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samedi 2 juillet 2016

Test pointu : One Chambara Z2 CHAOS

Les 4 protagonistes et leur charismes...
Dans les jeux de niches, on a forcément les simulations pointues de cockpit d'avion, d'hélico ou autres vaisseaux spatiaux, qui demandent des heures et de savoir quel switch il faut activer pour ne pas finir dans un immeuble. Il y a les jeux de stratégie, où avoir lu un paquet de livres d'histoire et connaître sur le bout des doigts un manuel de 500 pages sur les nuances du jeu ne sera pas de trop. Les jeux de boulettes, où un pouillème de cm vers la gauche casse votre "chain" et diminue votre score. Et puis il y a les autres, à la fois aguicheurs en rayon, et WTF une fois dans la machine. One chambara Z2 Chaos est de ceux là.


Histoire

L'assion est quand même bien bordélique
Mentions spéciale aux onomatopées utilisées en bd
Sortit en 2014 sur ps4 puis transposé sans la moindre retouche sur pc (pas même des options graphiques), de beat'em all nerveux nous place dans la peau (mais on la voit bien la peau) de 4 héroïnes. 2 vampires et 2 chasseuses (si j'ai bien compris), le jeu est en anglais, mais l'histoire n'accroche pas des masses. Ces 4 protagonistes peu vêtues enterrent leurs différends pour mieux péter la gueule à une invasion zombie aux 4 coins de la planète.



Graphismes et nudité


wahh ! Des robots moches en plus des zombies, c'est fantastique !
C'est là qu'on s’aperçoit qu'on s'adressait au public japonais : 2 filles plantureuses et dévêtues et 2 écolières... Mais on peut switcher à notre guise tous les vêtements, il est même possible de chopper un dlc japonais où les héroïnes ont des cache-tétons fraises et une banane pour cacher l'entrejambe (!?!). Ça vole haut et c'est particulièrement malsain. Autant dans Dead or Alive ça passe (et encore ça se discute), là c'est un cran de trop. Bref, on passe sur les protagonistes et on s'intéresse au jeu.
Les transformations interviennent extrêmement peu dans le jeu...
C'est particulièrement moche, avec des arènes vides et des textures baveuses. Le tout étant très carré, sans originalitey. Les ennemis sont tout de même assez variés, allant du petit zombie au gros boss qui fait 3 fois notre taille.
Pour se rendre compte de la laideur du jeu, le premier instant m'a fait penser à 2 rails shooters : time crisis pour les graphismes et house of the dead pour l'ambiance série Z. Et surtout les salles d'arcades japonaises pour les combos et les zombies amorphes (je n'ai pas retenu les titres, ils se jouaient en réseau dans la salle, en versus, j'ai toujours rien pigé).

Décors très désertiques et raies de plombier




Sons

On sait comment elle veut conquérir la terre !
Flortch et Zhamm, ça écharpe et ça démembre à tours de bras, les bruitages collent, pas de doute. La musique ressemble à ce que fait du Bayonnetta, mais en mieux. Très japonais.




Gameplay


29 Hits, 79 Hectolitres
C'est le point fort du jeu, à la fois très riche (mais genre blindé, même plus que Notch) et nerveux. Le 60fps constant permet des combos énormes, rapides, flirtant avec du 400 coups (et encore j'ai pas tout débloqué, et je maîtrise pas). Ce TPS permet de faire des combos altenant avec les classiques carré/triangle, mais aussi avec un peu de rond et surtout de la croix directionnelle, permettant de changer à la volée de combattante. Déjà très riche et upgradable, on peut en remettre une couche car certaines pépées possèdent plusieurs armes, et des variations.
Les notes ne sont pas toujours compréhensibles
Tout ça est pléthorique, mais l'IA des ennemis est frustrante, ils courent contre les murs et n'attaquent que très rarement.
Bien inspiré de Devil May Cry, on retrouve le système de note, qui nous permet de cumuler des points permettant de les dépenser dans la shop de la game. Faire des énormes combos permet d'accumuler des points et d'en débloquer d'autres ou alors avoir des meilleurs armes.


Les QTE interviennent à chaque combat de boss
A chaque coup se déclenche des effets énormes d'impact, des gerbes de sang, limitant la lisibilité, ceci est parfaitement jouissif.
A chaque gros boss, des QTE permettent de découper ce dernier en morceau, ils sont assez dynamiques et très permissifs, ce qui est une bonne chos
e.
Un mode practice permet de se familiariser avec les multiples mécaniques de slash et de cut.
On regrette la très petite durée de vie du mode histoire (4h45 pour ma part), et le saut de difficulté entre le mode Facile et Normal (j'ai joué en facile). Ce qui met en avant le côté hardcore potentiel.


Conclusion

On peut placer des toasts sur les hanches
Ce jeu est un excellent défouloir, si on fait abstraction des culottes trop petites et des filles qui le sont tout autant. Des environnements tristounets et du manque de réaction de l'IA, il reste un chouette Beat'em all, hyper complet par le gameplay. A réserver à ceux qui veulent vraiment s'investir et tout débloquer, au niveau hard, chercher le score "S", voir des culs tous nus, faire des combos hallucinants dans un environnement terne, sans histoire. Un jeu de niche pour les joueurs en chien !


PS : Désolé pour la mise en page dégueulasse, mais j'ai mis beaucoup d'images avec du sang et des boobs pour me faire pardonner. Merci à Google d'améliorer ce point

Ma note :
Un coup de cul de Dead or alive Extrem 3
Robotnik te met un doigt

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