Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

mardi 11 mars 2014

Test : Army of T.W.O. : le Cartel du Diable


Gameplay et graphismes


Au royaume des jeux d'actions multi en local, on ne compte finalement pas tant de séries : Kayne &Lynch, Resident Evil, Resistance, killzone etc. Je vais vous parler ici d'un jeu qui ne sollicite pas les neurones, qui en est à son 3eme episode, une série qui met en scène des gringos aux "cojones muy grandes", et j'ai joué à chacun de ces episodes, seulement impossible de remettre la main sur des spécificités du scénario ou des
personnages sans rejouer à celui-ci. Cette série est bien évidemment Army of TWO, une série tellement générique qu'on l'a oubliée.
Ah oui, j'ai joué avec Salem-le-chat-qui-parle et Rios, on faisait du mîme, on portait des masques, et surtout on détestait les minorités, normal pour des jackys américains mercenaires et sans scrupules. Ici, rien à voir, on incarne Alpha et Bravo, deux mercenaires qui en ont dans'l'froc, américains et super entrainés.

On a affaire au moteur frostbite 2 mis en oeuvre par l'équipe d'Ubi Montréal. Le jeu est plaisant graphiquement, mais c'est lorsqu'on active le pouvoir spécial que tout se met en place. Là, le temps ralentit (juste un peu), votre arme a soudain un chargeur illimité et les balles font BEAUCOUP de dégâts. Et c'est pour ça que j'ai fusionné les 2 rubriques, la beauté du jeu vient du déluge d'explosions et de la pluie de balles qui détruit véhicules, comme murs et chinchillas. L'autre force du jeu, vient d'un mécanisme qui fait que si le joueur 1 court comme un débile en tirant en l'air, le joueur 2 pourra contourner par exemple une tourelle pour la réduire au silence. Mais franchement, on utilise pas vraiment la stratégie dans ce jeu...

Moi, je vais sur la mezzanine ! Toi au rez-de-chaussée !


Le jeu se savoure à 2 et en coop et pas autrement. En ayant terminé la campagne péniblement en 2 week ends, il parait presque incensé de démarrer une partie solo tellement le jeu est générique et permet de buter la population du mexique en entier, on notera aussi la présence de beaucoup de Gordon Freeman dans les camps ennemis, sans doute un clin d'oeil a half life.... En plus une grosse référence au célibat d'éjaculte parfait le tableau.

Quand y'a plus de cholos, y'a des enchilladas...

Ce jeu d'action a tout de même des lourdeurs, notamment avec un système de couverture perfectible et une IA qui vous incite toujours à bourriner.
Vous avez maintenant déjoue les pièges du cartel (même si le principal élu politique qui luttait contre est mort par votre faute), les mexicains sont criblés de balles, vos potes des two des autres épisodes sont morts, votre potentielle partenaire sexuelle aussi. Mais vous vous en fichez puisque vous allez pouvoir vous reposer sur votre chalutier en pêchant des crevettes en attendant pourquoi pas une mission contre ces connards du cartel des esquimaux.


Ma note :

Une pizza Boulougnaise et un Rhum coco

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire