Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

dimanche 28 juin 2015

Test : Call of Juarez : Gunslinger

Ahhh !!! Le western, plein de clichés et de sons d'harmonica alors qu'une boule de paille roule devant un saloon... Red dead redemption Call of Juarez fait partie de ces jeux où on ne se prend pas la tête, on fonce et on apprécie la simplicité de la purée mousseline. On bourrine, on tue des gens, le scénar' on s'en fout, et si le jeu se passait ailleurs, il serait mauvais... Mais voilà avec ce dernier épisode (4ème déjà) en date gentiment "offert" par le psn+, l'ambiance et le scénario sont plus travaillés que dans Bound in blood. On va voir ça...

 

Graphismes


Le moteur Chrome engine 5, le moteur maison de techland (connu pour dead island et dying light) commence sérieusement à dater, mais malgré ça on se retrouve avec un jeu assez fourni, coloré, contrasté, stylisé, avec des touches de cellshading. Ces touches augmentent peu à peu, tant et si bien qu'on a l'impression de se balader dans Borderlands. C'est très beau tout ça et très agréable, mais des fois on ne s'y retrouve pas bien et on cherche les ennemis, qui sont pourtant très visibles !

Bande son


Boom ! HEADSHOT = XP !
Gros point fort du jeu puisque cliché ! Le narrateur qui incarne le héros et raconte sa propre histoire est excellent et rajoute de l'intérêt au jeu. Vin d'zou j'suis ben du sud ! Heureusement le doublage est en VO et nous balance des son of a bitch et des bastard à tout va !

 

Histoire


Trop lent petit !
En gros, notre héros, Silas est une vieille légende et atterrit dans un bar. On lui demande de raconter une de ses aventures... Il s'exécute, et on se retrouve catapulté dans son passé à botter le cul de toutes les légendes de l'ouest ! On appréciera qu'à chaque fois qu'il déraille, on revive la scène différemment.





Gameplay

 

Les duels sont bien gérés et assez techniques
Doté d'une bonne marge de progression, on apprend à manier chaque arme (6 je crois) qui a chacune ses atouts, et on nettoie l'ouest de tous ces pilleurs de trains. On parcourt des paysages variés, de la forêt de pins du nord, au vieux marécage en passant par la mine abandonnée, etc. Du cliché je vous dis !
Côté coups spéciaux, on a un bullet time qui se déclenche avec R2 et qui bouffe une barre de stamina. Et un autre qui nous permet de ne pas mourir en appuyant sur <- ou -> lorsqu'un ennemi nous vise la tête, si la bonne direction est choisie, on est guéri, si on choisit la mauvaise, c'est la mort...
En concentration, il s'agit de faire un maximum de combo
L'avantage du jeu, c'est le côté bourrin, on a rarement à s'abriter derrière une caisse, d'ailleurs pas de système de couverture à déplorer. On enchaine donc un niveau en ligne droite, qui nous fait tuer une bonne centaine de cowboys, puis c'est déjà la fin du niveau !
On note aussi la présence de secrets à trouver qui nous offrent une biographie des plus fines gâchettes de l'Ouest.

Conclusion


Court (6h), bourrin et grisant, ce red dead redemption Call of Juarez remet la série sur des rails plus solides. Avec une histoire intéressante, des phases de gameplay amusantes avec les oublis de Silas, et un mode arcade si le cœur nous en dit, il n'y a qu'à foncer ! En gros c'est un RDR teinté d'un côté arène ou fast shooter comme doom, mais avec des bullet-time...

Ma note :

Un poncho badass

Du bourbon badass
Des colts badass



Des tacos badass (oui on est à la frontière)


vendredi 19 juin 2015

Test : Race the Sun

Race the sun
Race the Sun est un jeu de course contre le soleil (nan mais sérieux, il nous prend pour des neuneus ou quoi ?). En gros vous avez un vaisseau qui va sans cesse prendre de la vitesse (ça veut dire accélérer), dans des mondes remplis de formes géométriques (ça veut dire des sortes de triangles à trois côtés ou plus) de plus en plus complexes (ça veut dire difficiles, car cette saloperie de vaisseau a une putain d'inertie !). Et le sun vous allez me dire ? Ben il a plus sa page 3 avec les meufs aux seins nus et c'est terrible ! Vous êtes un vaisseau qui marche à la lumière du soleil, évitez donc les ombres... et en plus c'est le soir, le soleil est très fatigué ! Tout ça combiné marche plutôt bien, comme on va le voir plus bas.






Graphismes


Des blocs qui bougent, vise !!
C'est très clair, très géométrique, pas beaucoup de couleurs, et ça défile très vite (ça donne mal au crâne après 30min de jeu).

Bande son


Hoho ! Il a écrit "bande" ! Une seule et même piste,égyptienne de surcroit, ça donne encore plus mal au crâne (là c'est plus dans les 10min de jeu).

