Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

samedi 25 juillet 2015

Test : Pixeljunk : shooter

Originalement sorti sur le PSN en 2009, pixeljunk shooter revient en 2013 sur steam, pour un plaisir allégé, je l'ai acheté en soldes à moins de 3€...

Graphismes et gameplay

Les bavures existent

Simple et épuré, il se résume à des sous-terrains, des grottes. On explore ce sous-sol dans un petit vaisseau jaune, dans l'espoir de retrouver quelque scientifiques venus réaliser des prélèvements, on cherche aussi des diamants, parce que c'est trop swag ça race ! Mais voilà sous ses environnements léchés, on trouve des ennemis (oui, oui, des ennemis) qui sont très cons, trop cons (donc c'est plus vraiment des ennemis) et ils vous balancent rarement plus de 3 boulettes, et on est très loin des danmakus.
Les ennemis sont des gentils
Principale difficulté donc, contrairement à son nom, c'est des énigmes, et des fluides (je sens un regain d'intérêt, et même des questions (quels fluides). On doit manipuler à l'aide de différentes combinaisons (oui, des combinaisons pour vaisseau ça existe), du feu, de l'eau, de la glace, du pétrole, et du gaz. Sachant que le gaz explose avec du feu, que l'eau sur du feu fait de la pierre, que la glace fond avec le feu et que le pétrole avec de l'eau donne du gaz. Vous suivez ?




Musique


Allons arroser des trucs !
Mi-Hip, mi-hop, mi-stérieuse, elle colle bien à l'action et les prrrrrr d'explosion de vaisseaux font comme les vrais.

Histoire

Les boss sont une vraie récompense

Pas d'histoire c'est un shooter


Conclusion


Dans la série des pixeljunk, qui comptent à peu près autant de titres différents que le jeu video a su se créer de genres, ce shooter s'avère assez agréable. Il change d'approche en proposant un challenge plus cérébral que frénétique, et un durée de vie certes courte, mais qui permet de ne pas se lasser d'un jeu à la difficulté trop faible.

Ma note :

Un scrabble
Un Danmaku

samedi 18 juillet 2015

Test : Entwined

Entwined, sous ce nom se cache un jeu un peu du genre flower. Et je vais vous détailler tout ça.

Chaque truc est contrôlé par un joystick !

Histoire


C'est l'histoire d'un poisson orange et d'un oiseau bleu, ils se baladent séparés jusqu'a fusionner en dragon vert... Ça vous laisse perplexe ? Moi aussi ! Autant des jeux sans histoire, j'en ai vu passer dans la manette qui est dans mes mains, mais alors là ?!@*~^)


Gameplay


Wahou ! Une preview de la nouvelle interface de W10 !
On est dans un écran qui avance entre guitar hero et rez (oui des jeux de rythme). On a l'impression que ça va donner un jeu de rythme, avec des objets qui approchent, et des contrôles assez particuliers. Le joystick gauche vous permet de bouger le poisson orange, qui doit passer dans les obstacles oranges, tandis que le bâton de joie de tribord vous fait bouger l'oiseau bleu qui doit passer dans les objets...BLEUS !! Merci, si vous avez suivi. Si vous avez gueulé "bleu" au milieu de votre chambre ou de votre open space, merci de ne pas m'insulter. L'idée est bonne, et le problème vient plus du dosage de difficulté. C'est soit trop facile, soit trop dur, toujours à la limite de la mauvaise foi, on se retrouve dans une spirale qui avance. Elle avance en continu sans nous donner un score, sans nous afficher une limite de vies ou de machins qu'on ne doit pas louper. Non, au lieu de ça, juste des barres à remplir et une chaine à exécuter pour se retrouver dans un endroit étrange où on doit choper d'autres machins pour remplir une barre. Une fois cette barre remplie, on peut speeder en laissant des couleurs et des papillons derrière nous, mais on s'en fout un peu. Vous avez rien compris, ne jouez pas à ce jeu pour comprendre, c'est pas une raison suffisante !

Bande son


Elllllle est molasse ! Ça aurait pu rendre le jeu intéressant en rajoutant des effets à chaque truc qu'on ramasse, mais là c'est de la soupe d'un bar lounge dont on aurait remplacé les fauteuils pompeux par des éponges gorgées d'huile...

LA récompense ultime, laisser des trucs brillants derrière soi, avant de faire apparaitre un portail !

Graphismes


A la fois moche et coloré !  Un peu comme un truc qui se lance avec vos chansons !

Durée de vie


A la fois soporifique, répétitif et court, on peut gagner quelques trophées pour 1h30 de perdue...


Conclusion


Loin de la bonne surprise, de la grande découverte, de l'originalité, ce jeu tente de se faire passer pour un concept original en s'emballant dans un flou. On n'a pas d'histoire, on ne fait qu'avancer pour aller dans un endroit idiot et moche ! De l'indé comme ça j'en veux plus (plu pas +) !

Ma note et je ne pensais pas aller si loin dans la médiocrité :
Je pensais pas être quelqu'un d'aussi sévère