Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

dimanche 29 décembre 2013

TEST : PICROSS



Avant de vous parler de PICROSS, je voudrais remercier, ou pas, Narzaal Legris de m'avoir fait découvrir ce jeu.



PICROSS, c'est quoi?


C'est une substance psychotrope synthétique, qui conduit au désir de continuer à la consommer pour retrouver la sensation de bien-être qu'elle procure (réf. Larousse). Ou plus précisément, c'est un jeu de réflexion où il faut noircir des cases en suivant les indices du bord de la grille, dans le but de découvrir des petits dessins mignons.

 

 

Vous avez dit drogue?


C'est quoi ce truc?
Lorsqu'on lance pour la première fois de sa vie un jeu Picross, c'est sans grandes convictions. Mais après un puzzle 5x5, la magie opère. On se prend au jeu et après quelques heures consécutives, on se rend compte que le dernier puzzle du jeu vient d'être fini.



 

 

Et après?


Après avoir fini son premier jeu, on devient agressif : on a besoin de son fix. Alors, on cherche des anciens jeux picross par tous les moyens, on est même prêt à payer 5 euros pour un Mario's picross sur l'eshop.

 

Conclusion


Picross est un jeu fantastique dans les transports en commun, au travail (une petite partie, console sous le bureau, ne fait pas de mal), devant la télévision, quand le sexe opposé vous parle...
Avertissement : Picross 3D peut provoquer des crises d'explosions de cubes quand vous fermez les yeux.

dimanche 15 décembre 2013

Snowpiercer, le train de l'enfereu

Année 20xx, l'humanité ne sait vraiment pas faire de choix, et après avoir chauffé l'a planète très très beaucoup, les hommes décident de répandre un gaz magique qui refroidit bien. Mais un peu trop car la planète rentre dans une ère glacière... pas de bol. Seule solution : une arche, non, non, je vous arrête tout de suite, pas un bateau ou une navette spatiale dérivant dans l'univers, le choix le plus judicieux qui soit, un train. Oui! Tchou tchou !
A son bord les rescapés de l'humanité sont de 2 sortes : très gentils, pauvres et crasseux. *spoil*et sont obligés de se nourrir dans leur propre wagon de morceaux de gens, de gens , ou ..horreur ultime pour des américains... des bébés ! *fin du spoil* Catégorie 2 : des très très vilains qui travaillent pas, qui passent leur temps a sniffer de la drogue sur le cul de leur maîtresse et qui méprisent ceux qui vivent dans la fange.
L'histoire nous invite a vivre l'incoiyaaaableu tour de force des nazes de pauvres qui savent pas se révolter contre les forces du mal et "la machine". Les bouseux vont donc pouvoir passer dans divers wagons comportant tous un theme. *spoil* prison-chambre des gardes-champs en espagne-aquarium-resto sushi-club SM-jeunesses hitleriennes-pediluve-hamam-teuf geante-salle des machines et... oh surprise la terrible.... cuisine...oui une cuisine où on cuit des trucs et ou on mange.... *fin du spoil*
Ce film surprend par ses choix (scenario prévisible et cliché) comme par exemple pourquoi ranger des prisonniers dans des tiroirs ou pourquoi la drogue dont j'ai oublié le nom est également un explosif? Et pourquoi on regarde les acteurs fumer "une malbo light", dernière clope de l'univers, et la foule regarder avec une envie incroyable de fumer. Si c'est pas du placement de produit. Pour finir faisons court: coréen- travail enfants -riches pas bien- explosion- déraillement- ours
Un film à éviter (surtout au cinéma) sauf si on est endormi.


samedi 14 décembre 2013

TEST : DRAGON'S CROWN



HEROIC FANTASY, BASTON ET BOOBS !


Toi aussi tu aimes taper les gens, toi aussi tu es en manque de Beat’em all à l’ancienne, alors voici un test de Dragon’s Crown rien que pour toi mon loulou.

Histoire


L'écran de sélection avec notre fine équipe en train de se murger la tronche...
L’histoire de Dragon’s Crown nous plonge dans une quête épique afin de restaurer la paix dans le monde de Hydeland. Ici pas de cinématique, que des images fixes avec des textes et une voix off qui vous fera replonger dans un délire Jeu de Rôle à l’ancienne.
Certes, l’histoire ne casse pas trois pattes à un canard cul-de-jatte et est plus un prétexte permettant de se sentir investit d’une mission, de toute façon on n’est pas là pour enfiler des perles mais pour tout défoncer comme au bon vieux temps.
 Point négatif cependant, si l’on fait une partie solo on doit tout se retaper avec chaque perso, ce n’est pas très grave, mais ça peut vite saouler étant donner que l’on doit naviguer dans la ville pour continuer l’histoire.