Jouabilité


Parfois un portail est là pour augmenter votre score
On a un vaisseau qui peu aller à gauche ou à droite. On accélère naturellement en choppant des multiplicateurs de score (orbes bleues). On peut également chopper des orbes vertes de sauts (limitées en nombre), des orbes jaunes, qui permettent de faire reculer le soleil (vers la journée, sinon c'est plus un bonus) mais qui font grandement accélérer le vaisseau... C'est dangereux ! Vers le niveau 2-3, on commence a avoir des obstacles qui bougent et des tunnels, des ponts, des trucs qui tombent, des trucs qui font plus d'ombre, etc. Mais l'intérêt,c'est que le joueur sera toujours pris par des petits objectifs qui lui feront gagner des compétences. Ça peut être battre un score, sauter x fois dans un run, réussir une zone en tournant seulement à droite, ou tout simplement mourir... Parmi les objectifs, certains rapportent plus de points parce qu'ils sont super chauds, mais on trouve toujours de quoi faire. Avec ces points, on peut upgrader le vaisseau. Pour plus de facilité, si on s'acharne, on peut apprendre le niveau, mais il faudra faire vite, car chaque jour à minuit, le monde est recréé... Bonne chance !

Histoire


On est un vaisseau qui veut trouver l'endroit où la terre s'arrête ???? (Car elle est plate, les aliens essayent de nous le cacher)

Conclusion


Au départ, c'est un jeu un peu moche, auquel on ne prête pas grande attention, mais rapidement, on fait "une dernière partie" pour débloquer une compétence, et rapidement on a mal au crâne... Après quelques heures dessus, on ne s'en lasse pas et on veut toujours aller plus loin dans le monde (mais rapidement on aura coupé la musique). Pour tout vous dire si vous connaissez un épileptique, et que vous voulez vous en débarrasser, n'hésitez pas, pour une somme modique, il fera sa petite crise et les mecs du samu viendront le chercher...

Ma note :

Les filles du Sun

samedi 13 juin 2015

Test : Unfinished Swan

Il y a toutes sortes de jeux : des fps, des tps, des rpg et des str, sans oublier les mp3 et les apl ! Mais le jeu d'aujourd'hui est un comte pour enfants, assorti d'un soupçon d'exploration et d'un peu de mystère.

Ok, ça ne vous dit rien ! Mais on va faire simple, en un seul paragraphe...







Bon ok, j'ai menti, mais ça fera donc 3 paragraphes avant le début de l'article.

Le monde est étrange au commencement de l'aventure !
Ce jeu, comme vous l'aurez compris, est un peu particulier, car il s'agit d'une histoire à proprement parler... On y incarne un petit garçon dont la mère est morte. Pas de bol, mais en allant à l'orphelinat, il a le droit d'amener un souvenir de sa mère (oh ! la chance !), et ce petit effronté choisit le tableau préféré de sa mère, un cygne qu'elle a peint, mais dont il manque une partie. D'où le titre bizarre du jeu : Unfinished Swan. On progresse donc dans un royaume imaginaire, où un roi un peu fou a construit tout un tas de monuments en son honneur, grâce à un pinceau magique, oui mais voilà, ce mec a horreur des couleurs... Donc le monde, à son origine est totalement blanc, non mais vraiment, on voit keud, rien, nada. Pour progresser, on touche un peu aux boutons : tiens ! quand on touche à n'importe quel bouton, ça fait une tache de peinture ! Bon, on va en asperger partout, puisque le monde blanc n'offre rien ! Ah ! Mais siiiii ! On peut sprayer de la peinture pour voir les couloirs du chateau ! Incroyable ! Et c'est sur ce principe de découverte, en parallèle d'un comte avec voix off (en vf elle est pas mal), qui nous explique ce qui se passe. Et ... C'est court, mais on découvre plein de choses, à défaut d'un réél fun, on observe et on se promène,de temps en temps on trouve un ballon de couleur. On profite d'une direction artistique épurée, mais les énigmes manquent de difficulté. En même temps je vois mal ce jeu non violent proposé à de jeunes enfants, c'est quand même un jeu un peu complexe. Bref, même si on ne sait pas à qui elle s'adresse, cette expérience était plaisante, poétique et reposante. Pour se faire sa propre opinion, il vaut mieux y jouer, car pour laisser un peu la surprise, j'ai pas tout dit !

Ma note :
Des pattes de canard

vendredi 5 juin 2015

Test : Saints Row IV

La signature Saints Rows !
Dans le grand monde des jeux "bac à sable" puisque GTA-like -tout comme DOOM-like-, c'est naze-been, une licence tient tant bien que mal. Saints row était à la base comme sur un pied d'égalité, proposant à peu de choses près la même chose que l'illustre GTA III, c'est à dire de la castagne, des voitures, et des piétons qui n'ont rien demandé... Mais peu à peu, pour se différencier, la licence c'est tournée vers le côté jacky (drogue, gang et violet), le côté sale, le côté n'impornawak. Ce quatrième épisode nous confirme bien une chose : Saints Row n'est pas mort, mais n'est pas très en forme !

Des punch-lines dantesques !










Histoire




Les références donnent droit à des phases très différentes
C'est dans la même ville que le troisième épisode, que l'action se déroule. On trouve un scénario qui démarre un peu moins fort que le 3 (mais là c'était extrême). Le héros (toujours entièrement customisable, avec beaucoup de paramètres et de fringues débiles), est alors Président des États-Unis et son équipe, les voyous de third street, sont dans son équipe de com', bossent à la maison blanche et sont donc au top !
Quand on court, ça balance !
Mais c'est alors que de vilains-pas beaux aliens envahissent la maison blanche, capturent les saints et détruisent la terre ! Bon c'est plus soft que le 3, mais c'est quand même pas mal ! Notre perso se retrouve à oilepé dans le vaisseau mère et parvient avec une poignée de ses amis à chopper un vaisseau. De là, ils peuvent se plonger dans un monde virtuel (hommage à Matrix), qui permettra de déstabiliser l'empire Zin. Étant dans un monde virtuel, on se retrouve avec des supers pouvoirs tels que sprinter comme une antilope ou user de la télékinésie comme un super-chinois...

 

 

Gameplay


Des mini-jeux un peu débiles !
Un choix cornélien
Rien de bien nouveau, mise à part la gestion de tous ces pouvoirs et l'utilisation des armes extraterrestres ! Nous rendant la plupart du temps hors d'atteinte (surtout si on va au corps à corps), la super-force est très utile,et les zins vont passer un sale quart d'heure. Malgré quelques boss correspondant aux cauchemars des saints qui restent à libérer, et une fois les améliorations de vie débloquées, on ne mourra que rarement. Pour débloquer ces améliorations justement, il faudra passer par des missions-mini-jeux ordonnées par les saints : course, arnaque à l'assurance, comprenez que vous entrez en mode rag doll et que vous devez percuter des voitures, destruction de camps ennemis, hackage de boutiques, jeux tv du Dr Genki, oui vous savez le mec à la tête de chat géante, etc.
Une phase un peu débile ou on est gentil dans les années 50
Toutes ces missions sont plus ou moins inspirées, et au bout d'un moment on s'ennuie ferme. C'est dommage que ça ne soit pas plus varié et que ça ne présente pas un intérêt pour l'histoire (mais bon c'est "annexe"). En gros on gagne du pognon pour améliorer ses capacités, on choppe des orbes pour améliorer ses pouvoirs (ce qui est assez chiant), puis on va à la mission ! Du fait des supers pouvoirs, on ne prend plus la voiture, ce qui est quand même dommage dans ce genre de jeux...

 

Bande son


Quel choix choisir ?
La plupart du temps insupportable avec de l'espèce de dubstep mélangé avec du mauvais rnb, même si les radios ont quelques belles chansons et sont accessibles sans voiture, ça devient rigolo quand des chansons du genre Haddaway ou autres apparaissent dans une cinématique avec des robots géants ! Les voix sont remarquables et on sent bien le côté crew-du-gang !

 

Graphismes


L'équipe au complet, et bien moche !
Tellement laid ! En fait il s'agit d'un saints row 3, déjà pas beau à l'orgine, mal fini, et trop coloré. Mais on se console en se disant que c'est fluide, et que le nombre de bugs aurait pu être énorme vu la quantité de super sauts, mais ô surprise pas de bug de collision (fréquent même dans GTA) ! La direction artistique prend ses aises et nous amène dans tout un tas d'univers référencés. Citons par exemple : Independence day, Tron (comme dans le 3), Metal gear, Street of rage (Saints of rage), et des jeux de questions-réponses à l'ancienne (aucun titre ne me vient à l'esprit, j'ai toujours joué à des jeux modernes moi !)...

 

 

 

Conclusion


Des choix, des corneilles
Se situant entre son prédécesseur et un prototype -le jeu où on est pas content, et où on tue civils et militaires grâce à notre bras qui se transforme en soul edge-, ce jeu nous permet de profiter d'une histoire sympathique, mais pas exceptionnelle, ainsi que d'un lâchage total sur les capacités de notre héros à la grosse tête, ainsi que sur les références amenant des phases de jeu subitement différentes.
Des choix difficiles
Oui, mais voilà, on en aurait aimé plus, plus de bonds temporels, des saints plus présents, d'autres cauchemars avec des boss fous ! Bon, il est vrai que le jeu est tout de même assez long (j'ai joué 16 heures et malgré ça je n'ai pas fini les quêtes annexes), mais la répétitivité des missions inintéressantes (mention spéciale aux rifts, sorte de jeu de plateformes où il faut sauter sur des cibles fluo sans intérêt), et la faiblesse de l'IA, m'ont fait finir le jeu en ligne droite (mais j'en ai fait une bonne partie avant quand même !).






Ma note :
T'as saisi Zinyak ?