Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

vendredi 24 janvier 2014

TEST : Zombeer



 Après 4 longues heures de téléchargement (vivre à côté de canards, ça n’a pas de prix, même une bonne connexion internet), je peux enfin essayer un jeu qui mélange bières, zombies et péripatéticiennes. 

Trois Picon bières s’il vous plait !

 

Dès le menu, on sent que les développeurs ont déliré à faire ce jeu. Au bout de deux secondes, on se croirait dans un bar : le bruit de canettes de bières en naviguant dans le menu, on vous demande ce que l’on vous sert lorsqu’on choisit « nouvelle partie ». Je prends donc comme d’habitude, un demi. Au début du jeu, on se réveille justement dans un bar, et là, qu’est-ce que l’on voit trainer sur le comptoir ? Un godmichet. Et ce n’est que le début d’un jeu qu’on aimerait voir plus souvent.

Une dernière bière pour la route

 

Zombeer est un FPS où l’on doit dégommer des zombies. Classique ? Pas vraiment. Tout d’abord, on peut les défoncer avec un godmichet (que l’on peut faire vibrer), ou une cloueuse. Ensuite, il est nécessaire de boire des bières (de la zombeer pour être plus précis), pour ne pas devenir un zombie (le personnage a été infecté au début du jeu). Mais attention, si on boit trop, on ne marche plus droit et on ne voit plus grand-chose. En gros, on est bourré et le GAME OVER apparait, comme dans la réalité. 

Timesplitters et Postal ont un fils, comment s’appelle-t-il ?

 

Le character design des zombies ressemble beaucoup à celui de Timesplitters. Il existe plusieurs genres de zombies, comme le Borat qui vous fait la danse des bourrés sur une musique juive, les femmes lapins qui ont des gros seins, ou le mime qui vous défonce en émettant des infrasons ou des ultrasons (je ne sais pas trop, je suis nul en sciences). Les références à des jeux vidéo ou à des films sont très nombreuses (Minecraft, Mario, Indiana Jones, SAW…). Les interactions avec le décor (un peu buggées) ne sont pas nombreuses, mais originales (à un moment donné du jeu, on vous demandera de jouer au Simon pour remettre l’électricité).

Soit on peut rire de tout, soit on peut rire de rien

 

Bref, le fun est vraiment présent dans ce jeu, et les références aussi. Les développeurs se moquent d’eux, l’ambiance sonore est très bonne. On aimerait voir des jeux comme ça plus souvent. Le prix peut paraître excessif (15 euros) pour sa durée de vie, mais personnellement, même après quelques heures de jeu, je ne regrette pas (surtout si on peut financer sa suite). Et surtout, je préfère mettre 15 euros dans un jeu original, drôle, mais court, plutôt que de dépenser 60 euros dans un jeu triple A qui n’a pas d’âme.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire