Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

samedi 30 janvier 2016

Test Muso : Samurai Warriors 4-II

La série des Muso de Tecmo Koei, et Oméga force se décline en de nombreux titres. Des dynasty warriors (7 titres et leurs spins-offs Empire et Xtrem legends) nous décrivant les conflits dans la chine des 3 royaumes, les Warriors Orochi, qui mélangent les guerriers de la Chine et du Japon, aux délires de Gundam, Ken, Zelda, Une Pièce, on en a pour tous les goûts. Nous nous intéresseront à un des tous derniers épisodes et qui s'est fait attendre ! Samurai Warriors 3 est tout de même sorti en 2009 !


Amélioration


En gros ce Samurai Warriors 4-II est l'amélioration de l'épisode sorti partout et testé ici par Sieger. On reprend les mêmes et on recommence, ajout de DLC, et d'un mode survival en sus. Doté de 15 histoires impliquant 3 personnages à chaque fois dans 5 batailles célèbres, on a de quoi faire ! Le scénario nous plonge dans les coulisses des plus grands conflits entre le 17e et le 18e siècle. Doté de cinématiques sympatiques mais pas exceptionnelles, mais surtout de schémas avec les cartes pour expliquer quel général attaqua Osaka avant telle bataille et que les seigneurs mochi et mochi se sont alliés pour contrer le général buddha.

LA baston


zboom, zap, clang !
Pour ceux que les faits historiques laissent de marbre, l'essentiel arrive bien vite après des chargements rapides. Zbraa vas-y que je te carré, carré, carré, triangle, triangle, les ennemis volent, et le compteur de combo comme de ko s'emballe ! Jouable en coop, sans souffir du moindre ralentissement (60fps!), mais bon les ennemis affichés à l'écran sont moins nombreux quand même (pas plus d'une cinquantaine par split screen) ! Notons le cheval con comme un balai qui fait des allers-retours en courant devant vous quand vous le sifflez, et des boss pas forcément au niveau (difficile, mode cauchemar pas testé).

 

 

 

Les persos


J'adoore les angles de caméra, très artistiques
Une bonne séléction d'une cinquantaine de persos, avec pour les guerriers feminins des loches de malade et des doublages façon "kimochiii". Quand les lances n'excèdent pas la taille de 2 soldats de base, les plus gros guerriers en portent deux. Bref, c'est du délire. Le mode création de perso, est lui très complet et permet de créer bonnasses, guerrie(è)r(e)s ultimes, ou dégénéré total.

 

 

 

 

Graphismes


50 niveaux ça fait beaucoup
Très corrects en solo, les graphismes pâtissent des dialogues affichés au milieu de l'écran et qui cachent l'écran des objectifs. Moins fins également, ils restent lisibles. Le mode deux joueur permet quand même de réduire les grands allers et retours imposés dans des missions de plus de 20/30min.

Un jeu K-2000 (4-II 1000)


Si le jeu est très complet pour les fans et offre une durée de vie énoooorme pour qui veut upgrader ses persos préférés au level 50 (comptez environ 40 heures pour tracer sa race jusqu'au stage "bonus"). Mais pourquoi ne pas l'avoir sorti en 2 fois (jeu en kitt hahaha!) ?


Ma note :

Un aspirateur

samedi 16 janvier 2016

Test : Drakengard 3

Drakengard, ou Drag-on Dragoon chez nos amis des yeux petits et des nouilles épicées, c'est avant tout une série de beat'em all-reupeug (jeu de rôle m'a confié un journaliste de france 2), basée sur des fratries qui se foutent sur la gueule, avec des dragons, et une fin du monde qui est souvent très proche (si je dis des conneries, c'est parce que le 3, la préquelle, est le premier épisode que je joue, merci de me corriger, avec un fouet).




Mature et sanglant


Plus on tape, plus on est sale
Au départ bien succinte, l'histoire se complique avec des histoires parallèles bien ficelées. On y incarne Zéro, une des six invoqueuses protégeant le monde par leurs chants. Mais Zéro la badass de service n'en a rien a foutre, ce qu'elle veut, c'est foutre le dawa dans le monde, avec son dragon Mikhail, et tuer ses autres sœurs. On a un jeu bien foutu, surtout pour ses personnages, à la fois drôles, pervers et vicieux. Leurs caractères, bien que très clichés sont développés avec soin, et on veut vraiment savoir ce qu'il va leur arriver.
obsédé, inutile en bagarre
Ce jeu prend directement le joueur à contre pied, avec une héroïne qui devrait être la méchante (puisqu'elle veut étriper ses sœurs) et un dragon niais et enfantin (je veux faire pipi !!!). Le jeu est fait pour des adultes et ça fait plaisir.


 

 

Ambiance sonore


Mikhail est un allié de poids
Des musiques délicates et des doublages anglais de très bonne facture, ne manque plus que le doublage japonais.... ah si, il est en DLC à 5€... sans moi. De même que des costumes, et des arcs de l'histoire permettant d'incarner les sœurs de Zéro, One, Two, Three, Four, et Five.
Edit : j'ai tellement aimé les dérivations que j'ai cherché à acheter les DLC, si vous voulez pouvoir le faire, n'achetez pas le jeu en boite (import US), les sauvegardes et les DLC ne sont pas compatibles. Je vais devoir faire une croix dessus. Merci square enix ! Vous avez perdu des sousous.


Ça va hallebarder !


Slash !
Là la technique date un peu et le framerate, est carrément à la rue (surtout si vous avez un téléchargement en tache de fond d'après mon expérience qui c'est nettement améliorée après une vingtaine d'heures). Lorsque tout ça se pose un peu, et que les ennemis sont quatre ou moins, et que le dragon ne balance pas d'explosions à travers l'écran on assiste au vrai jeu tel qu'on aurait dû y jouer. Les animations sont hyper maitrisées et tuer (surtout les archers, ces sales p****) est super défouloir. On prend alors toute conscience de l'importance des fameux 60 fps, sans eux, le jeu est laid à en crever, avec il a à la fois du charisme, une personnalité débordante, et le panorama de derrière qui était plus laid qu'un steak du premier monster hunter devient un bout de viande 3.5D. On apprécie que les gerbes de sang se retrouvent sur la robe blanche de l’héroïne, ça au moins c'est réaliste !
Le secret de régénération des invoqueuse est dégueu

Parallèlement, on a malheureusement affaire à un jeu couloir, ou l'on enchaine arène sur arène, ennemi sur ennemi. Avec les défaut les plus agaçants du monde, lorsqu'un ennemi laisse tomber un item, celui-ci met 3 secondes à pouvoir être ramassé, c'est pas grand chose mais ça nuit au rythme de la course de soldat en soldat, surtout quand ils se fichent dans des endroits inatteignables. La durée de vie est d'environ 40 heures, ce qui n'est pas si mal pour un beat em all, la courbe de difficulté est très douce sur les 17/18 du jeu le reste est une autre paire de jambes. Le pire c'est les phases de shmup sur le dragon inmaniable et les ennemis mous.

Une mention spéciale pour le boss de fin complètement impossible : une phase de rythm game de 7 min ou la moindre erreur est punie de game over. Mais c'est pas une difficulté basée sur des touches à bien coordonner, non, ça c'est les jeux normaux, ici c'est un one-button game. Comprenez qu'on utilise que la touche X, au bon moment. Mais pourquoi c'est dur me direz-vous ? Tout simplement parce qu'aucune aide visuelle à partir de 4 min ne vous viendra en aide.
Maj : Chose inhabituelle, le test est réalisé sans avoir fini le jeu. Je remet cette fin à plus tard, et me refuse à regarder la cinématique sur l'internet. C'est hyper tendu.




Conclusion


Ce qu'on retient de Drakengard 3, c'est qu'ils sont pas doués pour trouver des noms l'ambiance unique du titre. Je me rappellerai longtemps de l'invoqueuse en nuisette blanche à la fleur dans l’œil et au bras bionique. À cause de son framerate à la ramasse le jeu passe d'excellent avec des animations magnifique à bon car à peine lisible. Vivement le remake ! En tous cas ça permet d'attendre Nier Automata !

    Ma note :

    Cliché du japon
    Pervers comme Voldo





    dimanche 3 janvier 2016

    Premier test de l'année : Undertale

    Bonne année 2016, comme ça c'est dit.


    Mis en lumière par les Game awards 2015, Undertale fait partie de ces jeux élitistes mais pas inaccessibles de la sphère indépendante. D'abord financé sur kickstarter à partir d'une petite démo, le jeu amasse près de 50 000$, ce qui est peu pour un jeu, mais beaucoup pour un projet comme celui-là...


    Gameplay


    Boom ! prends ça !
    On est fous, on commence par ce qui fait l'originalité du titre : le gameplay. C'est un rpg tour par tour comme on pourrait en faire des milliers avec RPG-maker, mais avec un système de combat assez original. Largement repompé dans les shoot'em up, la plupart des ennemis attaqueront votre "âme" avec des boulettes. Autre originalitey, on a la possibilité de ne pas tuer les monstres en parlant ou en faisant d'autres actions (courbettes, pleurer, danser, etc.).
    Humour, humour
    Reposant sur l'humour (anglais exigé, références omniprésentes et WTF) et sur des énigmes enfantines, Undertale nous distille toute l'envie du créateur de changer l'expérience du joueur, et de créer un expérience unique.

     

     

     

     

     

     

    Histoire


    Parfois très générique, parfois un peu loufoque, on incarne le héros - du nom de notre choix - qui a attéri là où il ne devait pas (dans le royaume des monstres). Pour s'en sortir, il devra créer des alliances et surmonter les obstacles avec DETERMINATION.




    Bande sonore et vidéo-grapho-aspect


    Une des plus belles images du jeu...
    Pour être franc, je ne sais pas si l'auteur avait pour volonté de faire un jeu aussi moche, mais dans le doute, on va dire que c'est un choix artistique qui fait très mal aux rétines. Emprunt d'un esprit 8-bits, le titre nous réjoui plus avec sa bande sonore qu'avec ses graphismes. A vous de juger.

     

     

     

     

     

    Conclusion


    C'est moche mais on y retourne.


    Ma note :
     
    8bits
    maintenant je dois porter ça