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samedi 16 janvier 2016

Test : Drakengard 3

Drakengard, ou Drag-on Dragoon chez nos amis des yeux petits et des nouilles épicées, c'est avant tout une série de beat'em all-reupeug (jeu de rôle m'a confié un journaliste de france 2), basée sur des fratries qui se foutent sur la gueule, avec des dragons, et une fin du monde qui est souvent très proche (si je dis des conneries, c'est parce que le 3, la préquelle, est le premier épisode que je joue, merci de me corriger, avec un fouet).




Mature et sanglant


Plus on tape, plus on est sale
Au départ bien succinte, l'histoire se complique avec des histoires parallèles bien ficelées. On y incarne Zéro, une des six invoqueuses protégeant le monde par leurs chants. Mais Zéro la badass de service n'en a rien a foutre, ce qu'elle veut, c'est foutre le dawa dans le monde, avec son dragon Mikhail, et tuer ses autres sœurs. On a un jeu bien foutu, surtout pour ses personnages, à la fois drôles, pervers et vicieux. Leurs caractères, bien que très clichés sont développés avec soin, et on veut vraiment savoir ce qu'il va leur arriver.
obsédé, inutile en bagarre
Ce jeu prend directement le joueur à contre pied, avec une héroïne qui devrait être la méchante (puisqu'elle veut étriper ses sœurs) et un dragon niais et enfantin (je veux faire pipi !!!). Le jeu est fait pour des adultes et ça fait plaisir.


 

 

Ambiance sonore


Mikhail est un allié de poids
Des musiques délicates et des doublages anglais de très bonne facture, ne manque plus que le doublage japonais.... ah si, il est en DLC à 5€... sans moi. De même que des costumes, et des arcs de l'histoire permettant d'incarner les sœurs de Zéro, One, Two, Three, Four, et Five.
Edit : j'ai tellement aimé les dérivations que j'ai cherché à acheter les DLC, si vous voulez pouvoir le faire, n'achetez pas le jeu en boite (import US), les sauvegardes et les DLC ne sont pas compatibles. Je vais devoir faire une croix dessus. Merci square enix ! Vous avez perdu des sousous.


Ça va hallebarder !


Slash !
Là la technique date un peu et le framerate, est carrément à la rue (surtout si vous avez un téléchargement en tache de fond d'après mon expérience qui c'est nettement améliorée après une vingtaine d'heures). Lorsque tout ça se pose un peu, et que les ennemis sont quatre ou moins, et que le dragon ne balance pas d'explosions à travers l'écran on assiste au vrai jeu tel qu'on aurait dû y jouer. Les animations sont hyper maitrisées et tuer (surtout les archers, ces sales p****) est super défouloir. On prend alors toute conscience de l'importance des fameux 60 fps, sans eux, le jeu est laid à en crever, avec il a à la fois du charisme, une personnalité débordante, et le panorama de derrière qui était plus laid qu'un steak du premier monster hunter devient un bout de viande 3.5D. On apprécie que les gerbes de sang se retrouvent sur la robe blanche de l’héroïne, ça au moins c'est réaliste !
Le secret de régénération des invoqueuse est dégueu

Parallèlement, on a malheureusement affaire à un jeu couloir, ou l'on enchaine arène sur arène, ennemi sur ennemi. Avec les défaut les plus agaçants du monde, lorsqu'un ennemi laisse tomber un item, celui-ci met 3 secondes à pouvoir être ramassé, c'est pas grand chose mais ça nuit au rythme de la course de soldat en soldat, surtout quand ils se fichent dans des endroits inatteignables. La durée de vie est d'environ 40 heures, ce qui n'est pas si mal pour un beat em all, la courbe de difficulté est très douce sur les 17/18 du jeu le reste est une autre paire de jambes. Le pire c'est les phases de shmup sur le dragon inmaniable et les ennemis mous.

Une mention spéciale pour le boss de fin complètement impossible : une phase de rythm game de 7 min ou la moindre erreur est punie de game over. Mais c'est pas une difficulté basée sur des touches à bien coordonner, non, ça c'est les jeux normaux, ici c'est un one-button game. Comprenez qu'on utilise que la touche X, au bon moment. Mais pourquoi c'est dur me direz-vous ? Tout simplement parce qu'aucune aide visuelle à partir de 4 min ne vous viendra en aide.
Maj : Chose inhabituelle, le test est réalisé sans avoir fini le jeu. Je remet cette fin à plus tard, et me refuse à regarder la cinématique sur l'internet. C'est hyper tendu.




Conclusion


Ce qu'on retient de Drakengard 3, c'est qu'ils sont pas doués pour trouver des noms l'ambiance unique du titre. Je me rappellerai longtemps de l'invoqueuse en nuisette blanche à la fleur dans l’œil et au bras bionique. À cause de son framerate à la ramasse le jeu passe d'excellent avec des animations magnifique à bon car à peine lisible. Vivement le remake ! En tous cas ça permet d'attendre Nier Automata !

    Ma note :

    Cliché du japon
    Pervers comme Voldo





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