Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

vendredi 30 octobre 2015

Test électrique : Teslagrad

Contrairement à certains jeux offerts sur le PSN+, avec lesquels ça n'accroche pas, celui-ci est cool. Mais citons les "pas accrocheurs", exemple parfait du clône : Kung Fu Rabbit. Avec des dessins mignons et des plateformes qui se transforment rapidement en casse tête, c'est un clone de super meat boy. Mais la maniabilité fait tache et les bruitages horripilants nous font quitter cet enfer rapidement.  Autre exemple : Stealth 2, un jeu d'"infiltration" dont le but principal sera de chercher votre chemin. On touche le fond avec chariot, un jeu de croc-mort qui doit tirer un cercueil sur un chariot ... sans ennemis. Mais revenons à Teslagrad dont la narration ne nécessite pas de sous-titres...


Histoire


Des vilains barbus habillés en rouge (des pères noëls ?!?), poursuivent une femme et son enfant. La femme se sacrifie et l'enfant, ressemblant curieusement à Astro Boy s'enfuit. Il se retrouve alors dans une tour gigantesque et turgescente bien étrange...

 

 

 

 

 

Bande sonore


Très bonnes musiques, pas de dialogues, mais quelques bugs. Une des meilleures.

 

Graphismes


Niveau torturé, héros au style cartoon, animations parfaites (mention spéciale pour le roi), tout est extrêmement travaillé, et il se dégage du mélange graphismes et bande sonore une certaine mélancolie.

Gameplay

MMMMHHHheuum (bruit de reflexion)


De la pure reflexion-plateforme, pas franchement dure, mais certains tableaux demanderont énormément d'efforts alors qu'on enchaine des étages entiers en quelques minutes. Le gameplay est basé sur des pouvoirs : téléportation, aura et poings (je ne détaillerai pas, c'est sympa à découvrir). Donc on utilise le pouvoir bleu et le pouvoir rouge, si on a deux couleurs, les éléments s'attirent, si elles sont les mêmes, elles se repoussent. On peut charger des objets ou se déplacer soi-même, c'est assez simple comme principe, mais on ne tourne jamais en rond car le jeu ajoute ici et là des nouveaux/elles mouvements/possibilités.







Conclusion

quelque chose me dit que c'est pas cool

Assez rapide, poétique, et plaisant avec ses phases de plateforme, Teslagrad vaut la peine d'être joué. Non pas parce qu'il est indé-norvégien, ce qui est assez rare pour être signalé, mais parce qu'il apporte réellement quelque chose, en plus d'une morale sur la cupidité et l'ambition.

Ma note :

BZZZZZ !!

dimanche 4 octobre 2015

Test : Wolfenstein : The Old Blood

ça s'annonce difficile
Après un retour fracassant avec Wolfenstein : The New Order (testé ici), le duo Bethesda-Machinegames remet le couvert, et nous embarque dans une préquelle. Ici, William B.J. Blazkowicz reprend du service dans le passé !




 

 

 

C'est un polonais et un nazi dans un château...


Tu fous quoi au milieu, toi, au juste ?
Le jeu ne s'encombre pas de beaucoup de narration, le background est sommaire : Blazkowicz doit s'infiltrer dans le château Wolfenstein pour récupérer un document indiquant l'endroit où se trouve le boucher (fameux ennemi dans TNO). Malheureusement la grande méchante, l'archéologue nazi(e ?) Elga Von Schapps n'a pas le charisme des ennemis du précédent titre. Et on ne peut pas dire que l'intégration de l'invasion zombie ou du monstre-boss de fin soit vraiment naturelle.
Inflitration







 

 

On reprend les mêmes et on recommence


L'univers est bien rendu quand même
Ce jeu reprend les mêmes recettes que Wolfenstein : The New Order, même patte graphique, même game design (bien qu'un peu plus tourné vers l'infiltration dans la première partie du jeu), même nervosité des combats. Et c'est bien ça le plus important, le feeling des armes, allié à la stupidité des ennemis, et leur nombre procure un stress et une nervosité bienvenue. Le système armure-santé et munitions qu'il faut venir chercher aux quatre coins de la pièce, nous oblige à bouger et à prendre des risques. Comme foncer sur les cadavres encore chauds pour aller grappiller 5 d'armure, en récupérant les casques ennemis, ma touche "e" maltraitée s'en souvient encore.
Si ça saigne, ça peut crever !
Une nouveauté : les soldats branchés nous forcent à désactiver leur source d'alimentation pour aller les décapsuler avec la deuxième nouveauté du jeu : un tuyau en métal.
Mention spéciale pour la bande son très oppressante.

 

 

 

 

 

Conclusion


Pas vraiment un nouveau jeu (puisqu'add on standalone), Wolfenstein : The Old Blood, nous fait le plaisir d'étoffer l'univers Wolfenstein. Nerveux, rapide et bien branlé, on prend plaisir à dégommer des unités entières de nazis, et à s'infiltrer avec un double pistolet à silencieux. Le jeu est très bon, mais très court (6h), et se finit de manière bizarre. On attend la suite de la licence avec grand intérêt. Un bon retour aux sources !


Ma note :

Wolfenstein 3D