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mercredi 21 mai 2014

TEST : ASSASSIN'S CREED 3




Qui n'a jamais rêvé de voyager dans le temps? Où de faire le tour du monde? De tuer des gens en portant une capuche?  Voila ce que propose la saga Assassin's Creed, prêt pour embarquer dans une aventure "historique".

HISTOIRE

Voilà donc notre nouvel assassin: Connor
Dans Assassin's Creed, l'histoire nous permet de suivre deux intrigues parallèles: une situé à notre époque où l'on incarne Desmond Miles, et l'autre où l'on joue l'un de ces ancêtres assassins à différentes époques (des croisades, a la révolution américaine, en passant par la renaissance).
La série stagnait depuis quelques temps (3 épisodes tout de même...) sur les aventures de notre rital préféré, j'ai nommé Massimo Gargia Ezio Auditore Da Firenze, et la trame principale de Desmond, à savoir sauver le monde d'une apocalypse imminente avait totalement stoppé sa progression. Bref, il était temps d'opérer un changement pour que la série continue de garder un attrait scénaristique, chose faite avec ce 3° opus.
Nous voilà donc, à nouveau, au commande de Desmond qui va retracer l'histoire d'un de ces ancêtre afin de trouver une relique pour pas que-les-vilains-y-nous-empêchent-de-sauver-la-Terre.
Ce bon vieux Benjamin Franklin! On sait que tu cultivais du chanvre!
Le jeu débute en nous projetant dans la peau d'Haytham Kenway, un officier britannique au service de sa majesté, ayant pour but de se rapprocher d'une tribu indienne afin de mettre la main sur la relique susmentionnée. Au cours d'un prologue d'une bonne heure, nous découvrirons ses buts et ses intentions.
 Après ce début de jeu assez original, le personnage principal change et l'on prend le contrôle d'un jeune enfant indien : Ratonhnhaké:ton (oui, c'est son nom) et nous allons suivre son aventure, au cours de laquelle il va grandir et devenir assassin (et se faire renommer Connor). Comme dans tout les AC, l'histoire est basée sur des événements historiques réelles, avec des figures emblématique de l'époque (Georges Washington, Benjamin Franklin, et toute la clique de gangsta...), ce qui apporte un intérêt et une profondeur au jeu nous donnant presque envie de nous replonger dans des livres d'histoire.

GAMEPLAY

Le tomahawk sème la mort de façon très brutale dans les rangs de nos ennemies
Les commandes de ce AC ont très peu changées par rapport aux épisodes précédent, deux petits changement sont à noter : il n'y a plus qu'un système de course libre, et le système de contre a été complétement revu, on appuie sur rond pour lancer un mouvement de contre, puis quatre possibilitées s'offrent à nous : une attaque à l'arme blanche, une avec une arme à distance (style arme à feu, arc...), une projection, où un mouvement pour percer la défense de son adversaire.
Les animations ont toutes été refaites, et  notre personnage semble bien plus rapide, agile (possibilité de faire du "parkour" dans les arbres)  et  bourrin que dans les opus précédents (défoncer des tuniques rouges au tomahawk n'a jamais été aussi jouissif!).

Les combats ont aussi été revu, notamment grâce au nouveau système de contre, ainsi il faudra trouver la faiblesse de son adversaire afin de pouvoir lui mettre bien profond... Votre lame dans son cul.
Il est toujours possible de recruter des assassins, afin de vous aider dans votre quête, mais désormais ceux-ci ont des capacités uniques (par exemple obtenir une escorte d'assassin, placer des tireurs sur les toits, où, ma préférée, avoir des alliés déguisés en anglais afin de vous amener dans les places fortes en tant que prisonniers). Il sera toujours possible d'envoyer vos recrues effectuer des missions dans d'autres villes afin de les faire level upper.

Connor aux commandes de son navire l'Aquila
En cours d'aventure, Connor obtiendra un manoir dans un hameau, il vous sera alors possible de recruter des artisans sur toute la map, afin d'agrandir son village et de débloquer des inventions, celles-ci permettent de créer de nouvelles armes ou de faire du commerce avec les villes où les îles voisines (permettant de s'enrichir très rapidement).
Autre nouveauté sympathique, les batailles navales qui vous mettent au commande de votre propre navire de guerre et vous permettent de vous lancer dans des joutes aquatiques avec possibilité d'upgrader son navire (renforcer la coque, obtenir des boulets de canon plus puissant...).

 SON

Les doublages en français sont de qualité et les bruitages nous immergent dans l'univers de la révolution américaine (gros plus pour les batailles navales qui nous plongent dans l'univers de la piraterie)
Les musiques se font très discrètes mais collent très bien à l'action.
Pas grand chose d'autre à rajouter sur le son, si ce n'est :  concombre!

GRAPHISMES

Les passages durant l'hiver sont justes magnifiques.
Les graphismes sont d'excellente facture, ça ressemble aux anciens jeux de la saga mais tout y a été affiné, des effets de lumière à la modélisation, tout semble beaucoup plus fin et maitrisé. On n'apprécie particulièrement les décors sauvages et les changements de saison (les frontières recouvertes de neige sont juste magnifiques). Le jeu nous propose deux villes principales (New-York et  Boston), un hameau (QG de notre héros) et le territoire sauvage (ou frontières) séparant ces zones. Les villes manquent tout de même de caractère par rapport aux anciennes cités proposées dans AC 1, 2, Brotherhood et Revelations (logique, au vu de l'époque, on a tout de même l'impression de visiter deux fois la même ville...).

DUREE DE VIE
Le sous-sol du manoir, où l'on peut débloquer des tenues alternatives.
Compter une vingtaine d'heure pour effectuer l'histoire en ligne droite, et facilement le double si vous comptez faire toute les quêtes annexes (des objets à collectionner sur toute la carte, à la chasse, en passant par les contrats d'assassinat...). Bref, cet AC 3 nous promet des dizaines et des dizaines d'heure de jeu, petit bémol cependant, beaucoup de quêtes annexes n'apporte plus grand chose si elles sont réalisés après la fin de l'histoire principale (une arme surpuissante ne sert à rien si on a plus personne à tuer...), petit conseil : n'hésitez pas à réaliser les quêtes annexes en cours de partie, pour deux fois plus de plaizzzzir!


CONCLUSION

En abandonnant Ezio et en clôturant l'histoire de Desmond, les gars de chez Ubisoft ont enfin su redynamiser leur saga annuelle, les petit changement apportés aux commandes et aux animations apportent un peu de punch à l'ensemble (en nous donnant une plus grande impression de puissance), la trame scénaristique est agréable à suivre (du moins celle de Connor), Le personnage principal, bien qu'un peu naïf, est attachant et il y des tonnes et des tonnes de quêtes annexes. (Veuillez noter que ce test ne prend pas du tout en compte les fonctionnalités online du jeu, pour la simple et bonne raison que j'en ai rien à foutre!)

MON VERDICT :
La NRA +  Tomahawk











2 commentaires:

  1. J'ai une petite question pour Siegerkusch, aurais-tu aimé que l'histoire de cet assassin's creed se passe pendant la guerre de Sécession, plutôt que la guerre d'indépendance?

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  2. ça aurait été sympa, on aurait pu voir le général Cartman Lee! Mais je trouve le contexte proposé plutôt cool, ça permet un nouveau départ scénaristique où les assassins et les templiers doivent tout recommencer, en plus les pères fondateurs en prennent plein la gueule!

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