Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

vendredi 27 mai 2016

Test : Tales from the Borderlands

Les jeux telltale ne m'ont jamais attiré. De par leur format épisodique, qui force la comparaison avec un DLC pour avoir la fin de l'histoire. Une fois vendu en pack, c'est moins chelou. Mais aussi parce que les séries en général, j'aime pas trop ça. J'ai donc lancé ce jeu sans trop y croire, une critique de Canard PC, promettant bonnes vannes et action concentrée, m'ayant mis le pied dans l'engrenage. Voici ce que j'en retire.


Tale


ça commence comme ça
Le jeu se joue surtout pour son histoire, on verra dans la section gameplay, que ça casse pas une patte à une autruche. Elle est bien inscrite dans la "mythologie" Borderlands, des personnages connus reviendant. Mais on peut également s'en passer, chaque chose étant présentée, pareillement à une trame scénaristique classique d'un Borderlands classique. On y incarne tantôt Rhys, personnage générique (et c'est voulu), employé de la société Hyperion qui n'aspire qu'à grimper les échelons, secondé par un geek, Vaughn. Et tantôt Fiona, vilaine arnaqueuse de Pandora qui souhaite avant tout quitter sa planête pourrie avec sa soeur adoptive Sasha.
Ces 4 personnes vont se retrouver sur la quête d'un trésor, ce qui les forcera à coopérer...Pour survivre.
Si vous voulez connaître l'histoire complète, et éviter de jouer, c'est ce wiki.

Borderlands


On retrouve la patte graphique si plaisante de la série. Un peu steam punk, un peu cowboy, beaucoup cel-shadée. On regrettera l'absence totale de charisme des deux protagonistes masculins d'un bout à l'autre de l'histoire, mais en même temps c'est voulu. On regrettera des petites sautes dans les animations et des textures pas toujours au top malgré les graphismes poussés au taquet.



Son

Pianote ma fille, pianote

Les bruitages et dialogues sont d'excellente facture. Comme dans un film.





Gameplay


tout est dit
Vous avez une arme principale : le clic. Des fois vous vous déplacerez et utiliserez l'inventaire, mais pas très souvent. Lorsque l'action s'emballe, on obéi aux QTE. On peut regretter l'absence d'énigme qui est curieuse pour un point and click. On est comme dans un film.




Telltale game oblige, la majeure partie du temps, c'est avec les dialogues que vous résoudrez les situations/ déciderez des affinités entre personnages. Par contre, on a pas vraiment d'indication sur l'influence de ces décisions. Même si on a des stats des choix des joueurs.
Comptez environ 2h par épisode.

Conclusion


l'oeil cyborg de Rhys permet d'en savoir plus sur l'environnement
Aussitôt terminé le premier chapitre, je me suis mis à dévorer les suivants. L'histoire est bien écrite et vous tient en haleine (fraîche), même après un repas aillé. Les personnages sont marrants et assez réalistes (par leurs réactions). L'humour omniprésent et le choix des dialogues nous tient en suspens. Par contre l'absence d'énigme fait vraiment penser à un film, comme au cinéma. Et diminue grandement l'intérêt d'une nouvelle partie. A consommer comme une série dont on a le coffret DVD, puis à laisser sur une étagère prendre la poussière (oui, bon sur steam, ça risque pas).

Ma note :
Borderlands + Power rangers


samedi 14 mai 2016

Test de jeu canapé : Samurai Gunn

Seuls deux modes de jeu sont proposés
Samurai Gunn est un jeu indé très puissant. Il est très puissant car minimaliste, il ne s'encombre pas d'autres modes de jeu qu'un multi (très) basique permettant à 4 chevaliers japonais de s’affronter. Mais puissant aussi parce que 2 heures après avoir cru comprendre le jeu, on trouve des subtilités et même des nouvelles commandes (faire le mort !!!!).

 

 

 

4 styles de mondes, disposant chacun d'une poignée de niveaux

Graphismes


Du pur jus 8-bits, très classique, mais fluide (heureusement) et magique (gerbes de sang, têtes qui roulent, et chiens samurai !!).

 

Son

 

La tension est palpable

De l'électro hip hop japonisant, au bout d'un moment, on baisse le son.

 

 

 

 

La tension est palpable

 

Histoire


La vraie histoire se joue dans le SHOWDOWN !! TMTC


Gameplay

Showndown (Aouuuu) - On peut sentir la tension -
Déplacements, saut, coupe, flingue (3 coups par vie). Mais aussi Dash en coupant avec une direction, et tout un tas de variantes pour découper votre ami mort de rire ou de rage. C'est véritablement le gameplay beaucoup plus riche que l'on ne le croit (je jeu se prend en main en 2 secondes), et les gerbes de sang combinées au respawn frénétique qui font que chaque match de 10 vies se termine en très peu de temps.
Et ce n'est que lorsque l'on revient au menu principal (obligatoire malheureusement) que l'on se rend compte que notre cœur bat à 180bpm (en doubles croches).

Faire le mort est toujours utile
Aouuuuu
Si le combat se termine par une égalité on rentre en mode SHOWDOWN. Sorte de tribute aux films classiques de samurais, on assiste alors à un duel en un coup, sur une toile de fond classe. Et là ça donne !
Un mode survie permet de varier les plaisirs (et les rivalités) en affrontant des masses de ninjas qui arrivent par vagues. Tout l'intérêt est que le friendly fire est notre pire ennemi, on a que 3 vies ...
En survival, tuez autant de ninjas que nécessaire





Conclusion


Le tableau des scores affiche les scores, quelle tension!
Si vous avez un canapé (ou des voisines qui déménagent), des manettes et des potes (accessoirement) vous allez passer des heures de fun sur pratiquement rien. Il ne reste qu'une sortie PS4 à réaliser (déjà annoncée il y a 2 ans). Un jeu idéal. Idéal si on a son FOCUS !
Vous pouvez tester la perversité de ce jeu sur le site du jeu.

Ma note :
Un voltmètre pour mesurer la tension







+
En ASCENDANT !!