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samedi 7 avril 2018

Test glissant : Absolute drift : zen edition

Un jour j'ai dérapé sur les promos de pâques sur le psn, des tas de petits jeux à moins de 5€. Le premier de cette série de tests est absolute drift zen edition.

Histoire




Il n'y a pas d'histoire dans un jeu de scoring. C'est pourquoi je vous apporte ici un peu d'histoire tiré de wikipedia.
Le Drift est a débuté dans les années 1980 au Japon. L'interprétation moderne du drift a évolué d'une forme de courses de rue illégales pratiquées sur les routes sinueuses de montagne et appelées « Touge » ou « Tôge » (prononcer « to-gué »), pratiquées par les Zoku prononcer « zo-kou ».
Le pilote japonais Keiichi Tsuchiya (surnommé aujourd'hui le « Drift King »), lui-même inspiré par la technique particulière de pilotage de Kunimitsu Takahashi, un ancien pilote motocycliste courant dans le championnat du Japon des voitures de tourisme (JTCC) dans les années 1970, a pratiqué le drift lors d'épreuves illégales en montagne (Tôges) puis participé au lancement de la discipline sur circuit en 1988.

Road racin'



après avoir rempli des objectifs, on débloque une course de nuit
Le jeu se distingue par une direction artistique très épurée et du coup très lisible. Les routes sont blanches, les objets remarquables en rouge et vos traces de pneus noires. Cela crée une identité forte au titre. D'habitude surchargés à outrance d'effets visuels et de mouvements de caméra, on a une vue fixe à la micromachines.
On suit alors le cheminement de notre bolide qui oscille gracieusement (après entraînement) sur un fond de musique electro planante. Relaxant.
Les courses sont triées selon les catégories : tuto/ circuit/ gymkhana/ course de nuit

Initial D... Comme drift


On a plaisir à se balader dans le hub

La prise en main n'est pas spécialement complexe, mais remplir tous les objectifs de chaque course (chrono, points, multiplicateurs, donuts, etc.) exigera concentration et persévérance. La physique est le gros point fort du jeu. Chaque voiture a son poids, sa puissance, sa tenue de route. Une fois habitué à la premiere caisse du jeu (une ae86), difficile de reswitcher... Maîtriser son angle, sa vitesse et surtout prévoir sa trajectoire sont hyper addictifs. Parti pour tester le tutoriel, j'ai finalement passé 4 heures sur des épreuves en oubliant l'heure.


Rwd ou rien



"the super"
Ici point de dlc (même si la sortie de la zen edition sur PS4 est un peu un DLC), il faudra debloquer de nouveaux bolides grâce à votre skill. Des épreuves sont en effet dissimulées dans le Hub où l'on choisit ses courses. On dispose de 6 montures au total. Les véhicules sont volontairement calibrés pour déraper généreusement.





Conclusion 



Véritable alchimie entre micromachines, pour ma vue de haut (top-down disent les jeunes), dirt, pour les gymkanas, et trackmania pour le scoring, il faudra beaucoup de patience, de retries pour faire le(s) tour(s) parfaits, et espérer grimper dans le leatherboard. Mais c'est bien ce qu'on demande à un jeu de scoring. Bien addictif qui plus est. Dispo actuellement à 3.99. Sur ce je retourne déraper.







 Ma note :
Un jeu de pneus
Une banane








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