Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

lundi 18 juin 2018

Test sanglant : DOOM

On y croyait plus ! Après un DOOM 3 qui a duré plus de 12 ans, le reboot de la série s'opère enfin ! Ca ne sera donc pas DOOM 4 mais DOOM en Majuscule, qui claque sa mère !


HistOOM

DOOM n'a jamais brillé par son histoire et c'est même devenu une de ses marques de fabrique. On déhambule dans des couloirs sombres jusqu'à trouver une créature agressive à expédier dans l'autre monde, puis on continue au sein du labyrinthe... C'est bien simple, le marine patriote est si simplet et si générique qu'il est connu de nos jours comme le Doomguy.
L'histoire si tant qu'il y'en ait une, se déroule dans une base abandonnée, où les habitants sont tous plus ou moins infectés et transformés en êtres hostiles. Les cinématiques sont courtes et c'est tant mieux.

GraphOOM

Les clés !!!
DOOM est de retour et il est beau ! Le marine enervé est de retour et il est encore plus brutasse que (Wolfenstein) c'est dire ! Avec arrachage de bras et écartage de crâne comme ça, parce que l'anatomie, c'est dépassé ! Reluisant au niveau des effets de lumières, des giclures de sang, de la profondeur de champ de vision, on s'y retrouve tant au niveau de la direction artistique qu'au niveau purement technique. C'est une grosse mandale velue dans ta joue trop fine !



GOOMPLAY
On peut jouer en split-skull

Brutal, c'est ce qui pourrait résumer ce jeu. Rapide, nerveux, avec des armes qui en mettent plein la tronche et des finishs moves qui nous font tourner la tête. Les aliens vous rushent ? Pas de problème ! Le Doomguy est là pour les accueillir !


BOOM

Ramasses ta chole !
Les cris incessants des aliens et la musique jouent sur le côté oppressant du jeu. On veut savoir d’où viennent ces plaintes bestiales pour les faire taire à coup de fusil à pompe ...








ConclusiOOM
Ajouter une légende

Oui mais voilà, force est d'admettre que DOOM est de retour. Remis au goût du jour, mais avec la même saveur, certains devraient en prendre de la graine, hein Duke !?
On va pouvoir redire doom-like à nouveau, et ça, ça n'a pas de prix.


Ma note :

le steak le plus saignant de la terre + 80's style


Test Sci-fi : Horizon Zero Dawn

Des designs de robots bien réussis
L'industrie du jeu vidéo est un peu curieuse, auparavant sans cesse dans l'innovation, elle est maintenant un média de masse et copie jusqu'à overdose.




Histoire


Des dialogues pour creuser l'histoire
Dans un monde post-apocalyptique, la civilisation s'est éteinte, les machines ont envahi le monde (mais paisiblement). Ce sont des animaux-robots qui vivent comme des animaux-normots. Les humains ont "reculé" et sont revenus à des heures plus primitives, même si certaines tribus sont plus évoluées (villes et forges). Les missions principales fouillent dans le passé tumultueux d'Alloy fille rejetée par sa tribu, et élevée par Rost, un chasseur paria. Cette fille forte et rebelle est encore rousse, et nous rappelle immanquablement Nariko, dans Heavenly Sword (PS3 et excellent). On en apprend plus également sur l'origine des machines et de l'extinction de notre ère. Les missions annexes, nous font visiter les environs, avec des quêtes fedex et des camps à libérer. Du grand classique.


Graphismes

Des textures étranges comme cette suintante Alloy

Graphiquement impeccable, il ne souffre que de quelques bugs d'affichage (textures curieuses ou longues à charger), et de collision (bloqué sous un rocher).
Même si tout est très beau, ça se paye par des temps de chargement à chaque téléportation.

