Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

dimanche 24 août 2014

Test : Sword Art Online : Hollow Fragment (PS Vita)



 

Sword Art Online : Hollow Fragment est un jeu adapté du manga Sword Art Online (SAO en abrégé). La première adaptation étant sortie sur PSP, et nécessitant un patch anglais pour être compréhensible du tiers de la population mondiale, ce deuxième jeu est intégralement traduit en anglais (c’est déjà pas mal), et est disponible sur le PSN Store européen. Si vous préférez les versions physiques, je vous conseille l’import chinois (il est sous titré en anglais).






NerveGear 

 

Pour comprendre l’histoire de SAO : Hollow Fragment, je vous conseille d’abord de regarder les 15 premiers épisodes de l’animé (ou le wikipedia), puisque l’histoire du jeu se situe à la fin du premier arc, et est en plus une suite alternative. Le jeu vous met dans la peau de Kirito, qui après avoir vaincu le créateur du jeu a l’étage 75, doit continuer jusqu’à l’étage 100 et enfin retrouver la vraie vie. Il sera accompagné, pour accomplir sa mission, de jolies filles, qui pour une fois n’ont pas de gros seins ! 


Beater

 

Beaucoup d’ingrédients de MMORPG sont présents. Il y a bien sûr l’EXP, l’upgrade des armes, les items, les quêtes, la guilde, les gros monstres, etc. Même si l’univers est censé être un MMORPG, il est impossible de jouer en ligne, mais en local c’est possible. Le but du jeu est simple, il faut battre le Boss du niveau pour avancer à l’étage suivant. Pour cela, vous devrez accomplir différentes quêtes, en solo ou accompagné de différentes jolies filles (votre femme de préférence), avec qui vous pourrez tisser des liens. Personnellement, je n’arrive pas à finir au lit avec elle, j’ai juste réussi à lui tenir la main, et la porter comme une mariée. Lors des combats dans la map, vous pourrez donner des ordres à votre partenaire, suivre ses conseils, lier votre attaque à la sienne. Vous pourrez aussi utiliser vos différents skills (huit au total), consommant vos points de SP. Si vous voulez faire de l’XP, vous pourrez aller dans la Hollow Area, où les monstres sont beaucoup plus puissants. 







La température du cœur

Même dans les jeux vidéos, je n'y arrive pas

 

Comme tout RPG, la musique est agréable, et devient par conséquent un bon somnifère. 








Le retour au monde réel

 

Comme je fais ce test alors que je n’ai pas fini le jeu, impossible de vous dire, par contre je pense que ce jeu est long, très long même. Au bout de 7 heures de jeu, je n’ai battu que deux boss, je suis donc loin du 100e étage.




La graine du monde

 

Sword Art Online : Hollow Area est un jeu sympa, mais un peu répétitif : le bouton Rond est martelé en permanence. Si vous voulez jouer au premier opus sur PSP, cela ne sert à rien, vu qu’il est présent dans le deuxième opus. Si vous adhérer à l’univers, ce jeu est génial, sinon, c’est un Xenoblade sur PS Vita. A vous de voir si vous aimez Xenoblade ou pas. Comme dirai Gérard Holtz, Carpe Diem.

Test : Duck Tales Remastered

Plus que jamais, ce test mérite d'être sur Canards&Co, enfin, on parle canard !


presque pas d'évolution !
Ici, nous parlons d'un remake d'un grand classique de la NES, acclamé à la fois par la critique et par les joueurs du début des années 90. En effet, celui-ci était particulièrement beau, riche, maniable, possédait une bande son exceptionnelle pour l'époque et forcément rappelait l'histoire de la bande à oncle Scrooge, avec chasse au trésor et tutti quanti. Disons donc que Wayforward avait fort à faire pour dépoussiérer ce jeu culte. Ce pari est en grande partie rempli, c'est ce que nous allons voir dans ce test.




Ca va kwacker !!



