Passionnés de jeux videos, de comics et de turlutes, nous autres, nous avons décidé de créer un blog portant sur notre passion.

samedi 25 novembre 2017

Test catcheur : Guacamelee Super Turbo Championship Edition

Dans la vie il y a 2 types de combats : les combats de rue ou les combats de catch. Tout le monde sait que taper sur des punks et des transexuels dans des métros ça va bien 5 min. On s'intéresse donc à WWE Smackdown Guacamelee, jeu de plateforme-catch.




Par dessus la troisième corde !!


La map est immense et complexe
C'est un style bien affirmé que possède Guacamelee, très coloré, cartoon, doté d'un bestiaire assez sympa. On aime ou on s'en accommode. Pour ma part je le trouve assez moyen. Et il n'est pas sans rappeler un certain Shank (j'ignore si les 2 ont un lien de parenté, à priori, non). Le tout est proposé avec une animation 100% 60fps effrenée et parfois un peu fouilli. Perso, j'adore la chèvre qui donne les pouvoirs.


Excuse-Meeeee !!!


L'humour est omniprésent

La bande sonore fleure bon le tacos fourré à l'enchilada au guacamole, saupoudré de tortilla moulue. On est au Mexique plus mexicain que le Mexique.






Vu que je suis un oeuf, c'est chaud !

Ca ne sera pas 3 simplement deuuuuxx !!


Si jouer à deux est super, il ne faudra pas être trop avancé dans le jeu. Les pouvoirs accordés concernent principalement la plateforme, et après un certain temps un nouveau venu peut vite être noyé sous une tonne de guacamole (comprenez qu'il faut enchaîner dash, double saut, coup de pied sauté et tornade horizontale par exemple). La tabasse est cool, les passages techniques bien techniques et les plateformes plates.

Conclusion


Bastoooon
Petit jeu sans trop prendre le chou Guacamelee distille son plaisir (et sa tequila) à travers des plateformes corsées, des ennemis nombreux et un univers unique. Alors prontò cabròn, va jouer !!







Ma note :
Luchador
Jose Cuervo




samedi 4 novembre 2017

Test coloré : Hue






Dans les jeux "donnés" du PS+, il y a souvent des AAA qui datent un peu, des jeux microscopiques (moins d'une heure), des grosses bouses, et ceux qui nous interpellent.

Histoire


La révéler serait criminel, c'est un fil conducteur qui nous fait passer d'énigme en casse tête.
Ajouter une légende
Nous contrôlons Hue, un jeune garçon à la recherche d'une femme. Il progresse malgré les obstacles qui prennent la forme de puzzles colorés. On part d'une seule couleur, pour aller vers toutes les teintes accessibles à l’œil humain, tout le spectre visible. 
Il part également dans de la philosophie de comptoir vers la fin.


Ambiance


Calme et détendue, avec des puzzles retors vers la fin du jeu, mais très gérables dans l'ensemble.
Ouvrir une lettre c'est aller vers la prochaine couleur
La BO est tournée toute entière vers un piano. Les morceaux sont jolis mais un poil énervants sur la longueur (répétition). La narratrice qui lit une lettre est également convaincante. Je ne connais pas son nom par contre.
J'ai gagné le rouge !
Très minimaliste et cartoon, le jeu se repose sur les changements de chroma, et les animations léchées pour attraper le joueur. On peut dire que c'est réussi.


Conclusion


Ce test ne peut être que rapide, le jeu laisse plus une impression qu'un véritable souvenir. Tout y est beau et agréable, les énigmes astucieuses sans être frustrantes. Une véritable découverte, malgré la faible rejouabilité.

ma note :
ça se complexifie ...
...encore...
...et encore