinaison de touche. Une option permet d'engranger des points de combo pendant plusieurs tours, et de lacher une attaque composé de plusieurs combos d'affilés.
En gears, les combats sont un poil différent, ici pas de MP mais du fuel. Chaque action consomme une partie de ce fuel, si vous tombez en panne, votre gear ne pourra plus bouger, vous serez donc obliger de passer plusieurs tours pour essayer de le recharger. Les combos en gear s'obtiennent en fonction des combos débloqués par leur pilote et se divisent en trois niveaux. Chaque attaque simple fera augmenter votre niveau de combo de un. Vous pouvez donc choisir de lancer un combo de niveau 1 un tour sur deux, un combo de niveau 2 un tour sur trois, où un combo de niveau 3 un tour sur quatre (les combos de niveau 3 étant, bien entendu, plus puissant que ceux de niveau 1 et 2). Les combats en gear vous offrent aussi la possibilité d'utiliser la commande "Booster", vous permettant d'attaquer plus vite mais consommant beaucoup plus de fuel.
Le système de combat, dans son ensemble, et donc très bien pensé et nous offre deux gameplays différents, avec de larges choix stratégiques.
Le combat à pied, avec un combo qui va partir!


SON

Les musiques sont plutôt jolies et collent bien à l'ambiance des scènes, avec des sonorités assez proches de ce que faisait Nobuo Uematsu sur FF9. On regrette, toutefois, l'utilisation de la tracklist (environ 40 pistes), car l'on a l'impression de réentendre fréquemment les 15 mêmes morceaux.
Les bruitages sont plus que corrects et nous immergent encore un peu plus dans l'univers. Gros point noir pour les doublages anglais durant les scènes en animé, les doubleurs ne sont pas du tout crédible et il n'y a aucune synchronisation labiale...

DUREE DE VIE

Xenogears possède une durée de vie dans la moyenne de ce qui se fait dans les J-RPG, comptez une bonne cinquantaine d'heure de jeu pour parvenir à latter le boss final (Attention, Xenogears possède, par contre, énormément de passages scénarisés et de textes). On regrette le découpage du jeu, plutôt mal équilibré, avec un CD1 bien rempli (environ 35 heure de jeu, pour la quête principal), et un CD2 où les phases d'exploration disparaissent, purement et simplement (jusqu'au dernier donjon).
Plusieurs quêtes annexes sont disponibles, permettant de rallonger la durée de vie du soft, compter une bonne dizaine d'heures en plus pour en venir à bout.

CONCLUSION

Xenogears mérite amplement son statut de jeu culte! Le gameplay du soft est extrêmement travaillé, les personnages sont tous réussis (aussi bien leurs designs, que leurs personnalités), l'intrigue, profonde et très travaillée, possède plusieurs niveaux de lecture, avec des références à pas mal de de travaux philosophiques où psychanalytiques (Lacan, Nietzsche, Freud...). Une très belle oeuvre à ranger aux côtés de FF7!

Mon Verdict
              The bible                                                                   +                                                    Gundam

mon top 10 Jeux de course



Allez! Aujourd'hui on s'la joue Fast and Furious! Mais faites attention, conduisez mieux que Paul Walker!

10°)Saga Wipeout
La saga Wipeout nous permet de réaliser un rêve de gamin, faire la course avec des navettes ultra rapides. les jeux Wipeout ont souvent été un gage de maîtrise technique (Le dernier en date est en 1080p/60Fps, si je ne m'abuse). Mais Wipeout c'est surtout des jeux avec une difficulté plus qu'honorable, des navettes à débloquer, des dizaines de courses, et différents modes (dont le mode élimination, où vous devez buter tout le monde!).

9°)Vigilante 8

Alors Vigilante 8 n'est pas ce que l'on peut appeler un jeu de course, le but étant de détruire les véhicules adverses. Le jeu dans la plus pure veine arcade, nous laisse choisir parmi 13 concurrents (dont certains à débloquer) avec chacun une compétence propre (le camion peut envoyer des pneus explosifs...)en plus des différentes armes générales(des mines, mitraillettes...). Vigilante 8 est un très bon jeu doté d'une durée de vie quasi infinie si vous jouez entre potes.