On rencontre tous les personnages principaux de la série
Ici, c'est l'univers qui prime, la direction artistique étant réellement fidèle à l'original. On regrette tout de même la présence d'objets en 3D qui sont assez peu détaillés. Contrairement aux personnages qui sont à la fois colorés (voir trop), léchés et hyper bien animés. L'ensemble est très agréable, et c'est avec un level design légèrement remanié par rapport aux niveaux originaux (*), que l'on se plonge dans une aventure qui nous mène aux quatre coins du monde (voir de la lune). Au total, c'est sept niveaux à visiter, dans lesquels il faudra déjouer les plans des rapetou et surtout déjouer les plateformes ! Car si le système de jeu est simple, avec une touche de saut et une attaque en synchronisant bas et carré (voir juste carré disponible dans les options), et nous permet de voir Picsou sauter sur sa canne comme sur un pogo-stick, mais ce n'est pas si simple. Les ennemis arrivent par foules, les bonus eux, non. Les niveaux sont labyrinthiques et on s'y retrouve grâce à notre carte, disponible en appuyant sur start.


Il aurait fallu lisser les plumes !


Les lianes posent problème en Amazonie
Au chapitre des plaintes, on a également un problème avec la canne, qui se désactive inopinément, mais en mode facile, c'est plus pardonnable... Également le fait qu'on ne puisse pas sauter de liane en liane, on a plus trop l'habitude de monter tout en haut pour tomber sur la suivante. Les cinématiques ne montrent que des becs fermés, c'est un détail qui ne me choque pas vu la réalisation cartoon, mais en 2014, les animations faciales doivent quand même être présentes, placez blague sur faciale ici.


Difficulté



J'ai d'abord tenté le jeu en normal, avant de me reprendre... On dispose au début de trois cœurs, et de deux vies. Sachant que chaque chute nous fait perdre une vie, et qu'à chaque perte des vies, on réapparait au hub de choix du niveau, en se retapant les cinématiques, même si on sent que c'est faisable, c'est trop ennuyant. On passe donc en facile... En facile, c'est facile ! Déjà c'est vie illimitées ! Ensuite c'est dégâts divisés par 2 ! Pourquoi ne pas avoir mis ça dans un mode super-easy ? Bon c'est pas calibré, mais du coup le jeu est tout sauf rageant ! On se promène, on explore les niveaux, on trouve les passages secrets, et un max de pièces d'or ! Ça nous permet aussi de rencontrer plein de personnages de la série.



Conclusion


 Pour être aussi culte que son ainé, il aurait fallu un poil plus de travail sur les détails (difficulté, problème de canne qui se désactive), et la finesse des environnements 3D, le jeu Nes étant tout comme les autres jeux Disney de l'époque, une référence. Sans ça, ce jeu est certes court, mais permettra de (re)découvrir un grand classique qui n'a pas perdu une plume ! A la fois riche par son héritage de la bande dessinée et par ses mécaniques amusantes bien que basiques !!

* je n'ai pas joué à l'original, je me suis renseigné c'est tout, rien à foutre !


Ma note :
Des croutons pour les canards !

Une piscine d'or




vendredi 22 août 2014

Test : Metrico (PS Vita)



 
Nouveau venu des jeux gratuits sur PSN plus, Metrico est un jeu développé par des statisticiens sous acides, qui passent leur soirées à se défoncer la tête tout en faisant des graphiques sous Excel. Pourquoi dire cela? La réponse dans quelques instants.

 

 

Colonne

 

Vous êtes un petit bonhomme moche, et vous devez aller d’un point A à un point B, tout en résolvant des énigmes, faites d’histogrammes, de nuages de points, de barres, et de camemberts (pas celui que l’on mange tout en regardant une bataille de hollandaises dans un parking de Formule 1). En conclusion, il n’y a pas d’histoire. 


Ligne

 

Comment dire ça, toutes les fonctionnalités de la PS Vita sont utilisées, sauf les appareils photo. Pour traverser les gouffres, vous devez bien sûr sauter entre deux histogrammes, mais vous pouvez aussi incliner votre console dans n’importe quel sens pour baisser le pourcentage de votre graphique, et atteindre l’énigme suivante. Bref, c’est un jeu conceptuel et l’expliquer, c’est un peu compliqué, surtout pour moi. 



Secteurs

 

La durée de vie n’est pas vraiment pas très longue, au contraire de frisette junior. 


