De la baston et des boobies, rien de tel pour combler un
homme, et aujourd’hui y va y en avoir !
HISTOIRE
L’histoire de ce DOA 5U est une tuerie sans nom…
Bon, d’accord elle est pas si terrible que ça…
L'écran de sélection des combattants. |
On apprécie tout de même l’effort d’avoir fait un mode
histoire original pour cet épisode et où
tout les persos sont jouables… ah ben nan en fait… ils ont juste repris le même scénar' que dans DOA 5 et ils ont même pas rajouté des scènes pour intégrer les
nouveaux (à savoir Rachel et Momiji de Ninja Gaiden, Jacky de Virtua Fighter,
et le retour de Ein et Leon, deux anciens issus de précédents volets de la saga).
Pour en revenir à l’histoire, on se retrouve, encore une
fois, avec l’affrontement entre les ninjas du jeu et le « vilain-méchant-pas-beau-tout-plein-qu’on-a-encore-jamais-vu-parce-qu’il-est-trop-charismatique »
Donovan (que je soupçonne d’être le Dr. Gang, vous savez la Némésis de l’inspecteur
Gadget) sur fond de tournoi mondial de baston (le bien nommé Dead or Alive),
et… C’est à peu prés tout, bon c’est un jeu de baston on est pas là pour avoir
une histoire à la Zola
mais pour se défourailler joyeusement la gueule !
GRAPHISMES
Astuce: utilisez des coquillages comme cache-tétons, économique et écologique! |
La Team Ninja
a réalisé un excellent travail sur la modélisation des personnages, le changement
de style graphique le fait bien (devenu plus adulte et plus réaliste, moins
manga et moins fan-service…quoique…), on apprécie tout particulièrement les
petits détails qui donnent vie à l’ensemble : désormais les combattants
peuvent se salir lorsqu’ils tombent, se mouiller si ils vont dans l’eau, et
transpirent au fur et à mesure du déroulement du combat (attention Tina !
tu transpire sur tes nichons !).
Les décors sont tous très sympas et très vivants mais l’on
observe des changements de qualité entre les uns et les autres : certains
sont magnifiques, d’autres moins bien réalisés avec des petits soucis d'aliasing.
On va pas chipoter, DOA 5U est le plus beau jeu de baston de
la génération ps360 (comme disent les jeunes).
SON
Un costume en dlc d'une grande classe. |
La nervosité des affrontements et la violence des coups sont
bien retransmises par les bruitages, les doublages sont au poil en japonais
(par contre, si vous voulez vous taper un délire, je vous conseille la version
anglaise, et plus spécialement la doubleuse de Helena avec son accent
faussement français, qui ressemble à un drôle d’accent russe), les musiques ne
sont pas inoubliables, voir même très insipides, on n’en retient aucune mais
elles ne dérangent pas en fond sonore.
GAMEPLAY
N’ayant pas retouché à un DOA depuis le second de la série
(hormis le DOA5), je peux dire que le jeu s’en tire vraiment bien, on reprend
le principe de pierre-feuille-ciseaux de la série (les contres battent les
coups, les coups battent les prises, les prises battent les contres) et il est
cette fois impossible de spammer comme un gros porc les contres car il faut les
placer précisément en fonction de la hauteur de l’attaque et, pour les mids, en
fonction des coups de poings ou de pieds. Ajouter à ça de nouvelles attaques
spéciales à placer lorsque son combattant à moins de 50% de la jauge vie pour
un méga-juggle de la mort qui tue (nouveauté de cette édition Ultimate) ou une
projection méga-bourrine dans le décor, et un système de combo ou il faut
stunner son adversaire pour lui faire mal à sa maman, et vous obtenez un bon
petit gameplay bien sympa.
Les décors ont encore un rôle à jouer puisque chaque stage
possède des interactions qui lui sont propres (faire dérailler un train pour
l’envoyer direct dans la face de son adversaire, balancer son rival du haut
d’une falaise…).
Le mode tag permet de faire des plans à trois! |
CONCLUSION
Qu'en est-il de cette édition Ultimate ?
Ceux ayant déjà joué à DOA 5 :
Certains pourront regretter que cette édition Ultimate ne
contienne pas tout les DLC déjà présent sur DOA 5 et pourront trouver honteux
la tonne de nouveaux contenus proposés à la vente (notamment 2 futurs
personnages, à savoir Marie-Rose, une lolita goth, et Phase-4, un clone de
Kasumi), toutefois, le contenu de DOA 5 se trouve tout de même bien améliorer
avec l’ajout de 5 personnages, de 7 nouveaux stages, de nouvelles mécaniques de
jeu, et de nouveaux costumes pour l’ensemble du cast permettant de retrouver
l’envie de s’y remettre.
Verdict: 1 bière + 1 paquet d'apéricube
Verdict: 1 bière + 1 paquet d'apéricube
Ceux n’ayant pas joué à DOA 5 :
Avec un gameplay agressif et fin (mais accessible), ce DOA a
tout pour plaire, que vous soyez amateur où hardcore gamer vous y trouverez
votre compte :une tonne de contenu à débloquer (principalement des
costumes de salop… euh… très déshabillés), des graphismes qui déboitent, des
interactions avec le décor qui accentuent encore la violence des combats, un
casting de 29 persos (sans les DLC) ayant tous un style unique et très bien
représenté (de la boxe de l’homme ivre, au MMA, en passant par le ninjutsu et
la capoeira).
Verdict: 1 bière + 1 paquet d'apéricube + 1 pringle
Verdict: 1 bière + 1 paquet d'apéricube + 1 pringle
Un autre détail qui me chiffonne : la présence de packs de costumes de péripatéticiennes ultra payants 15€ le pack et environ 6 packs
RépondreSupprimerJe crois même qu'il y en a bien plus que 6, alors c'est sur c'est abusé, mais le jeu est déjà bien complet de base, et j'ai aussi oublié de parler de la meilleur option qu'un jeu vidéo n'aie jamais eu: le paramètre animation des poitrines, avec un choix entre naturelle ou Dead Or Alive!!
RépondreSupprimerSur ce point, je crains que la série des Ninja Gaiden soit allé encore plus loin, avec une fonctionnalité sixaxis exceptionnelle (encore améliorée dans Ninja Gaiden 3 : Razor's edge avec un effet pendant cinématiques)
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