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Le passé est important dans wolfenstein |
Wolfenstein est un nom qui fait frissonner tous les amateurs de FPS (de plus de 20 ans). En effet, le premier jeu de la série, intitulé Wolfenstein 3D, sorti en 92, racontait déjà l'histoire d'un soldat allier qui cherchait à s'échapper d'un terrible château nazi. Mais l'histoire a fait que ce qui aurait dû s'appeler Wolvy-like devienne Doom-like (le jeu est sorti 1.5 ans plus tôt). Mais bon pour l'esprit de l'époque, le FPS, qui n'existe pas encore, est un jeu subjectif à la première personne SADIQUE. En y repensant Doom, Wolfenstein, Duke nukem, Quake, ou même Shadow Warrior ou Blood, avaient en commun le flingue, le labyrinthe et surtout les à côté, les putes, et la violence gratuite, un peu comme dans la vraie vie.
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Infiltration dans ton cou |
Ici, on a affaire à un véritable hommage aux FPS "à balls" qui faisaient que le Ultra-kill de Unreal Tournament, résonne encore dans nos cerveaux absorbés par des pixels rouges sortant de la tête d'un phacochère bipède. Allez, à l'assaut!
Graphismes
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Les nazis et leurs expériences ! |
Bien que beau, wolfy est beau! Et en plus il est beau ! À l'époque on parlait pas de level design, de textures ou encore moins de direction artistique, et pour cause, on avait moins de 10 ans ! Je recommence donc : ne donnez pas Wolfenstein : The New Order à un enfant de moins de 10 ans car au mieux il finit dictateur et au pire joueur... J'ai vu des reportages sur kato TV, ça vous file des frissons tout partout (oui, partout). En gros, ça claque, c'est crédible en plus d'être gargantuesque !
Gameplay
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Prêts pour prendre une double dose ? |
Ce qui change d'avec les jeux d'aujourd'hui, c'est le feeling. En plus d'être super cool avec du répondant, des temps de rechargement logiques, des reculs, des portées crédibles, ce jeu a une particularité so-90's : le double ! En gros, on peut avoir double couteau, double sniper, double mitrailleuse, double pompe, double lance roquettes et double boobies (ah non ça y'a pas) ! Ça fait du bien en temps de crise !
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L'infiltration paye toujours ! |
Au delà de l'aspect armes, l'aspect labyrinthe est ce qui a le plus évolué en 22 ans (et oui le pixel est le même il y en a juste un peu plus). On retrouve les couloirs des jeux d'aujourd'hui, c'est à dire qu'on a un gros couloir et un ptit truc caché pour faire croire que c'est pas un couloir... Ce qui nous amènera au point suivant : l'infiltration, car oui madame, oui vous au fond, vous croyiez que c'était un jeu sans finesse sans suspense, basé sur le skill et la testosteroone ? Et bien non ! Il s'est dit pendant le développement du jeu que certains préfèrent égorger le nazi plutôt que de le rôtir au laser.... Et puis quoi? C'est mieux d'avoir le choix.
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Les super-soldats sont lourdement armés |
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Bien gore ! |
Enfin, les ennemis, et l'IA (il s'agit d'un jeu sans multi) : elle n'est pas gégé mais les types d'ennemis nous donnent suffisamment de fil à retordre pour nous faire réfléchir... Mais pas trop quand même! En gros les super soldats sont blindés et possèdent une gatling, et ils sont impossibles à tuer au couteau.
Ambiance sonore et pas sonore aussi
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Les décors sont bien glauques ! |
Les bruitages sont excellents et contribuent aussi au feeling des armes et des ennemis...Paf je suis repéré ! Les musiques des années 50-60 nous font nous replonger dans ce qui aurait pu survenir en cas de victoire de l'axe. De plus les monologues du héros nous font plonger dans ses pensées torturées, pleines de remords.
Histoire de spoiler
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Les nazis et la lune ! Franchement tentant ! |
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Le boucher incarne vraiment le nazi parfait ! |
William Blazkowicz, est un vétéran des anciens volets de Wolfenstein. Il est touché lors d'une mission par des éclats d'obus et reste dans le coma pendant 20 ans. Pendant ce temps, la belle Anya veille sur lui en temps qu'infirmière. Et à son réveil, alors qu'Anya est en danger, il se réveille et commence à défourailler sévère. Il poursuit, en rejoignant la résistance, et tente de libérer ses anciens camarades, dans le but de renverser le régime nazi....
Conclusion
Intense, adulte et presque trop réaliste, ce Wolfy est une excellente surprise. Loin des FPS à suite tels les Call of et Fifa (ça va toujours ensemble, j'y peux rien), ce jeu se joue à l'ancienne, en solo. Avec une histoire assez riche en rebondissements pour vous éblouir et proposer sa dose de robots steam-punk-nazis, et de super-vilains diaboliques. Vous l'avez attendu ? Bethesda l'a fait ! Hail to the allies !
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Si jamais vous voulez arrêter votre partie ... |
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Certaines cut-scenes sont assez marrantes |
Ma note :
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Headshot à la tronçonneuse dans UT |
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L'infirmière Joelle |
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La poupée vaudoo dans Blood |
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