Barres 

 

Je ne sais pas vraiment pas quoi penser de ce jeu progressiste ; c’est un peu comme Strasbourg. C’est sympa d’utiliser pour une fois les fonctionnalités de la PS Vita, mais ce n’est pas un jeu fantastique, sauf peut-être si vous avez toujours rêvez de vous promener sur un graphique d’Excel. Les temps de chargements sont trop longs pour le résultat attendu, et les ralentissements sont fréquents. Mais pouvoir y jouer gratuitement, c’est sympatiquounet. Un conseil cependant si vous décidez de le tester, ne le faites ni dans les transports, ni dans votre bureau : vous pourrez avoir l’air d’un con.

lundi 18 août 2014

Test : Truck Racer

Truck racer est un jeu qui n'est pas des plus connus, il représente une discipline qui l'est encore moins. La course de camion, même si on s'imagine que c'est impressionnant, ça ne fait pas rêver et ça n'est pas retransmis à la télévision. C'est donc un sport souterrain, un sport de connaisseurs, un peu comme le combat de coqs ou le lancers de nains.

T'as vu comme il est beau mon camion ?


La partie personnalisation est poussée et représente l'intérêt majeur du titre
Ici il s'agit d'abord d'une suite de courses en solo, les serveurs restant désespérément vides, et ce, même à des heures ou des routiers ou des mecs bourrés voudraient tester leur talent :[
48 Circuits déclinés en différentes disciplines sont donc disponibles : de la course, de l'endurance, du contre-la-montre, c'est à peu près tout. On a également un mode élimination en écran splitté avec le dernier concurrent éliminé par tour. On peut également acquérir un total de 6 camions. Le jeu nous offre également la possibilité de custom son camion,  (pimper© étant sous licence pas moyen de le mettre dans le test). Ton camion pimpé©, grâce à tes victoires, c'est un peu comme la récompense suprême ! Les pièces étant nombreuses, on le spécialise soit pour l'asphalte, soit pour le tout-terrains. Les pièces n'étant pas universelles, il faut faire un choix selon la course. Alors, 1...2...3...go partez !

Un pti coup d'accélérateur !

Le choix des couleurs permet d'adapter votre camion à votre goût
Le principal intérêt de ce jeu, c'est son gameplay. Il n'est pas infaillible surtout lors d'une collision avec un adversaire Roger le camionneur qui, bien souvent, vous accrochera littéralement avec son "pare-chocs"... Le contrôle est très typé arcade et basé sur un contrôle facile et indulgent. La prise en main est rapide, l'inertie très faible (sauf lorsqu'on s'écarte de la route, un camion de 20T est souvent freiné brutalement par de l'herbe ou un tas de sable, c'est bien connu !). En fait, on prend plaisir à déraper pendant des tours et des tours, en frôlant les murs, comme pour distancer nos concurrents Jean-mi... Seulement voilà, une fois quelques améliorations faites et le véhicule magnifique camion multicolore pris en main, on se rend compte que l'IA est à la ramasse, elle est lente, file droit dans ses rails, se percute tellement que seuls 3 concurrents survivront à une course de 6 tours ! Seuls les contre-la-montre montrent un réel challenge, les temps étant vraiment très bas ! C'est inégal ! Mais on continue, on drifte, on met la nitro, on regarde les décors pauvres et les morceaux de carrosserie voler, et on file à 150 maxi, et c'est très bien comme ça !



Big Ben, c'est pas qu'une horloge !


zBra!
Ce jeu est édité par BigBen, le fabriquant de manettes les moins fiables qui existent ! Un jeu BigBen, c'est presque comme un jeu midas, ça n'est jamais développé que par de petits studios de l'est. MAIS, ici on a quand même des features de haute-volée, que je n'aurais jamais cru possibles dans un jeu BigBen : des ombres, de l'occlusion ambiante, des effets visuels de flous lors des accélérations avec la nitro, des nuages dans le ciel, de la boue qui se détache du sol, de la fumée, des traces de pneus, des collisions avec les cônes de signalisation, des étincelles quand on touche un concurrent, c'est étourdissant ! Je ne pensais pas que BigBen puisse un jour le faire ! Ils sont arrivés à un niveau jeu de course lambda, sans IA oui, mais au niveau ! Je pense que c'est le plus beau jeu mobile que j'ai vu tourner sur PS3!
Le soucis du détail : quand on regarde en arrière c'est un peu comme regarder dans le passé, l'écran devient noir et blanc. Quels philosophes ces camionneurs !


 

 

 

Conclusion



Doté d'un contrôle arcade amusant, ce jeu est un pur délire ! On a peine à comprendre à qui il s'adresse : trop facile pour un initié, trop pointu pour un non-camionneur. Il aurait du hériter d'une communauté et/ou d'une IA digne de ce nom pour sortir de son anonymat... En tous cas, c'est un bon passe-temps et maintenant je suis curieux de voir une course de truck-racer en vrai ! Maintenant je sais ce qui est plus beau qu'une Toyota Supra :
Rien à ajouter !

