The Legend of Zelda : A Link Between Worlds

Quel joli jeu de mot pour le dernier jeu Zelda sorti en fin d’année dernière. Cette fois-ci, Nintendo a décidé de nous sortir, non pas une réédition de « A Link to the Past » (qui restera pour moi le meilleur Zelda de tous les temps), mais un jeu inédit reprenant l’univers du jeu sorti sur Super Nintendo.

Retour en 1992

 

J’avais 6 ans, l’album Nevermind devenait un énorme succès (c’est Courtney Love, dans la serre, avec le fusil), plusieurs stars de Disney naissaient (comme la chef de chantier et la sorcière), et plusieurs jeux mythiques sortaient sur SNES, comme Captain Novolin, Super Mario Kart, ou encore The Legend of Zelda : A Link to the Past (en Europe). Ce troisième opus de la série restera comme un chef d’œuvre du monde jeuxvideoludique, de par son gameplay, sa musique, son histoire, et son environnement. 

Aujourd’hui

 

Bref, tout ça pour vous faire comprendre que Nintendo, pour doper encore plus les ventes de la 3DS, a décidé de reprendre les éléments du jeu qui ont contribué à son succès, et de faire un nouveau jeu Zelda pour sa portable. 

Histoire 

 

Une histoire classique de Zelda, mais qui fonctionne encore. Une prophétie du héros, un monde à sauver (plutôt deux en fait), une princesse (ou deux) à secourir, un méchant, etc. 

Gameplay

 

Il se rapproche beaucoup de Zelda III, mais il y quelques subtilités, comme la location des armes, ce qui implique que l’on peut faire les donjons dans n’importe quel ordre ; un nouveau pouvoir disponible : Link peut se coller au mur (utilisé à outrance) ; de nouvelles armes disponibles, comme les bâtons de feu, de glace et de vent ; les confrontations avec des Link Noirs en Streetpass… 

Graphismes 

 

Magnifique, coloré, une 3D plutôt sympathique… En gros, un « portage » réussi sur la 3DS.

Conclusion 

 

Bref, si vous avez aimé A Link to the Past, vous allez adorer A Link between Worlds. Dommage que le titre de Nintendo soit rapide à finir, même à 100%.