Bonne année 2016, comme ça c'est dit.
Mis en lumière par les Game awards 2015, Undertale fait partie de ces jeux élitistes mais pas inaccessibles de la sphère indépendante. D'abord financé sur kickstarter à partir d'une petite démo, le jeu amasse près de 50 000$, ce qui est peu pour un jeu, mais beaucoup pour un projet comme celui-là...
Gameplay
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Boom ! prends ça ! |
On est fous, on commence par ce qui fait l'originalité du titre : le gameplay. C'est un rpg tour par tour comme on pourrait en faire des milliers avec RPG-maker, mais avec un système de combat assez original. Largement repompé dans les shoot'em up, la plupart des ennemis attaqueront votre "âme" avec des boulettes. Autre originalitey, on a la possibilité de ne pas tuer les monstres en parlant ou en faisant d'autres actions (courbettes, pleurer, danser, etc.).
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Humour, humour |
Reposant sur l'humour (anglais exigé, références omniprésentes et WTF) et sur des énigmes enfantines, Undertale nous distille toute l'envie du créateur de changer l'expérience du joueur, et de créer un expérience unique.
Histoire

Parfois très générique, parfois un peu loufoque, on incarne le héros - du nom de notre choix - qui a attéri là où il ne devait pas (dans le royaume des monstres). Pour s'en sortir, il devra créer des alliances et surmonter les obstacles avec DETERMINATION.
Bande sonore et vidéo-grapho-aspect
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Une des plus belles images du jeu... |

Pour être franc, je ne sais pas si l'auteur avait pour volonté de faire un jeu aussi moche, mais dans le doute, on va dire que c'est un choix artistique qui fait très mal aux rétines. Emprunt d'un esprit 8-bits, le titre nous réjoui plus avec sa bande sonore qu'avec ses graphismes. A vous de juger.
Conclusion
C'est moche mais on y retourne.
Ma note :
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8bits |
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maintenant je dois porter ça |
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