Histoire
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Explosion |
C'est l'histoire d'agents qui s'infiltrent dans les camps ennemis pour finalement lancer une charge atomique sur la lune.
Graphismes
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Cliché mais sympa ! |
Extrêmement originaux, colorés, tout droit sortis des 60-70's, ils ne plairont pas à tout le monde. Les personnages en ombres très anguleux contribuent aussi au charme du titre. De ce côté là, c'est beau. Les touches ça et là de logos de propagande (tant du côté US que URSS même si ces noms ne sont pas cités) assez idiots renforcent le côté humour, de même que certains messages cachés dans des coffres. Là ou ça pèche, c'est le frame rate qui va baisser à chaque ouverture de porte ou quand les ennemis ou explosions sont trop nombreux, mais bon là ça aurait été un sans faute...
Ambiance sonore
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Dérobage |
Les bruitages sont bons et les musiques jazzy sont cools, ça rappelle NOLF (No One Lives Forever) ! AH ! LA GRANDE EPOQUE !
Gameplay
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Crac ! |
Partiellement en 2D, c'est l'autre originalité du soft. On progresse de gauche à droite avec des caméras à désactiver, des coffres et des ordinateurs à fouiller. Mais quand on presse O (à côté d'un plot pour se cacher), on passe en planque et on peut viser en 3D. Et là quand les ennemis sont nombreux, mieux vaut ne pas trembler ! A la moindre balle à côté, c'est le "?" qui apparait ! Et si l'ennemi nous croise de son regard, c'est le "!". Et là, il tire, et les autres vous auront probablement choppé. Autre élément important, quand on se fait repérer par un caméra ou quand un garde appelle les secours, notre niveau d'alerte change pour passer de 5 à 1. Si il monte au delà de 1, un compteur se met en marche et il vous faudra tracer jusqu'à la fin du niveau. Adieu butin, armes et bonus !
Conclusion

Sympatique, court mais répétitif, Counterspy c'est un peu le dimanche pluvieux, le diner auquel on ne veut pas aller : on y joue d'une traite, mais on ne s'y attarde pas. En gros, pour jouer une aprem, c'est parfait, c'est sympa !
Ma note :
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Thank you for playing |
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Banana gun ! |
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