Après prise de renseignements, il semble que cette discipline n'intéresse que les allemands et les routiers (sauf erreur de ma part) !



Ma note :

Le plus grand volant du monde !
Des hôtesses de Truck-racing







mardi 5 août 2014

Test : Ninja Gaiden 3 Razor's Edge

D'après ce que j'ai compris, il s'agit d'une version améliorée du Ninja Gaiden 3 normal. Elle comporte des phases avec les ninjettes et permet de supprimer une bonne partie des assistances et QTE, et également de retrouver d'autres armes. J'ai pas testé donc je pense que c'est un jeu fidèle au Ninja Gaiden Sigma 2 que j'avais adoré, avec, notons-le tout de même des différences minimes.


Ninja... Pourquoi?

 


Etre ninja c'est faire des sacrifices, ainsi, notre héros, Ryu Hayabusa, ne fait rien qu'à faire son devoir ninja. Et c'est ? Démembrer des vilains et ne jamais se reposer.
quand on tranche, on tranche !
Dans ce jeu, on peut en démembrer des gens avec tout un tas de finishs tous plus sanglants les uns que les autres, des combos à n'en plus finir, et ce, avec n'importe des 5 armes. Des coups "jusqu'à l'os", une sorte de contre qui tue l'ennemi en un coup s'il est executé avec précision, etc.
Le gameplay est très fin concernant nos héros, mais pour les ennemis, nous allons voir que c'est inégal...




Nistoire


On se fait une nouvelle amie.
Ici, l'histoire est un prétexte à plus de démembrements, il est question d'une célèbre organisation terroriste qui veut créer de nouveaux humains améliorés... et exterminer la version 1.0. Du déjà vu donc, et ce n'est pas la mise en scène qui nous passionnera davantage...ah! si! La feature la plus en vue de ninja gaiden sigma 2 est de retour ! Attendez ? Vous n'avez pas vu le spot de pub japonais ? Voilà pour vous rattraper ! Elle est améliorée et permet de faire la même chose dans les cutscenes !
C'est pas assez ? Une nouvelle paire protagoniste fait son entrée ! Mizuki ! Décidément y'a du fan-service !
Mais bon l'histoire reste pauvre... Avec des twists tout ce qu'il y a de plus japonais...


Nifficulté

 

 


On choppe une vilaine malédiction au bras : pas cool !
Le jeu est largement finissable en normal. Cependant, des phases de boss ou d'ennemis trop nombreux vous compliqueront la vie jusqu'à vous dégouter. C'est bien simple, j'ai commencé ce jeu il y a plus d'un an ! Et je le finis aujourd'hui ! Ce boss m'a même inspiré un défi, j'ai demandé à des amis volontaires de me débloquer, si ils y arrivaient en 2h15 + le temps de prise en main, ils gagnaient un jeu, sinon, je gagnais un jeu... J'ai gagné 3 jeux, et je me suis débloqué tout seul au bout de 3h35 (du même boss bien entendu). Je pense que quelqu'un qui a appris toutes les techniques peut s'en sortir mieux, il y a quand même 2 niveaux de difficulté au dessus + tout un tas de modes de la mort en ligne ou solo. De quoi s'amuser quand on voit mon chrono de fin "4h50"... Rien que pour un boss j'ai pris plus de 9h30... Je voulais pas passer en facile car on a une garde automatique... C'est pas cool.


Conclusion

 


Ce jeu est dur, mais que par moment, il vous aidera à entretenir votre esprit ninja. Une fois passé les difficultés, on est vraiment fier, pas comme si on finissait Uncharted ! Et ça ça n'a pas de prix, pour tout le reste il y des phases de jeu super défoulantes avec des kunoichi !


Slishhhh 





Ma note :
2 grosses pastèques

Le vieux chelou : Muramasa
un shuriken







vendredi 1 août 2014

TEST : BORDERLANDS 2

De gauche à droite: Axton (le commando), Zero (l'assassin), Gaige (la mécromancienne), Maya (la sirène), Salvador (le gunzerker), et Krieg (le sadique).

Après avoir fait Borderlands (vous pouvez retrouver mon test ICI), je me suis aussitôt pris sa suite, intitulée de façon très originale Borderlands 2, afin de prolonger le fun et le plaisir, retour à Pandore, on va buter des Skags mais pas que...