Graphismes


Les graphismes de Dragon’s Crown sont une pure merveille (en même temps Vanillaware nous y avait habitué…), rare sont les jeux à atteindre une telle beauté en 2D, ainsi chaque stage est un émerveillement et les persos sont tous très bien animés avec un rendu excellent.
Le côté artistique du jeu peut dérouter. En effet, nous sommes plongés dans un univers d’heroic fantasy assez stéréotypé, avec des illustrations pouvant rappeler des tableaux de la renaissance, mais le chara-design des persos féminins et le fan service omniprésent pourra en rebuter plus d’un.
Hentai? Vous avez dit Hentai?

Gameplay


Des montures sont également de la partie (Golden Axe si tu nous regarde!)
La maniabilité ne souffre d’aucun écueil, tout s’enchaine de manière parfaitement fluide, et chaque personnage possède des techniques et des habilités qui lui sont propres. Ainsi chaque héros se joue de manière très différentes et sont classés par accessibilité (le guerrier pour les débutants, le mage pour les joueurs expert…).
La possibilité de faire level-upper son avatar rajoute encore de la finesse et de la diversité au jeu, en nous permettant d’attribuer des points de compétence à deux arbres de capacités, un commun à tous les protagonistes et un unique à chaque personnage. L’on peut ainsi se créer un personnage unique disposant de pouvoir que d’autres joueurs n’auront pas forcément, ce qui influence grandement notre façon de jouer.
Le jeu permet de jouer jusqu’à quatre joueur en local, comme en online pour une foire d’empoigne digne des bornes d’arcades des années 90. On prend donc énormément de plaisir à se retrouver entre potes pour défourailler de l’orc , de l’hibours et tout ce qui nous barrent la route dans un gros bordel organisé.

Son


Les bruitages et les doublages remplissent parfaitement leurs rôles, on sent les impacts et l’on entend les ennemis déguster nos poings dans leurs vilaines gueules.
Les musiques sont, pour leur part, assez efficaces dans leurs styles et nous plongent d’avantage dans ce monde et ce périple, elles ne sont, pour autant, pas inoubliables mais réussissent très bien ce pour quoi elles ont été crées à savoir nous accompagner dans notre quête.

L'action peut vite devenir bordélique quand des sort sont lancés.

Durée de vie


C’est le gros point fort du jeu, avec 6 héros à jouer et en comptant environ 15 heures pour finir le jeu avec un seul personnage (possible aux alentours du niveau 35), on se rend compte que l’on en a pour notre argent. Rajouter des quêtes annexes à réaliser pour débloquer des artworks, les donjons à refaire pour obtenir les meilleurs équipements possibles et la possibilité de faire monter son personnage jusqu’au level 99 [màj : maintenant jusqu'au niveau 255 en mode ultimate], et vous obtenez une durée de vie de fou furieux. De plus on prend beaucoup de plaisir à s’y remettre avec des potes ou en online pour 2 à 4 fois plus de plaisir.

Conclusion


Ce Dragon’s Crown est une bombe, tout semble avoir été conçu pour le plus grand plaisir du joueur nostalgique en manque de jeu comme on en faisait il n’y a pas si longtemps.
Nous sommes en présence d’un grand jeu que tout joueur digne de ce nom se doit d’essayer, et de posséder.




dimanche 8 décembre 2013

TEST : SAINT SEIYA : Brave Soldiers


Les chevaliers fument le cosmos 9


Un jeu Saint Seiya, c’est un événement pour tous les fans. Pouvoir jouer avec son équivalent zodiacal est toujours jouissif (exception faite peut-être pour le Cancer et le Poisson). Donc on essaie de se convaincre que le jeu va être cool, mais après quelques minutes de jeux, la sentence tombe : le jeu est cheap.

 

Histoire

Saint Seiya, une histoire d'amour interdite!

Le jeu reprend
les chapitres du Sanctuaire, Poséidon et Hadès. Beaucoup de personnes pensent qu’il manque Asgard, mais c’est un HS, comme les chevaliers d’acier, donc on s’en passera. Le mode Histoire est nécessaire pour pouvoir débloquer tous les persos, sauf pour Jabu et l’Hydre. Le jeu reprend les scènes principales du manga, même le gros câlin entre Hyoga et Shun, qui est digne d’un porno gay. Seul l’avant dernier combat est vraiment jouissif, où l’on prend le contrôle de Seiya en armure divine !

 

Graphismes


Ouais, c’est beau mais pas exceptionnel, comparé aux jeux sur PS2, c’est normal. Les chevaliers sont bien modélisés, mais les niveaux sont très pauvres en détails. Il est dommage que les arènes se soit pas destructibles (sauf pour quelques piliers situés au milieu) et que l’on ne finisse pas avec une arène complètement défoncée. Il manque aussi les dégâts sur les armures !!!

 

Gameplay


Comme je suis mauvais aux jeux de combat, je n’ai pas une analyse poussée, mais tout ce que je peux dire, c’est que Brave Soldiers à une prise en main très facile. Normal, vu que c’est très limité : carré, carré, triangle. Maîtriser les téléportations est la clé du combat, c’est un peu trop facile, même pour moi. Il n’y a qu’une attaque Big Bang par perso (ou deux si vous êtes en septième sens). On les regarde toutes, et après on fait quoi ???