Gameplay


Des infiltrations classiques
La carte est très grande et dispose d'une bonne variété. Mais voilà, on aurait aimé le grappin-parachute de Rico Rodriguez tant c'est vaste.
Heureusement les campements nombreux permettent des déplacements rapides une fois visités.
Les promenades à pied sont très longues mais le dressage d'animaux robots permet de cavaler plus rapidement.
Les déplacements demandent -au départ en tous cas- un peu de discrétion pour éviter qu'une horde de cavaleurs ne nous piétine. Les combats se font en grande partie à l'arc, les parties sensibles des machines étant très visibles. Il faudra les cibler et éventuellement rajouter un petit dégât élémentaire pour faire de gros dommages. Une fois à terre, un coup de lance critique les achèvera.
De nombreuses quêtes
Pas mal de pistes à suivre (visibles grâce au kit main libre d'Alloy), de la grimpette -ça devient laçant d'en avoir dans tous les jeux, surtout que ça n'est pas technique du tout (toujours les fiantes d'oiseaux pour indiquer le chemin comme dans TR).
C'est les camps ennemis qui offrent le plus de challenge et qui nous obligent à attaquer d'un certain angle pour réussir des assassinats super discrets (l'IA n'est pas non plus trop affutée).
Ultime déception, le boss final est encore une couille. Forme de vie ultime, et surpuissante.


Conclusion


De beaux paysages
De beaux paysages
Prenez un soupçon de Heavely sword, ajoutez une dose d'Assassin's Creed, mettez du Prince of Persia, saupoudrez de Tomb Raider (le reboot pas les énigmes), incorporez du Red Dead Redemption et malaxez avec du Mass Effect. Horizon Zero Dawn n'a pour lui que son scénario et ses paysages somptueux. La partie combat et infiltration m'a gonflé personnellement, si bien que j'ai mis le jeu en mode ballade pour faire l'histoire. Histoire qui n'est pas si poussée finalement, et narrée en hologramme pendant 1h. Bref ce Horizon est pour moi une déception. J'aimais mieux Killzone.

Ma note :


Aube/20












Test pourquoi ? : King Oddball

Le PS+ donne accès à des titres auxquels on aurait pas pensé. Des titres surprenants et pas forcément toujours intéressants...


ODD


Sans scénario aucun, on est balancé sur une map carrée divisée en carreaux. On lance... Décor façon peinture, et ... Grosse couille énervée sur l'armée... Ok.
Que fait elle dans le ciel à balancer des grains de café gris sur des tanks ? Pourquoi si les gains de café sont en pierre, la boule énervée ne tombe pas ?
Pourquoi l'armée reste immobile ? Pourquoi n'y a t'il pas un seul bâtiment ? Tant de questions qui resteront sans réponse...


 BALL


La récompense d'un tableau complété...
King Oddball est donc un one button game (un jeu de un bouton -pour les canadiens-), simple et efficace. Mais proposé sur une plateforme comme la PS4, on attend un peu plus.

- La bande sonore reste la même tout le temps.
- Les animations sont quand même pas trop poussées
- Les récompenses sont quand même des autres niveaux où on peut faire la même chose (lancer des grenades...)
- Et surtout pas de bouton recommencer !!! C'est hyper énervant quand on arrive dans des tableaux plus techniques et qu'on foire sont premier lancer. On doit lancer les 3 grains de café pour avoir un écran "no epic win".


Il est où le restart ???
On pourra lui reconnaitre le level design, et les capacités de la couille à nous faire faire des trick shots. Pour un grain de café sur la tête de pierre, un grain de café offert. Pour 3 membres de l'armée éliminés en un tir, un grain de café offert. On cherche donc toujours le rebond, les caisses d'explosifs, et l'écroulement de structures.





Conclusion


Malgré des bonnes idées, on se demande pourquoi. Ce jeu n'a pas vraiment sa place sur console de salon, où le côté répétitif, et la rapidité des niveaux suggèrent un jeu mobile. La plateforme ne compense ni les graphismes (pourquoi une couille dans le ciel ?), ni les graphismes (moche), ni les oublis (restart ???????????). Si vous voulez l'essayer, faites le sur du tactile.

Ma note :



il est tout triste