HISTOIRE

On retrouve les héros du précédent soft, avec un design retravaillé.
L'histoire se déroule 5 ans après les événements survenus dans le premier opus. Une nouvelle arche a été découverte sur Pandore, et une toute nouvelle équipe de bras cassés doit empêcher le Beau Jack (le PDG d'Hyperion) de mettre la main dessus, afin d'éviter que celui-ci ne parvienne à réveiller le "guerrier", une machine de guerre surpuissante.
L'histoire n'est pas des plus originales, mais elle est déjà beaucoup plus travaillée que dans le premier épisode.
Les textes ont cependant été réellement bossés, et l'on appréciera l'humour déjanté omniprésent tout au long du soft (des tirades bien connes du Beau Jack, et des délires de Tiny Tina et de sa princesse Ralatouf...).

GRAPHISMES

L'un des nouveaux environnement, avec plus de relief et de verdure!
 Le style graphique  est toujours le même que dans Borderlands premier du nom, à savoir un style comic/BD rendu possible grâce à l'utilisation du cel-shading. On notera, cependant, une nette amélioration de la modélisation et du rendu du cel-shading, beaucoup plus fin qu'auparavant.
Le chara-design est beaucoup plus réussi que dans le soft précédent, et tous les persos jouable possède un style bien affirmé. De plus, les ennemis sont plus nombreux et plus diversifiés.
Enfin, le level design est une pure réussite est l'on traversera des décors beaucoup plus variés (des déserts, des plateaux montagneux, des usines, une ville volantes...) que les régions désertiques visitées dans Borderlands.

 SONS

Les qualités et les défauts de la partie sonore demeurent les mêmes que dans le précédent soft, à savoir des bruitages nickels, des musiques discrètes mais efficaces, un doublage français plutôt bon dans son ensemble à quelques exceptions près... (Désormais en plus de Clap-Trap le relou, on se tape le doubleur de Cartman au doublage du Beau Jack, sa voix étant très particulière, il arrive, lors de longues tirades, d'avoir envie de lui faire fermer sa gueule...)

GAMEPLAY

La personnalisation de personnage permet de donner un look certain à son personnage!
Le gameplay a finalement peu évolué par rapport à Borderlands 1. Bon point,  l'interface des menus a été revues et est devenue beaucoup plus simple d'utilisation. Au rayon des nouveautés, pas grand chose si ce n'est un système de défi permettant de débloquer des améliorations pour vos personnages (on peut ainsi améliorer différents paramètres comme la puissance des tirs, la précision, la vitesse de rechargement des boucliers...), et la customisation plus poussée de votre avatar (avec différentes têtes et couleurs).
Le nouveau casting du jeu nous permet toujours de jouer avec différents styles:
Les nouveaux menus sont beaucoup plus classes et ergonomiques.
-Salvador, le "gunzerker" pouvant utilisé 2 armes simultanément, adepte des shotguns et autres fusils d'assault
-Axton, le commando qui peut poser des tourelles, utilisant les fusils d'assault
-Maya, la sirène qui peut faire de la télékinésie, experte dans le maniement des mitraillettes
-Zero, l'assassin, qui peut créer un leurre et devenir invisible pendant son utilisation, maitrisant les snipers et les pistolets/revolvers
-Gaige, la "mécromancienne" qui invoque un robot pour combattre à ses côtés (perso en DLC), et dont les attaques électriques font plus de dégats
-Krieg, le sadique adepte du corps à corps et de la "buzz axe", une espèce de scie circulaire (en DLC aussi), spécialiste des attaques de type feu
Les personnages possède toujours des arbres d'évolution, leurs permettant de se spécialiser dans différentes disciplines à mesure que l'on engrange les niveaux. L'on peut d'ailleurs atteindre le niveau 50 dans la version de base, le niveau 61 dans la version GOTY, et le niveau 72 si l'on achète un DLC (pour 5 €, la durée de vie du soft se trouve considérablement augmentée).

CONCLUSION

Borderlands 2 reprend tout ce qui a fait la force du premier opus et l'améliore, on se retrouve donc avec un jeu beaucoup plus fin et plus joli, le nouveau casting est largement supérieur à l'ancien et les possibilités de personnalisation des personnages sont bien pensé. Encore meilleur que son ainé!

Mon verdict:

Balls of steels au carré                              +                                    Démembrement au fusil à pompe