 

Conclusion



Etant fan de Saint Seiya et de jeux vidéo, je prends, même à 60 euros. Mais il faut plutôt attendre qu’il baisse de prix !!! Ah oui, dernière petite chose, pourquoi ne pas avoir fait la suite de la Bataille du Sanctuaire ??? 

samedi 7 décembre 2013

TEST : GT6 : VROOOM !!

 [Màj]

 

Après plusieurs heures de conduite, je tiens à rectifier un point important : l'IA que j'ensensais dans ma critique montre tout de même de gros signes de faiblesse lors de courses de plus grosses cylindrées. En effet, elle peine à sortir de sa trajectoire pour éviter un dépassement et la présence de l'indicateur d'angle mort est alors indispensable.
Pour avoir testé le mode online, il est assez bien pensé, on peur trouver la partie qui nous convient facilement et les adversaires sont très coriaces (à mon avis il y a du réglage d'effectué). Bref du bon quoi !

 

Evolution


L'évolution du jeu est très affirmée. Au niveau graphique d'abord :les voitures sont encore mieux réalisées avec des polygones à foison, les caméras aussi notamment au niveau du cockpit très bien modélisé et parfaitement jouable. Quelques nouveaux circuits viennent s'ajouter au désormais classiques circuits que l'on trouvait dans les premiers épisodes (high speed ring, trial mountain,...), et aux autres (Nurburgring, Suzuka...). Des possibilités de brider son véhicule pour participer avec une voiture puissante mais « dégonflée » pour l'occasion ce qui la rendra plus maniable. Une nouvelle interface qui est plus intuitive. Une personnalisation des véhicules, mais aussi du chauffeur « avatar » (intérêt d'acheter une super combi à 500,000Cr?). Des nouveaux modes de jeux « récré » comme faire tomber un maximum de plots en 2 min, économiser du carburant avec une voiture GT...Sympa. Une prise en main sublime vient parfaire le tableau.




Le mode photo permet de faire des clichés magnifiques...
...Ou stupides

Graphismes


Outre un mode photo très complet qui sublimera vos bolides, GT6 est vraiment beau. Seuls quelques détails viennent gâcher le tableau comme le public ou du clipping au niveau des ombres. On aurait également gagner un peu en détail sur les circuits qui semblent inchangés par rapport à GT. On sent que c'est le maximum que la PS3 peut fournir avec un 1080p (argument de vente des nouvelles consoles) magnifique et fluide (mais pas en 60fps). Les chocs sont bien réalisés mais vraiment minimisés (à 300km/h on a une éraflure et encore), même si on joue à gran turismo pour autre chose que des collisions, ça fait plusieurs épisodes qu'ils nous annoncent cette fonction...







 

 

Jouabilité


Jojo a mal au bidon !
C'est là où l'évolution est la plus marquée. Avec le volant que j'ai (un GT logitech duchmol), on ressent vraiment les sensations d'une vraie voiture (l'accélération qui vous colle au siège et la force centrifuge en moins... peut être dans le futur, on peut rêver!!). L'équilibre qui caractérise chaque type de traction, la répartition du poids, la molesse de suspension du modèle est prise en compte et rend chaque modèle unique. Un regret pour la vue de derrière qui ne rend pas compte de la vitesse et qui rend le jeu fade. Par contre dans le cockpit, on s'y croit !! Au chapitre de la difficulté, les permis ont été facilités et on se surprend à pouvoir obtenir toutes les sessions en or (bien pour mr tout le monde mais pour les experts ? ). L'IA est pas mal mais manque d'agressivité (il existe un paramètre dans les options que je n'ai pas encore mis à fond), et elle ne reste plus comme sur des rails comme dans GT5. On apprécie également la possibilité d'voir un indicateur d'angle mort qui facilite virages et dépassements.

Ambiance sonore


Le mode replay permet de faire des photos sympa!
Si on prend en compte les bruitages, c'est vraiment convaincant, chaque moteur a été enregistré et le crissement des pneus apparaît au bon moment. Les 3 problèmes sont : une musique passe-partout (si vous avez joué aux précédents volets pas de changement..si vous voyez ce que je veux dire), lors d'un freinage violent, les pneus crissent tellement fort qu'on entend plus le moteur en zone rouge:(, et le point le plus honteux c'est encore et toujours ce bruit de bateau qui touche le dock « pouk, j'ai percuté un concurrent ! ».

Durée de vie


Course de début de carrière 
La durée de vie s'annonce très importante et pour peu que l'on joue en ligne, vos week-ends seront bien remplis. La difficulté progressive nous aide à vouloir aller chercher toujours plus loin dans les chronos et les trophées en or. Du grand classique.


Conclusion


Un indispensable de la PS3 et de la simulation automobile.

Le système de PP n'est pas toujours juste... pour l'IA