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mardi 13 juin 2017

Test toutes burnes dehors : Danger Zone

Un petit peu d'humour
Sorte d'annonciation : Dangerous Golf, lancé par Three Fields Entertainement en 2016 puis le retour se précise le 30 mai 2017, avec le pendant party-game de Burnout 3. La route est longue, mais on y croit.




Histoire



Taper un max de véhicules avant de déclencher son smash breaker
Burnout 3 est sorti le 8 septembre 2004, nous dit wikipedia, soit il y a tout pile 13 ans et des brouettes, sur Xbox360, PS2 et la mourrante XBOX. Revenons aujourd'hui, 13 ans et des bananes après. On se souvient toujours de ce mode crash. Il était marquant, et tranchait avec la course de Bruum-brumm-turbo, qui animait le scénario du jeu. On s'en souvient et on le re-a. Tout chaud sorti il y a moins de 15 jours. 15-13=2 et c'est important pour la suite... Bref, on a une voiture blanche, on travaille pour Euro NCAP (l'organisme qui bosse dans des grottes, pas la marque de capotes), et ce qu'on veut c'est tester des très gros crashs pour voir si les occupants survivent. --==Quel beau métier==--


C'est l'histoire d'un mec ...



Super frustrant ...
Pour recréer le crash parfait, celui qu'on veut re-re-reconstituer, on a à notre disposition peu de contrôles sur la voiture. Une accélération, qu'il faut maintenir, sinon on perd la direction, un frein qui sert surtout à déraper, et c'est tout. La voiture tourne comme une brique, et ressemble à une skoda. Quand on compare ça au "cast" de Burnout 3, on a des remontées de merguez ... Une skoda...

On a des portions de route qui se mettent alternativement à avoir du traffic, parfois à thème, bus scolaires, camions de transport de chiottes, voitures de flics...attendez, c'est encore une skoda ! Et des objets au nombre de 2, des gros dollars qui représentent... merci, de l'argent. Et des explosions, qui représentent un gain de Smashbreaker. Le pouvoir d'exploser une deuxième, une troisième fois, et de se diriger.

Tout cela est abstrait, mais en combiné ça donne : on accélère on percute des voitures, ça débloque notre Smashbreaker, on explose au milieu des voitures, là on se dirige vers la deuxième route qui clignote. Signe que des voitures vont arriver, coup de bol, un symbole d'explosion à côté d'un dollar, on tombe dessus, les voitures nous percutent, on ré-explose, direction le prochain croisement...
Quand on atteint la fin du jeu, on voit ses stats
Fluide et amusant, on est sans cesse tenté de chopper le prochain Smashbreaker du bout du capot.

Bien funs, les puzzles sur plusieurs étages et multidirection se débloquent vers la fin.



Conclusion


Les ombres au tableau sont au nombre de deux, 20 stages, c'est peu. Surtout que ceux qui se complexifient et font oublier l'environnement fermé arrivent tard, 4 stages, c'est peu.
L'environnement fait aussi un peu parti du moins-fun. En nous situant dans un univers où le crash est le but, le métier, il n'y a plus le gout d'interdit, de civils qui crient, de scouts morts dans un incendie de bus scolaire... D'autant que le garage gris n'est pas glorieusement génial (à répéter 3x)
Plus fun que Dangerous Golf, plus beau aussi, il est disponible à moins de 13 euros. Pour les soirées entre potes, c'est super.
Un espoir reste permis, les DLC avec de nouveaux stages ou le futur et hypothétique Burnout X : Merguezator. Bref, les ptis gars, on y croit encore, Burnout reviendra.


Ma note :

Skoda + burnout + Parking

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