8°)Saga Grid

Héritier de la saga Toca, Grid est un jeu de course à mi-chemin entre arcade et simulation. Dans Grid, il vous faudra gérer la carrière de votre pilote afin de le hisser à la première place (particulièrement poussé dans Grid 1). On apprécie particulièrement le concept de défi sponsor, où il vous faudra arborer une marque d'équipementier et réaliser une action précise durant la course (par exemple, faire un drift de 15 mètre...), afin d'engranger de la thune. Les jeux Grid possède une bonne durée de vie, et un choix de voiture plus que correct.


7°)Crash Team Racing

Crash Team Racing est un jeu de course arcade fortement inspiré par la saga Mario Kart. On apprécie particulièrement le nombre de circuits et de personnages à débloquer. Le jeu est vraiment très agréable et très fun à jouer. Jouable jusqu'à 4 joueurs,  CTR vous promet de nombreuses heures d'amusement (et de frustration aussi, car certains niveaux sont assez corsés!), notamment grâce à sont mode arênes vraiment bien foutu.



6°)Saga Mario Kart

Pas besoin de présenter Mario kart! La série reste une des plus funs en terme de jeu de course arcade, le gameplay s'est perfectionné à mesure des épisodes, et le fun est toujours aussi présent en multi (qui n'a jamais pourri un pote au dernier tour!). On regrette cependant la difficulté relative des derniers épisodes (où une course peut être remonté avec le bon item).

5°)Sonic and Sega Racing All Star Transformed

Encore un mario Kart-like, est pas des moindres! SSRAST (ouais c'est trop long à taper...) est l'équivalent de Mario Kart, mais chez son ancien concurrent historique Sega. On retrouve donc des personnages issus de fanchises diverses et variées (Golden Axe, Sonic, Alex Kidd, Crazy Taxi...) aux volants de bolides pouvant se transformer! Et oui, voila la particularité du soft, les courses peuvent se dérouler sur la terre ferme, sur l'eau et dans les airs! Les circuits sont magnifiques et se transforment, eux aussi, aux fil des tours de piste (par exemple, la route s'écroule et nous voila à voler avec notre bolide transformé en avion pour l'occasion!). Le jeu a une durée de vie plus qu'honorable, et la difficulté est réellement présente (peut être même trop! Il est très difficile de terminer le jeu à 100%).

4°)Saga Gran Turismo

Une saga qu'on ne présente plus, GT est la simulation par excellence. Des milliers de véhicules, des dizaines de circuits, une physique appréciable (en dehors de la gestion des dégâts et des crash). Les GT sont synonymes de durée de vie énorme et de réglages précis. Jouer à Gran Turismo c'est un peu retrouver le plaisir des petites voitures (Ah les Majorettes!) et de la collectionnite!

3°)Saga Need For Speed



la saga NFS a toujours alterné les styles de jeu en son sein. On retrouve, pêle-mêle, des jeux arcades, des simus, des jeux sur le tuning, sur circuit, avec des flics, scénarisés... Certains sont excellents, d'autres moins bons, mais la saga, dans son ensemble, reste fortement kiffante. Mes deux préférés: Most Wanted (premier du nom) et Shift 2 Unleashed.



2°)Saga Burnout


Un  jeu de course 100% arcade, burnout vous plonge dans des courses où la vitesse est le maître-mot! Le jeu est donc, surtout, une affaire de gestion de la prise de risque (en gros chaque risque pris, comme conduire à contre-sens, recharge votre jauge de boost) et de réflexes. La moindre erreur sera donc sanctionnée par un magnifique crash, vous faisant vite retomber dans le classement! Certains modes de jeu vous incitent même à réaliser le plus gros crash possible, juste jouissif!



1°)Midnight Club: Los Angeles

Midnight Club: LA est un jeu purement arcade, vous laissant arpenter librement les rues de Los Angeles, et vous permettant de customizer votre voiture à 100%. La sensation de vitesse est prenante (tout de même moins rapide que Burnout), certaines courses vous demandent d'aller d'un point A à un point B, sans itinéraire prédéfini, à vous de trouver le meilleur chemin pour vaincre vos adversaires! La customization est l'une des plus poussées dans le genre, avec des dizaines et des dizaines de pièces pour chaque voiture, et un système de décalco, vraiment bien foutu, vous permettant de créer plusieurs couches, et ainsi réaliser à peu près tout et n'importe quoi! Plusieurs pouvoirs sont disponibles en courses (ralentir le temps, défoncer tout sur son passage, désactiver l'électronique de ses concurrents, où déclencher une onde de choc afin d'envoyer ses rivaux dans le décor), et l'on peut même piloter des motos permettant de diversifier l'expérience. Vivement la suite!